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rangées de peupliers : il faut suivre des yeux la
route
noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des maisons au-dessous d’u
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mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos la
route
nationale pour des chemins secondaires ou des ruelles à peine plus la
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ge du car, les cheveux au vent, sur le bord de la
route
. Rien n’est plus sympathique qu’un conducteur de car. Cela tient évid
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lacable et mat enserre l’homme qui chemine sur la
route
incertaine, au milieu des menaces originelles. Par temps clair, les é
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dain, dans le métro, de tutoyer mes compagnons de
route
. Était-ce envie de donner ou de recevoir ? Il me semble maintenant qu