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é attribue aujourd’hui l’inspiration de ce roman.
Sachons
-lui gré d’accorder par là même, à un public plus étendu, l’avance néc
2
ide au jugement de certains, mais aussi, pour qui
sait
comprendre, salutaire… Les lectures favorites et les préoccupations s
3
phétie fait briller devant lui comme un éclair. «
Sachez
qu’à l’origine, — lit-on dans un dialogue de Kassner6 — toutes les cr
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de Dieu, c’est le doute qui s’interpose entre le
savoir
et le faire, et c’est la lâcheté de l’homme qui se repose sur ses œuv
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ons le temps est lié au péché, le pécheur seul le
sait
, dans l’instant de la foi, où par grâce il peut rompre ce lien. « Si
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e contraire de l’acte, c’est le désespoir Nous
savons
tous cela, comme nous savons qu’il faut mourir : sans y croire. À vra
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le désespoir Nous savons tous cela, comme nous
savons
qu’il faut mourir : sans y croire. À vrai dire, nous avons toutes les
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ssibilité de l’oser. Celui que la foi vint saisir
sait
maintenant que l’acte est le contraire du désespoir. Mais il le sait
9
l’acte est le contraire du désespoir. Mais il le
sait
d’une tout autre façon que le désespéré ne l’imagine. Parce que le ra
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commode, surtout en regard des souffrances qu’il
sait
trop bien que lui vaudront ses attaques contre l’Église établie. 20.
11
sent. Ils ne suivent pas la règle du jeu et je ne
sais
même pas s’ils savent qu’il y en a une. Alice au Pays des Merveilles
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pas la règle du jeu et je ne sais même pas s’ils
savent
qu’il y en a une. Alice au Pays des Merveilles On peut penser que no
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ntion admise par tous les clercs européens. On ne
saurait
en dire autant du langage de nos bons écrivains. Car non seulement il
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unanime, nous les cherchions en vain, et sans le
savoir
, dans la cité qu’on nous a faite. C’est une faim, une soif, une nosta
15
. L’homme d’aujourd’hui méprise les religions. Il
sait
ce qu’il faut penser des prêtres et des sorciers. On lui donnera donc
16
onté de changer le monde. Or une telle volonté ne
saurait
prendre son élan que dans le sentiment insupportable d’un défaut inhé
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ui est à la base d’une pareille imposture : il la
sait
trop profondément enracinée dans l’homme pour être atteinte par une s
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gine, sa fin, et sa mission présente. Le chrétien
sait
qu’il vient de Dieu, le Créateur ; qu’il va vers le Royaume de Dieu,
19
on pour sauver quelque bien, mais parce que je me
sais
responsable personnellement du désordre établi. J’agirai par reconnai
20
nde tel qu’il va. On dira : c’est d’abord qu’il a
su
rejeter sur l’oppression capitaliste, trop réelle, tout le malheur in
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le gardien des conformismes, ou du moins n’a pas
su
, par excès de prudence, empêcher que les foules le considèrent comme
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pellent cette synthèse, paraissant redouter je ne
sais
quel malheur pour leur foi, ou pour son « succès », si l’on ne parvie
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ères particulières sur ces sujets, qui exigent un
savoir
technique. Mais ce qui tombe directement sous le coup de la seule cri
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ppose à son bien souverain. S’il est chrétien, il
sait
qu’il est membre d’un corps qui porte toutes les marques du péché. Il
25
ssi, cela suppose certains moyens d’action qui ne
sauraient
être les mêmes dans les deux cas, si la fin seule justifie les moyens
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xiste croit que le bien sort du mal ; le chrétien
sait
que le bien naît du parfait. D’une conséquence politique de la foi
27
ime, à la création d’autres formes. Il importe de
savoir
lesquelles, et de les préparer consciemment. Sinon nous laisserons le
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le, que je crois actuel entre tous. Tout le monde
sait
, ou pressent au moins, ce que signifie la menace totalitaire, qu’elle
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cas présent une complicité. L’État totalitaire ne
saurait
s’instaurer contre l’opinion générale. Celle-ci se laisse séduire par
30
et les guerres de religion qui les précèdent : on
sait
assez que ce fut la lutte d’une royauté déjà « totalitaire » contre d
31
ontre l’emprise morale de l’État fut menée, on le
sait
, par Karl Barth : c’est-à-dire par un calviniste… Je ne voudrais pas
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ar le fait d’un État tyrannique, il faut qu’elles
sachent
qu’elles en sont responsables, dans la mesure où elles cédèrent, jadi
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doctrine et d’un État « matérialistes », il faut
savoir
que nous en sommes les responsables, dans la mesure où nous cultivons
34
édie de Marx et du marxisme, c’est de n’avoir pas
su
, ou pas pu opposer au mensonge spiritualiste, la vérité du spirituel.
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pesanteur du péché. Tandis qu’à l’inverse, on ne
saurait
établir que la sécularisation du christianisme résulte nécessairement
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Il se lève et il tombe avec sa mission. » Nous ne
savons
rien du reste de sa vie, et n’avons nul besoin d’en rien connaître po
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qui se voient par trop négligés au profit d’on ne
sait
quel futur. Et une angoisse contre laquelle il est fatal que l’on che
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, et menacent aujourd’hui de la détruire74. Il ne
saurait
être question de retracer ici dans son ensemble l’évolution des éléme
39
e d’Israël pour la foi chrétienne protestante. On
sait
le rôle joué dans la Réforme par le retour à l’Ancien Testament et au
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en Testament et aux traditions prophétiques. Mais
sait
-on à quel point tout cela vit encore dans les églises évangéliques de
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pas même Marx, quoi qu’on en pense souvent — n’a
su
définir clairement. Mais je retiens que l’une et l’autre hypothèse ra
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qui apparurent périodiquement au Moyen Âge. Je ne
sais
si cette explication vaudrait encore pour l’antisémitisme des hitléri
43
les relations des « élus » et des « gentils ». On
sait
à quel point cette codification fut poussée. L’historien juif Josèphe
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méconnaître : on prétend, sans l’avoir jamais lu,
savoir
qui il fut, qui il est. Certains ont parcouru les Propos de table, pr
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toutes ses chances, non sans ironie toutefois, et
sait
enfin conférer à son choix la force et la simplicité d’une constatati
46
é par le style, par le ton de l’ouvrage. (Nous ne
savons
que trop bien, nous modernes, séparer le fond de la forme, admirer l’
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ont il pouvait en l’occurrence, l’accabler. On ne
saurait
souligner trop fortement ce trait : c’est encore en théologien, en do
48
’objection parfaitement anachronique, mais que je
sais
inévitable, et qui consiste à affirmer que Luther est « déterministe
49
mmobile, c’est l’image même de la mort. L. — Que
savons
-nous de l’éternité ? Les philosophes et la raison ne peuvent l’imagin
50
Dieu qui nous prédestina ! Quand le croyant, qui
sait
que Dieu a tout prévu éternellement, adresse à Dieu, au nom de sa pro
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paradoxe luthérien et du paradoxe nietzschéen ne
saurait
être ramenée à quelque influence inconsciente, encore bien moins à un
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ilosophique. Personne, mieux que Kierkegaard, n’a
su
montrer cette complicité essentielle, et d’apparence scandaleuse, ent
53
nce pas dans une ignorance qu’il faudrait muer en
savoir
, mais dans un savoir qui exige sa réalisation. » Nous dirions en d’au
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rance qu’il faudrait muer en savoir, mais dans un
savoir
qui exige sa réalisation. » Nous dirions en d’autres termes : l’acte
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acte est si étroitement lié à ses effets qu’on ne
saurait
humainement le séparer du premier d’entre eux, qui est l’affirmation
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s définissons la personne comme l’individu qui se
sait
et se veut engagé dans le conflit créateur. Mais en s’affirmant, c’es
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aintenant comme monument ou système de règles, ne
saurait
être qu’un aspect provisoirement favorable du chaos. La vérité scient
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Étant orientée vers l’acte, la tension humaine ne
saurait
donc considérer toute médiation que comme une résistance à son effort
59
e (30 janvier 1937)f g Les raisons Chacun
sait
et éprouve chaque jour, que l’état des dépendances financières ou des
60
rents l’objet de la partie numéro 2 du bulletin :
savoir
lire avec le minimum de duperie, une presse truquée. L’esprit I
61
e possible aujourd’hui. Camarades, si vous voulez
savoir
, aidez-nous ! (Pour tous renseignements, adressez provisoirement les
62
re et de la défense de la culture. C’est qu’on ne
sait
plus ce que signifie culture. C’est que la culture est en pleine cris
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est, bien sûr, tout à l’honneur des écrivains qui
savent
le communiquer à leur œuvre, et des lecteurs assez ardents pour le su
64
ation. Malgré ces difficultés, conclut-il, on ne
saurait
guère douter que le super-cycle de ces sept romans-cycles (Martin du
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éinstallation complète demandant des mois. On ne
saurait
mieux dire que le mal est aussi grave que je l’indiquais. Et si l’on
66
de nos bons écrivains, M. Arnoux, de n’avoir pas
su
s’imposer « avec assez de force au public ». Car, précisait-il, « on
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sez de force au public ». Car, précisait-il, « on
sait
que la force, en ces matières, cela veut dire surtout la chance et la
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rez pour rien, ou pas grand-chose. Encore faut-il
savoir
comment on y peut « vivre » ? C’est à cette question judicieuse que j
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(Gard) Arrivés hier matin, par Nîmes. Déjà je ne
sais
plus ce que j’attendais, ni ce que j’ai pu rêver de ce pays. Il est t
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i n’ont pas la ressource d’un jardin, ou qui ne «
savent
pas y faire ». (Légère nuance de supériorité sociale chez Simard). No
71
aux barbares de l’Europe centrale. Le peuple qui
sait
calculer, faire son budget, bourrer le bas de laine et nourrir la bou
72
a fumait. « Vous avez eu de la fièvre ! » Elle ne
sait
pas. Elle ne veut pas de médecin. Sa fille dit : « Elle ne voulait mê
73
l’église ou au temple, ou n’y vont pas, elles qui
savent
. Pour les hommes, c’est tout autre chose. Ils sont éloquents et naïfs
74
a semaine prochaine. Elle vient s’excuser : « Qui
sait
, Madame, j’aimerais d’aller à Alès, quelle jour ça vous préférerait ?
75
ns l’esprit populaire des harmoniques que nous ne
savons
plus prévoir. Littéralement, les mots n’ont plus le même sens pour le
76
s, amicalement ; de partager avec eux ce que l’on
sait
! Je pense aux auditoires bourgeois, à leurs airs entendus, à leurs v
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muniste. Ceux des habitants qui ne le sont pas ne
savent
pas trop ce qu’ils sont, à part les châtelains. Ils votent radical ou
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ais faut-il donc penser que les communistes, eux,
savent
pourquoi ils le sont, et connaissent le marxisme ? On m’avait dit : c
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si, me dis-je, on peut redouter que ces hommes ne
sachent
pas faire la distinction entre le marxisme et l’anarchie. D’autre par
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on entre le marxisme et l’anarchie. D’autre part,
sauront
-ils s’opposer au dictateur qui se présentera un jour comme l’homme de
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estion de la place à traverser. — ??? — Oui, vous
savez
que nos temples du Midi sont construits en général sur la place du vi
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réveillé et entreprenant de la population. — Mais
savent
-ils ce que c’est, le marxisme ? — Ils essaient ; peut-être plus qu’on
83
n somme, vous vous entendez bien avec eux ? — Ils
savent
que je suis de leur côté, en gros, dans les questions locales où il f
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voudrais définir le croyant véritable : celui qui
sait
qu’il ne croit pas aux dieux du monde, et qui le prouve. Comment le p
85
ut ça lui a bien coûté 50 francs. Autrement, vous
savez
ce qui se passe, les employés là-bas, au ministère, ils mettent l’arg
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us sentimentaux d’ailleurs que machiavéliques. Je
sais
que l’ignorance — oui, au sens de l’école primaire — est un mal qu’il
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ui meurt en rouspétant contre les bureaucrates ne
sait
plus bien ce qu’il craint davantage : de la vie qui ne rapporte plus,
88
nouveau parlé en intellectuel. En homme qui veut
savoir
pour quelles raisons il prend ou ne prend point parti. Mais l’électeu
89
e mon histoire ? — Il ne vous croira pas, vous ne
savez
pas mentir. — Mais pourquoi n’aime-t-on pas ce qui est vrai ? — Parce
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er par son travail, s’il n’a plus d’emploi, et ne
sait
plus de quoi sera fait le lendemain. — Admettez que cela ne vous empê
91
de trop, vous n’avez qu’à donner la mienne, vous
savez
. Plus on la lit… Ce généreux apôtre de la cause va sortir, lorsque le
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stre trahison des pauvres hommes. Beaucoup, je le
sais
, résistent à l’intoxication, mais cela prouve simplement, une fois de
93
’ils n’ont plus le cœur à leur ouvrage, quand ils
savent
que les résultats sont à la merci soit d’un trust, soit d’un syndicat
94
a veut dire : de ceux qui font les lois sans rien
savoir
des situations locales. Parfois ils proposeront quelque réforme prati
95
en reconnue, mais elle va passer cette nuit, vous
savez
, elle est toute chargée, bou die, l’estomac et tout. — Mais les Simar
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es qui ne font que siéger et siéger encore. Je ne
sais
ce qu’il faut penser de la poésie, mais pour ce qui est de la politiq
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r lui que Lénine est déjà mort et momifié ! Je ne
sais
quelle était l’intention des éditeurs communistes de ce choix. Il en
98
ujours cru à cette fable, mais dirait-on, sans le
savoir
. Chamisso, lui, s’en étonnera. Tel est le calcul de l’homme sans ombr
99
le sentiment qu’il a d’être inférieur. Le diable
sait
cela : c’est par là qu’il le tient. Peter lui donne son ombre contre
100
a s’écrie : « Oh ! mon pressentiment ! Oui, je le
savais
depuis longtemps, il n’a pas d’ombre ! » Que reste-t-il à un tel homm
101
ence. En tout pareil aux autres, sauf en ce je ne
sais
quoi qui n’est rien et devient l’essentiel, notre philistin méconnu s
102
schizoïde. Chamisso, heureusement pour lui, n’en
savait
rien. Il savait peut-être autre chose. Tentative d’interprétation
103
isso, heureusement pour lui, n’en savait rien. Il
savait
peut-être autre chose. Tentative d’interprétation Je reproche p
104
ne des gloires du romantisme allemand que d’avoir
su
élever les faiblesses de l’homme, et quelques-unes de ses plus folles
105
auvé de lui-même : s’il a fait Schlemihl comme on
sait
, en grande partie à son image, il en diffère toutefois par ceci qu’il
106
e, et c’est pour lui que je garde ma pitié. Il ne
sait
même plus écrire sa Fable, il n’en veut plus, il veut du vraisemblabl
107
bien l’appelle-t-il libido ?). 40. Ces traits ne
sauraient
définir qu’un aspect, à vrai dire fréquent, du romantisme allemand qu
108
nt aux baigneurs. Bien entendu, je n’arrive pas à
savoir
combien ce petit commerce lui rapporte, « ça dépend des années ». Péd
109
n dépenserais-je tant à son guichet ?), mais s’il
savait
que j’ai dépensé près de 600 francs depuis trois semaines, il estimer
110
pante. Voici : pour la première fois depuis je ne
sais
combien d’années, je viens de trouver dans un ouvrage littéraire la s
111
ution d’une question précise. Grâce à Colette, je
sais
maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces. Cela n’a l’a
112
937)s t Il faut parler des « autocars ». Je ne
sais
si l’on se doute à Paris de l’importance des autocars et des transfor
113
eur rencontré dans l’autocar de Taillefer voulait
savoir
quel était mon métier. Et quand j’eus dit que je n’en avais aucun, et
114
gnes, et ingénieux les plus balourds, enfin je ne
sais
quelle supériorité humaine, quel luxe d’énergie ou d’invention qui, s
115
t matériellement difficile, M. Denis de Rougemont
sait
tracer un tableau très vivant et très nuancé de la province française
116
les adversaires, donc discuter. Au surplus, je ne
sais
pas si le terme d’adversaire convient à M. Pierre Beausire. Il approu
117
ématiquement déprimées par les tyrannies que l’on
sait
. Mais tout ceci nous maintiendrait encore dans le seul plan « moral »
118
défaut de la foi, ils connaissent l’Histoire, et
savent
de quoi l’Europe s’est faite. Pierre Beausire ne craint pas de procla
119
en enfant, mais en adolescent impénitent. ⁂ Je ne
sais
trop quelle dose d’ironie M. Beausire joint à son vœu final : « Qu’il
120
purement « morale », sentimentale, idéaliste, ne
saurait
suffire à la tâche. « Le peuple a besoin — nous dit l’auteur — de che
121
grand chapeau, ses pantalons trop longs. Mais on
savait
aussi que cet original était le plus grand écrivain de son pays. Sa p
122
e. Il le devint lui-même, de tout son être. Et il
savait
ce que cela devait lui coûter. Car le monde ne tolère jamais la passi
123
. Il force les hommes à être attentifs. Ah ! Dieu
sait
s’ils deviennent attentifs, ils le tuent. Mais c’est là ce qu’il voul
124
ictoire.84 ⁂ De cette œuvre considérable, il ne
saurait
être question, ici, de résumer ne fût-ce que les thèmes directeurs. I
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enté”, elle apparaît pour la première fois. Je le
sais
, je sais aussi ce qu’il m’en a coûté, ce que j’ai souffert, je puis l
126
le apparaît pour la première fois. Je le sais, je
sais
aussi ce qu’il m’en a coûté, ce que j’ai souffert, je puis l’exprimer
127
pas cette mort opaque dont il faut redouter je ne
sais
quelle invisible et brusque vie tout près. Nuit des villes, rouge et
128
ration des trois chambres du premier étage, on ne
sait
jamais… Les vingt-deux pièces du dessus de cheminée ont été replacées