1
n dénoncent l’impossibilité foncière. À serrer de
si
près le réel, on le convainc rapidement de monstruosité et de scandal
2
’y a pas de chemin, nous ne pouvons marcher, mais
si
nous ne marchons pas, il n’y a pas de chemin. La foi au Christ nous p
3
s le chemin ». Mais un chemin n’est un chemin que
si
on y marche4. Sinon il n’est qu’un point de vue ; ou bien encore le l
4
lieux règne le désespoir. Il nous faut donc agir,
si
nous voulons la vérité, agir en vérité, c’est-à-dire agir dans le Chr
5
ton bien et le donne aux pauvres, par exemple, ou
si
tu ne possèdes pas de bien, cesse d’en désirer la possession, et vis
6
à tout instant. C’est là la santé de la foi »10.
Si
nous vivions dans l’obéissance et dans la foi, il n’y aurait ni passé
7
égnerait sur le monde et l’unité du genre humain.
Si
nous vivons dans l’obéissance et dans la foi, l’histoire s’arrêterait
8
le a répondu : Le matin vient, et la nuit aussi !
Si
vous voulez interroger, interrogez ; convertissez-vous et revenez ! »
9
de la foi, où par grâce il peut rompre ce lien. «
Si
vous voulez interroger, interrogez ! », mais la réponse est : « Conve
10
mais la vision à la parole dont elle procède, et
si
la face d’un homme est belle, c’est parce qu’elle est un acte et un d
11
ons de ce genre : « Grande sera ma responsabilité
si
je rejette une mission de cette sorte » — c’est-à-dire s’il rejette s
12
qui se déroulait et courait dans la haie voisine.
Si
par hasard la boule et le maillet restaient en place, c’était alors l
13
atique, et pourraient définir utilement le parti,
si
seulement chacun de ces mots avait le même sens pour tout le monde. O
14
sens que Littré donne, pour le seul mot : esprit,
si
j’interroge au hasard ceux qui veulent défendre « l’esprit » contre l
15
’Éthiopie, etc. L’ordre sera tantôt le statu quo,
si
absurde soit-il, tantôt la dictature brutale et arbitraire, plus rare
16
de progrès sur l’âge des clichés bourgeois. Mais
si
les mots d’ordre sont faux ? Si l’ordre qu’ils imposent est arbitrair
17
s bourgeois. Mais si les mots d’ordre sont faux ?
Si
l’ordre qu’ils imposent est arbitraire, ou s’il ne mise que sur l’ind
18
ou s’il ne mise que sur l’indignité humaine ? Et
si
la propagande et la publicité qui ont pris la place des lieux communs
19
d’humanité, — le contraire absolu de la culture,
si
la culture est justement la part active que prend l’homme à tout ce q
20
en somme l’impuissance pratique de notre langue.
Si
les mots « portaient » réellement, les écrivains seraient moins excit
21
à tout prix des débuts et l’impérialisme actuel (
si
mal déguisé par la IIIe Internationale) ; la lutte contre l’État, et
22
u marxisme — et combien de marxistes eux-mêmes !)
Si
maintenant j’essaie de saisir l’identité foncière et la continuité de
23
tion centrale qu’il importe d’être bien au clair,
si
l’on veut comprendre pourquoi la pratique et les fins du communisme c
24
e reste — disons : la culture, l’esprit, et l’âme
si
l’on y tient — il faut commencer par le nier. L’« esprit » du bourgeo
25
alisme vulgaire, celui que la presse bourgeoise a
si
beau jeu d’attaquer aujourd’hui — encore qu’elle le pratique elle-mêm
26
étrique de celui des idéalistes : la croyance que
si
l’on change l’ordre des choses, on change automatiquement la réalité
27
une attitude totale. (Je dirais bien totalitaire,
si
le mot n’avait été pareillement perverti par les caricatures séculièr
28
u même coup responsable à l’endroit du monde. Car
si
le monde s’est livré à l’injustice et au désordre, c’est par la faute
29
ns total de l’Évangile, ne peut donc se traduire,
si
elle s’est faite, que par une action du chrétien : contre le monde da
30
», le seul gage du salut total ? Alors, va-t-on,
si
l’on est converti, laisser le monde aller son train, et les guerres s
31
ar reconnaissance envers Dieu qui m’a transformé.
Si
je n’avais pas cette reconnaissance, ce serait que j’ignore mon salut
32
naissance, ce serait que j’ignore mon salut. Mais
si
je connais mon salut, je ne puis supporter mon péché et ses effets da
33
? Ainsi parlent le bon sens, et le marxisme. Mais
si
l’Apôtre avait placé la lutte sur ce terrain que l’on dit réaliste, à
34
ent justifiés à la grande masse des travailleurs.
Si
le marxisme a provoqué parmi les « exploités » un tel soulèvement d’e
35
nces, de telles vagues d’adhésions enthousiastes,
si
aveuglement enthousiastes, c’est qu’il s’est trouvé seul à protester
36
pas seulement l’« esprit » ou l’« intérieur ». Or
si
le marxisme a réussi cela, s’il a pu paraître cela, c’est dans la mes
37
ables que ceux du chrétien au marxiste. En gros :
si
Marx se trompe et réussit, c’est parce que Christ est mal prêché par
38
s disciples (que ce soit en paroles ou en actes).
Si
les chrétiens gardaient une conscience plus fidèle, partant plus doul
39
une chose inquiète”, on ne l’a pas impunément, et
si
on l’a, cela se voit, des choses changent. Ce que tu me reproches, c’
40
cation ! Drôle d’aventure, pour un dialecticien !
Si
tu dis que le chrétien est celui qui ne fait rien, tu prouves simplem
41
el malheur pour leur foi, ou pour son « succès »,
si
l’on ne parvient pas à l’opérer. Dans la jeunesse universitaire chino
42
plénitude, n’est jamais qu’un futur théorique, —
si
passionnée que soit l’espérance du marxiste — et non pas une présence
43
ui ne sauraient être les mêmes dans les deux cas,
si
la fin seule justifie les moyens58. La fin, ou le télos de l’action d
44
ne n’est pas futur, mais éternel et donc présent.
Si
, pour sauver le futur de l’Église, je désobéis dans le présent, je pe
45
ur le mieux-être du prochain, suffit à compléter,
si
je puis dire, l’action proprement religieuse. Et j’entends bien que l
46
r universel qui vient ? Or toute attente passive,
si
courageuse qu’elle soit, devient dans le cas présent une complicité.
47
alors, par principe, un régime fédéraliste. Mais
si
nous remontons plus haut, jusqu’au règne de François Ier, c’est-à-dir
48
sauvée : le Royaume où Dieu est « tout en tous ».
Si
les églises chrétiennes ont à souffrir demain par le fait d’un État t
49
adis, aux tentations théocratiques ou séculières.
Si
la culture et si nos libertés civiques sont brimées, par le fait d’un
50
ons théocratiques ou séculières. Si la culture et
si
nos libertés civiques sont brimées, par le fait d’une doctrine et d’u
51
avons, nous les premiers, dévié. « Malheur à moi
si
je n’évangélise ! », disait l’Apôtre. Malheur à moi si je refuse de r
52
n’évangélise ! », disait l’Apôtre. Malheur à moi
si
je refuse de réaliser l’Évangile dans tous les domaines de la vie. La
53
est qu’une question perpétuelle, une autocritique
si
l’on veut, que l’Église s’adresse à elle-même, et qui a pour fonction
54
ant d’appliquer. En bref, la doctrine chrétienne,
si
l’on veut établir un parallèle — sans doute dangereux — ce serait la
55
e qu’il consiste uniquement dans sa mission ; ou,
si
nous traduisons littéralement cette expression, à vrai dire très cour
56
age de Dieu. Jérémie n’eût été qu’un berger bègue
si
l’Éternel n’avait parlé par lui. Voici qui est digne de remarque : le
57
s prêtres sont là pour veiller sur l’Alliance. Et
si
ces « clercs » viennent à trahir, cédant à leur penchant immémorial e
58
la seule vocation. Idole toute action ou pensée,
si
belle ou si féconde qu’elle soit, qui ne puisse être consacrée au min
59
cation. Idole toute action ou pensée, si belle ou
si
féconde qu’elle soit, qui ne puisse être consacrée au ministère sacer
60
us une admirable conformité, parce que rien n’est
si
capable de la faire naître et de l’entretenir, que d’avoir les mêmes
61
nie dans le dynamisme, le Sens général de la vie.
Si
l’on admet que la destination de toute culture, c’est de concentrer l
62
tion, ne suffit pas à expliquer les ressemblances
si
souvent signalées entre le sort des tribus dispersées et celui du « p
63
ux renversement des rôles au dernier jour : « Or,
si
leur faute a fait la richesse du monde, et leur amoindrissement la ri
64
pparurent périodiquement au Moyen Âge. Je ne sais
si
cette explication vaudrait encore pour l’antisémitisme des hitlériens
65
uisque nos sacrificateurs peuvent, par des pièces
si
authentiques, prouver leur descente de père en fils depuis deux-mille
66
cente de père en fils depuis deux-mille ans ? Que
si
quelqu’un manque d’observer cet ordre, on le sépare de l’autel, sans
67
e un ouvrage capital : ils s’étonnent d’y trouver
si
peu de substance théologique et tant de plaisanteries parfois grossiè
68
ist : « … et toi, maintenant, crois-tu cela ? » —
Si
tu le crois, si tu as reçu la foi, il n’est plus rien de « difficile
69
, maintenant, crois-tu cela ? » — Si tu le crois,
si
tu as reçu la foi, il n’est plus rien de « difficile » dans les asser
70
n. Nous n’en ferons plus ! Nous refusons de jouer
si
, d’avance, le vainqueur a été désigné par un arbitre qui ne tient pas
71
ix. Non seulement prévu, mais accompli ! C. M. —
Si
c’était vrai, je préférerais encore nier ce Dieu, qui prétend voir pl
72
fausse qu’elle s’en formait… Mais tu affirmes que
si
Dieu prévoit tout, tu es alors dispensé d’agir, et que ce n’est plus
73
aire aucun effort. C’est peut-être mal raisonner.
Si
ton effort aussi était prévu ? Pourrais-tu ne pas le fournir ? Et si
74
était prévu ? Pourrais-tu ne pas le fournir ? Et
si
tu décidais : « je suis, donc Dieu n’est pas ! »32 qui t’assurerait q
75
décision. Et nous n’aurons pas dialogué en vain,
si
nous avons pu dégager l’alternative du libre arbitre, telle qu’elle s
76
simple absurdité. Mais alors, on peut se demander
si
ceux qui refusent le christianisme échappent vraiment à la difficulté
77
stianisme échappent vraiment à la difficulté ; ou
si
, au contraire, ils ne la retrouvent pas, mais dans un plan où elle re
78
Je ne reconnais aucun de mes livres pour adéquat,
si
ce n’est peut-être le de servo arbitrio et le Catéchisme. » 31. Luth
79
ruit qu’en « prise ». Il arrive même qu’il tourne
si
vite que toute tentative d’embrayage serait immédiatement fatale à la
80
instant ce qui arriverait dans le cas contraire.
Si
notre monde tient encore debout, c’est que les philosophies qui le pa
81
anarchie matérielle. On nous dira que, cependant,
si
le désordre du monde est réel, il se peut qu’il provienne, précisémen
82
us repoussons ? Nous serions mal venus à le nier.
Si
le monde dure, c’est-à-dire se renouvelle, c’est qu’il y a dans le mo
83
alité, qu’une réflexion sur les effets de l’acte.
Si
, au moment de sauter, l’athlète essaie de définir le saut, il ne saut
84
ilosophie »… Ceci nous amène à constater que : 1°
Si
on ne part pas de l’acte, on ne part pas du tout. 2° Si on ne part p
85
e part pas de l’acte, on ne part pas du tout. 2°
Si
on ne part pas tout de suite, on ne partira jamais. Le jeu des mots t
86
ints de la réalité humaine, le lieu de la pureté,
si
la « pureté du cœur », comme le veut Kierkegaard, c’est le vouloir un
87
n’est pas le désordre, c’est l’ordre. L’acte est
si
étroitement lié à ses effets qu’on ne saurait humainement le séparer
88
éelle, créant un double risque non moins réel, ou
si
l’on veut, une double tentation. Car, d’une part, renoncer à la machi
89
uction humaine, même et surtout rationnelle. Mais
si
nous rejetons toute médiation entre l’acte et ses manifestations huma
90
laborent activement, pour que dans leur localité,
si
éloignée, si peu importante soit-elle, le club de presse dont ils ser
91
vement, pour que dans leur localité, si éloignée,
si
peu importante soit-elle, le club de presse dont ils seront les insti
92
par le papier, le film et la radio n’a jamais été
si
grande, nous sommes obligés de revenir à une forme antique de transmi
93
. C’est la seule possible aujourd’hui. Camarades,
si
vous voulez savoir, aidez-nous ! (Pour tous renseignements, adressez
94
roite), ou flétriraient (à gauche) les mêmes lois
si
on les qualifiait de fascistes. Alors qu’elles sont, en fait, l’un et
95
ns, l’on s’obstinerait encore à écrire, à parler,
si
par hasard on est de bonne foi et si de plus on a des choses précises
96
e, à parler, si par hasard on est de bonne foi et
si
de plus on a des choses précises à exprimer. Je réponds : écrivons po
97
e dépende de la politique. Cela revient à écrire,
si
l’on me comprend, pour éduquer la méfiance du lecteur. h. Rougemon
98
. On a dit : le chapitre est bâclé. Je me demande
si
l’époque méritait mieux. Époque bâclée, elle aussi, littérature bâclé
99
et cela ne peut pas donner les éléments d’un art,
si
l’art est une construction. Il semble bien que la littérature la plus
100
e néglige un peu cavalièrement les contingences.
Si
j’étais plus avancé dans la vie — écrit-il —, je me rendrais compte d
101
que le mal est aussi grave que je l’indiquais. Et
si
l’on en doutait encore, c’est M. Fernandez qui me fournirait le plus
102
rès de la boucherie, du lait verdi. C’est à peine
si
l’on peut marcher à pied sec dans les passages étroits. Sur les seuil
103
e comprend rien à la réalité sociale de ce canton
si
l’on fait abstraction de tout cela dont le marxisme, justement, se do
104
sez ! Il ne faut pas croire que la viande soit un
si
bon remède comme on le dit. Je lui ai fait du poulet, elle n’y avait
105
tage. Voyez ! Ce n’est pas vrai que la viande est
si
bonne pour les malades. » Elle accepte de venir faire une lessive à l
106
u demanderas bien un espécialiste, rappelle-toi !
Si
tu oublies, tu n’auras qu’à te rappeler épicerie. » Épicerie pour spé
107
iez jamais fait ce rapprochement ? Ce petit fait,
si
l’on y réfléchit, résume un drame. Ce drame est celui du langage dans
108
es. — Voilà. Que vous dire de gens que je connais
si
bien ? C’est difficile de les classer et je n’aime pas beaucoup ça… I
109
anche matin, les hommes y vont boire leur pastis.
Si
l’on va au culte, il faut défiler devant les terrasses, c’est gênant.
110
me disait l’autre jour : Ah, monsieur le pasteur,
si
on pouvait entrer par-derrière, par la porte de la sacristie, on vien
111
ne envie d’aller faire l’intrus ou le bon apôtre.
Si
c’était possible, ce serait épatant, je ne dis pas. Mais pratiquement
112
se lève et résume le débat : « En somme, dit-il,
si
nous ne croyons pas en Dieu, nous autres, ce serait que nous sommes t
113
d’ici ne gagnent presque rien. (Lui, par exemple,
si
je l’en crois, n’a guère vendu depuis un mois que pour 50 francs de l
114
ndamentale. Peut-être ferais-je bien, à l’avenir,
si
j’écris quelque chose sur le fascisme ou sur les soviets, de mettre e
115
qu’on lui raconte une histoire, me dit R. — Mais
si
je raconte mon histoire ? — Le lecteur veut des histoires inventées.
116
— Le lecteur veut des histoires inventées. — Mais
si
je lui dis que j’invente mon histoire ? — Il ne vous croira pas, vous
117
f gâtisme précoce. Ce n’est pas un mal, je pense,
si
je suis heureux, bien que sans ressources. Mais d’autre part, est-ce
118
de foire). — Allons, tant mieux, fait l’homme. Et
si
des fois on vous en demande de trop, vous n’avez qu’à donner la mienn
119
r à tabaque, toute la bande ! — Oh ! dit l’homme,
si
vous y arrivez, c’est bien votre droit ! — Notre droit ? Peuchère, c’
120
eur cette division du monde en gros et en petits,
si
c’est le seul moyen pratique de faire valoir les droits élémentaires
121
d’une prose abstraite, brutale — eux qui le sont
si
peu ! — et si possible, plus médiocre que celle des grands journaux d
122
bstraite, brutale — eux qui le sont si peu ! — et
si
possible, plus médiocre que celle des grands journaux d’information.
123
argneux, travaille pour le bien de ses lecteurs ?
Si
l’on prend au sérieux le sort qui est fait aux ouvriers — ce n’est pa
124
seront habitées par des colonies de jeunes gens —
si
jamais ils en ont assez de se plaindre des villes, où ils s’incrusten
125
ui-même ! ») Mais je vois bien qu’ils exagèrent :
si
nous étions de purs esprits, nous ne projetterions pas d’ombre. L’omb
126
on ombre… Il était même si vivant, et sa présence
si
gênante, que je tentai de le contraindre, quoi qu’il arrive, aux supr
127
n pourrait tirer de cette « vérité d’expérience »
si
l’on voulait en faire une règle, comme nous en menacent les conformis
128
t cette humide lumière blanche qui met des ombres
si
légères, vertes et bleues, sur les murailles rosées. La maison compte
129
. — Est-ce qu’il n’y a rien d’écrit à la main ? —
Si
, il y a des corrections écrites à la main. Pédenaud relit pour la niè
130
sans sépulture, caché sous des feuillages brunis.
Si
j’ajoute que la porte d’entrée joint mal le seuil, tout s’explique sa
131
t Il faut parler des « autocars ». Je ne sais
si
l’on se doute à Paris de l’importance des autocars et des transformat
132
N’était-ce pas là l’une des raisons qui faisait,
si
facilement nier la subsistance des « petites patries » dans la nation
133
saires, donc discuter. Au surplus, je ne sais pas
si
le terme d’adversaire convient à M. Pierre Beausire. Il approuve notr
134
Pierre Beausire ne craint pas de proclamer que «
si
l’on veut parler à des hommes, et non à des enfants, il faut renoncer
135
Nietzsche. Mais non pas encore dans l’Histoire ?
Si
ce n’est pas une utopie de plus, un refuge pour les faibles et les sc
136
dre en s’engageant, et préfèrent la littérature ;
si
ce n’est pas une manière de « grève perlée » que de n’accepter la lut
137
que de n’accepter la lutte que dans ces termes ;
si
cet idéal est possible, si Beausire connaît de tels chefs, ou désire
138
que dans ces termes ; si cet idéal est possible,
si
Beausire connaît de tels chefs, ou désire en devenir un, qu’il nous a
139
i, même ceux-là ! Même ces deux-là qui sont allés
si
loin dans la passion de l’absolu chrétien, mais seul Kierkegaard en e
140
on dit non sans grandiloquence à propos de choses
si
peu plaisantes en général), un « soupçon » d’ironie qui est infinimen
141
iche et dépensait sans compter85. Le second était
si
pauvre, au moment où il écrivit ses plus grandes œuvres qu’il ne lui
142
. Puis c’est de nouveau cet étrange écho des pas,
si
proche dans les rues vides, et les mêmes chiens qui reviennent, et pa