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urquoi nous n’avons plus d’être que par la foi, «
substance
des choses espérées », et c’est pourquoi la Parole, parmi nous, n’est
2
e longue passion temporelle. Et c’est la « foi »,
substance
des choses espérées, qui permet seule de supporter les maux que l’on
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ge capital : ils s’étonnent d’y trouver si peu de
substance
théologique et tant de plaisanteries parfois grossières, de platitude
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tées cavalièrement (Maurois-Mauriac : « manque de
substance
, d’épaisseur, de variété… », « accrochés aux petites histoires de leu