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isons d’en douter, s’il est vrai que le doute est
révolte
, et qu’il faut pour se l’avouer la joie qui naît de l’acte de la foi.
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’acte viendra comme un sursaut de joie, comme une
révolte
, comme une affirmation désespérée de son orgueil, comme la preuve enf
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perdent leur autorité et suscitent contre eux des
révoltes
qui s’expriment dans des langues nouvelles, au détriment de l’unité s
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rien ne l’eût empêché de subir le sort fatal des
révoltes
politiques : il eût revêtu les formes du pouvoir déposé51 et renvoyan
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est ce qui les rabat à leur destin, ce sont leurs
révoltes
constantes, leurs faux pas, leurs accès d’incroyance. Et toute leur g
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tion et du destin. Il fait comprendre l’esprit de
révolte
qui tourmenta sans fin les douze tribus. Car un but invisible aux mor
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et qui pourtant fait toute sa grandeur, c’est la
révolte
du destin profane contre la vocation libératrice. Et de même que cett
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tre la vocation libératrice. Et de même que cette
révolte
, et ce destin, et ce besoin de voir, sont symbolisés au concret par l
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tative de culture profane se voit assimilée à une
révolte
d’orgueil contre Dieu. La culture d’Israël sera pauvre à raison même
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l’objet s’y oppose de toutes ses forces ! Car sa
révolte
même se trouve servir les desseins éternels de Dieu. Elle étend à l’h
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e par un acte qui crée ma liberté, par un acte de
révolte
, s’il le faut ! L. — Tu crois donc détenir un tel pouvoir ? C. M. —
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n’est pas ! »32 qui t’assurerait que cet acte de
révolte
échappe à l’éternelle prévision ? Qui t’assurerait qu’en prononçant c
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très moraux, et même très pieux, qu’invoque notre
révolte
… Réalité radicale du problème Dans l’Église, une fois acceptés
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bine électorale. Au lieu de quoi on pervertit les
révoltes
les mieux justifiées, on les étourdit de mensonges, on les abreuve d’
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re : son analyse du désespoir considéré comme une
révolte
contre Dieu. De sa fortune, il ne voulut tirer nul intérêt : il la co