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oup de trompe d’auto, des cris de coq. L’odeur du
raisin
foulé monte de la cour, et remplit l’ombre bleue sous le tilleul imme
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ter une provision d’« œillades ». C’est leur gros
raisin
bleu. Nous y sommes allés hier au soir. Des hauteurs, on voyait la pl
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ame Turc. Elle nous fait entrer. Pour la vente du
raisin
, il faut attendre sa fille qui va rentrer des champs, où elle travail
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e. Elle nous conduit à la chambre de conserve des
raisins
. Pendant qu’elle fait la pesée : « C’est pour qui, Monsieur, sans ind