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rebelle, de ceux que Dieu s’est « choisis » pour
témoins
, en tant que collectivité, peuple ou église. En vertu de cette « élec
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ncore attitude du « spectateur » et attitude du «
témoin
». Opposition qui, sur le plan théologique, ou mieux : dans la totali
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c Mina. Le jour venu de signer le contrat, devant
témoins
, lorsque son imposture éclate au grand soleil, Mina s’écrie : « Oh !
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successeur le qualifia, selon l’usage, de « grand
témoin
de la vérité ». Kierkegaard écrivit alors un article indigné, qui pro
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décrivait la vie de Nynster. Était-ce celle d’un
témoin
de la vérité ? Non, s’écriait Kierkegaard : Un témoin de la vérité,
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n de la vérité ? Non, s’écriait Kierkegaard : Un
témoin
de la vérité, c’est un homme dont la vie est familière avec toute esp
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on, et puis enfin — car c’est bien d’un véritable
témoin
de la vérité qu’on nous parle — et puis enfin crucifié, décapité, brû
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ns un endroit écarté, sans être enterré. Voilà un
témoin
de la vérité, sa vie et son existence, sa mort et son enterrement, et
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t l’évêque Nynster, nous dit-on, fut un des vrais
témoins
de la vérité ! En vérité, il y a quelque chose de plus contraire au c
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ouer ensuite au jeu que l’évêque Nynster était un
témoin
de la vérité. Cas symbolique aux yeux de Kierkegaard. Il fallait un
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sommier implacable restera dans l’escalier comme
témoin
des bouleversements que nous avons infligés à la maison. Pas question