1 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
1 u monde est durée, et c’est la forme du péché, du refus de l’instant éternel12, — le temps, la succession et le désir. C’est
2 , nous retrouvons cette définition du temps comme refus de l’instant et de l’obéissance immédiate à la Parole. La ressemblanc
2 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
3 ce monde et s’attendent totalement au Royaume. Ce refus , cette attente active50 constituent la révolution la plus radicale qu
4 n monde qu’il condamne ! Car alors, où serait son refus  ? Et quelle preuve aurions-nous de sa transformation ? Une mauvaise h
3 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
5 t ce qui n’est pas foi, mais vue, tout ce qui est refus d’obéissance, et imagination d’un autre bien. Idole tout ce qui détou
6 s ? Une vocation est-elle donc « amissible » ? Le refus de l’homme serait-il donc capable de modifier un arrêt éternel, alors
4 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
7 écision totale entre un oui et un non absolus, et refus de tout moyen terme ou médiation plus ou moins rationnelle entre les
8 la Diatribe voulait l’embarrasser31. Ensuite, ce refus total, ou mieux, cette négligence tranquille de toute espèce de consi
5 1937, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
9 rien de suffisant pour justifier ce mouvement de refus global. Mais nous sentons qu’elles entraînent en nous un état de divi
10 nce. Le salut n’est jamais dans le repli, dans le refus du conflit concret. L’invention de l’homme « intérieur » suppose et p
6 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
11 ui est sa devise devait fatalement le conduire au refus d’une perspective de bonheur dans laquelle il ne pouvait voir le vrai