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rrait-il faire un acte ? Car l’acte est décision,
rupture
, isolation, quand l’être même du désespéré consiste dans ses liens, d
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il est un ordre, une Parole reçue d’ailleurs, une
rupture
de tout drame humain que nous pussions prévoir, désirer et décrire ;
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e nous pussions prévoir, désirer et décrire ; une
rupture
et une vision. La présence de l’absolu dans la sobriété parfaite et i
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dans les revues d’avant-garde est le signe d’une
rupture
de contact, d’un impuissant dépit, d’un profond pessimisme de la pens
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ntendu, non pas au sens temporel, mais au sens de
rupture
entre la pensée et l’acte. ⁂ Que la pensée moderne repose sur un post
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l, c’est la raison même de ce désordre : c’est la
rupture
entre la pensée et l’acte, rupture qui, d’une part, amorce l’anarchie
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dre : c’est la rupture entre la pensée et l’acte,
rupture
qui, d’une part, amorce l’anarchie, d’autre part, la freine et la pri
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on est obligé de faire appel à l’idée de choc, de
rupture
, en un mot de violence (voir à cet égard Sorel). Il n’y a pas d’évolu
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mais encore ordonnateur. C’est un conflit et une
rupture
, mais aussi une nouvelle mise en ordre. C’est ici que nous retrouvons
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robable, et de peu de portée). Au lendemain de sa
rupture
, il partit pour Berlin où il désirait suivre les cours de Schelling.
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e seul événement extérieur de sa vie avait été la
rupture
de ses fiançailles. Mais l’acte qui résume toute son œuvre, cet acte