1 nt, répugne absolument à concevoir que les dogmes théologiques puissent figurer la théorie d’une pratique49. Le christianisme n’est

2 ns, car nous ne parlons pas de vérités « purement théologiques  » comme le dirait un incroyant. Que servirait à l’homme, tel que le v

3 et Marx !54 C’est ici qu’une critique proprement théologique se révèle seule capable de marquer les limites existant en fait, et l

4 mbe directement sous le coup de la seule critique théologique , ce sont les buts derniers du communisme et les postulats qu’il suppo

5  : ils s’étonnent d’y trouver si peu de substance théologique et tant de plaisanteries parfois grossières, de platitudes, de contra

6 936) à louer la mesure et la sérieuse information théologique … Ceci dit, il est juste d’insister sur la grande valeur des travaux d

7 titude du « témoin ». Opposition qui, sur le plan théologique , ou mieux : dans la totalité de l’être, revient à celle d’un christia

8 que Luther est « déterministe ». Mais le sérieux théologique est chose trop rare, et pour beaucoup trop difficile à concevoir, pou

9 ec Martin Heidegger et Karl Jaspers. La troisième théologique  : l’école dialectique, qui sous l’impulsion de Karl Barth est en trai