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hommes, ne doit être aux yeux du chrétien, qu’une
réforme
sans grande portée. Voilà qui paraîtra plus scandaleux. Et cependant
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sur des faits concrets qu’il faut changer. Chaque
réforme
obtenue, chaque revendication réalisée, me montre dès maintenant un p
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u synode national ». (John Viénot, Histoire de la
Réforme
française, I, p. 271.) 62. C’est-à-dire : fondée sur la notion de vo
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étienne protestante. On sait le rôle joué dans la
Réforme
par le retour à l’Ancien Testament et aux traditions prophétiques. Ma
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ntradictions. Est-ce avec cela que s’est faite la
Réforme
? D’autres, moins exigeants, n’hésitent pas à soutenir que Luther fut
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ntal par excellence, mais au centre, aussi, de la
Réforme
, et de l’effort dogmatique de Luther30. On croit d’abord à un pamphle
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sance toutes les affirmations fondamentales de la
Réforme
: justification par la foi, qui est don gratuit et œuvre de Dieu seul
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ue tout que les grandes thèses pauliniennes de la
Réforme
soient acceptées (ou simplement connues !) par nos contemporains, mêm
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re. Le procès de la presse n’est plus à faire. Sa
réforme
pose tant de problèmes et entraîne de telles incidences (les dangers
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n même temps que de préparer et d’accélérer cette
réforme
nécessaire, est de fournir dès à présent à tous ceux qui en éprouvent
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son domaine, les « Clubs » n’oublient pas que la
réforme
organique de la presse est le but final. Dans cette partie, on réunir
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anciers, professionnels, législatifs, que pose la
réforme
de la presse. Dès à présent, de tels documents facilitent aux adhéren
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age. Ce sont eux, et eux seuls, qui proposent des
réformes
pratiques, qui demandent qu’on installe l’eau et l’électricité dans l
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tuations locales. Parfois ils proposeront quelque
réforme
pratique : faire de la place aux jeunes en abaissant la limite d’âge