1 ros et de son débat, ce personnage a vécu dans ce siècle , où son nom ne cessera de grandir : Franz Kafka. De cet esprit incomp

2 nstrations savantes qu’on nous a faites depuis un siècle pour nous prouver que l’acte est impossible et que le tout de l’homme

3 aux Romains (12, 2) : Ne vous conformez pas à ce siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de votre sens,

4 ation des volontés de Dieu, contrariant celles du siècle , — soit la pensée, par une action45 qui ne peut être que révolutionna

5 érive vers le néant. « Ne vous conformez pas à ce siècle présent, mais soyez transformés… » Cela ne signifie pas, pour un chré

6 le, va-t-elle maintenant se manifester dans notre siècle  ? Le phénomène de la « conversion » le fait bien voir. Un homme qui s

7 ques fortement développées dans leur race par des siècles d’attente de l’invisible. De même, l’ascétisme vigoureux, le pessimis

8 puissance abstraite (les fondateurs des trusts au siècle dernier), d’autre part en utilitarisme platement moralisant ; l’une e

9 rasme et son armée de grands docteurs de tous les siècles , pour soutenir le libre arbitre religieux, c’est-à-dire le pouvoir qu

10 ecclésiastique » ; et tous les Pères et tous les siècles dont se réclame Érasme n’y changeront rien : « Travaillez à votre sal

11 oman, du paysage, du roman, pour cette tranche de siècle que meublera la génération de 1914. Il est caractéristique que le li

12 pas seulement des mois, ni même des années ou des siècles , mais quelque chose de beaucoup plus dangereux et difficile que l’ava

13 t, d’où vient le vent le plus glacial, depuis des siècles , et en tout cas depuis longtemps avant la construction de cette maiso

14 permettait d’imaginer l’obtus physiologisme de ce siècle . La « Liquor vitae », selon Paracelse, c’est en effet le principe d’a

15 fois, mais non pas ses charmes profonds. C’est le siècle où je vis qui n’a plus d’ombre, et c’est pour lui que je garde ma pit

16 ses coutumes populaires, antérieures de plusieurs siècles , voire d’un ou deux millénaires, à Chamisso. 36. « J’éprouve que c

17 e son opulence, frisé comme une perruque du grand siècle . De trois côtés de la place généralement vide, les maisons s’alignent

18 l mena contre l’Église établie et contre dix-huit siècles de chrétienté officielle — attaque contre le « monde chrétien » au no