1
antage, la présence d’un être vrai, qui apporte à
toute
l’œuvre une émouvante précision. Le personnage de Garta, dont le lect
2
hie objective. Mais par une sorte de compensation
tout
inconsciente, c’est au désir de prolonger le merveilleux dialogue int
3
public plus étendu, l’avance nécessaire, le gage
tout
humain dont certains lecteurs ont besoin, pour se risquer à découvrir
4
qu’il fait à son ami, la brève idylle de Weimar…
tout
cela compose une description exacte de la jeunesse de Kafka. Quelques
5
de s’en évader — durant le temps de leur ivresse
tout
au moins — Kafka nous ramène sans cesse, avec une sorte d’humour infl
6
truosité et de scandale métaphysique. Et dès lors
tout
devient étrangement signifiant, le fait divers s’agrandit peu à peu a
7
sophie, et la recherche au moins d’une théologie.
Tout
cela, qui n’est pas exprimé mais voilé et seulement trahi par certain
8
ité pratique et sociale, volonté qui se manifeste
tout
au long de son existence, et qui devait l’amener entre autres, à son
9
nts de l’aventure du « vieux Pragois », héros non
tout
à fait imaginaire, lui aussi, du Royaume enchanté de l’amour. 22.
10
ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)c «
Toute
mon activité d’auteur — nous dit Kierkegaard — se rapporte à ce seul
11
e — car on appelle ainsi leur anxiété. En vérité,
toutes
les démonstrations savantes qu’on nous a faites depuis un siècle pour
12
nous prouver que l’acte est impossible et que le
tout
de l’homme est soumis au calcul, tout cet effort des sciences et des
13
e et que le tout de l’homme est soumis au calcul,
tout
cet effort des sciences et des sociologies établit à grands frais l’é
14
rist est la condition nécessaire et suffisante de
tout
acte véritable, de toute marche, de toute création, de toute victoire
15
cessaire et suffisante de tout acte véritable, de
toute
marche, de toute création, de toute victoire sur la Nécessité. « Je s
16
sante de tout acte véritable, de toute marche, de
toute
création, de toute victoire sur la Nécessité. « Je suis le chemin ».
17
véritable, de toute marche, de toute création, de
toute
victoire sur la Nécessité. « Je suis le chemin ». Mais un chemin n’es
18
gir dans le même temps qu’elles nous privaient de
tout
pouvoir, s’évanouissent et meurent aux pages des livres. L’action de
19
l’homme devient aussi la vérité ; et la norme de
toutes
les normes. Au premier pas que nous faisons dans notre nuit, voici qu
20
’origine, — lit-on dans un dialogue de Kassner6 —
toutes
les créatures, le Soleil, la Terre, la Lune, les plantes, les animaux
21
ent que chaque chose tire sa force et son temps ;
toute
créature languit après ce commencement et bienheureux est celui qui d
22
ourtant son point de départ. Le chemin commence à
tout
homme qui se met en devoir d’obéir à l’ordre qu’il reçoit de Dieu, —
23
ration. « Comment un homme devient-il chrétien ?
Tout
simplement : prends n’importe quelle règle d’action chrétienne, — ose
24
ortera la marque de l’absolu : c’est la marque de
tout
ce qui est véritablement chrétien (Journal). Vends ton bien et le don
25
ation suivra comme un fruit de la reconnaissance…
Tout
commence par la joie d’être aimé — et ensuite vient l’effort de plair
26
min », en dehors de l’acte de foi qui, supprimant
toute
distance historique, nous rend contemporains de Son incarnation. Ains
27
produire sans que rien y prépare. « Car Dieu peut
tout
à tout instant. C’est là la santé de la foi »10. Si nous vivions dans
28
e sans que rien y prépare. « Car Dieu peut tout à
tout
instant. C’est là la santé de la foi »10. Si nous vivions dans l’obéi
29
r l’éternité : car je la gagne et ne puis plus de
toute
éternité la renoncer ; et c’est le paradoxe ; mais il faut un courage
30
ant de la durée : entre la mort et la naissance —
toute
la réalité de l’homme est dans son acte. Tout acte est Passage et ten
31
— toute la réalité de l’homme est dans son acte.
Tout
acte est Passage et tension, — passage de la mort à la vie, tension e
32
e. C’est ici qu’on touche au mystère, sans lequel
tout
serait absurde : acte détruit le temps, puisqu’il est dans le même in
33
jours initiation. La vision de celui qui agit est
tout
entière absorbée par l’instant, par le passage de ce qui meurt à ce q
34
s ; car le héros n’a connu son succès que lorsque
tout
était fini ; et ce n’est point par le succès qu’il fut héros, mais pa
35
t mourir : sans y croire. À vrai dire, nous avons
toutes
les raisons d’en douter, s’il est vrai que le doute est révolte, et q
36
le contraire du désespoir. Mais il le sait d’une
tout
autre façon que le désespéré ne l’imagine. Parce que le rapport du dé
37
r ? « L’homme ne peut faire qu’une seule chose en
toute
sobriété, c’est l’absolu »17. Entre le désespéré et l’absolu, il y a
38
bsolu »17. Entre le désespéré et l’absolu, il y a
tout
ce romantisme qui veut que l’acte soit puissance et jouissance, il y
39
rdre, une Parole reçue d’ailleurs, une rupture de
tout
drame humain que nous pussions prévoir, désirer et décrire ; une rupt
40
un visage ailleurs que dans l’acte d’aimer. 7.
Toute
vocation est sans précédent Car elle est prophétie justement ! — e
41
forte raison l’audace chrétienne, est au-delà de
toute
vraisemblance, là où précisément l’on renonce à la vraisemblance »19.
42
embre 1936)e Je ne trouve pas ce jeu juste du
tout
, dit Alice. Ils se disputent tous tellement qu’ils vous assourdissent
43
patries de l’ordre à la patrie de la révolution…
Toutes
ces combinaisons et ces permutations seraient néanmoins assez simples
44
iatique, ou une mentalité de classe ou simplement
toute
la culture et ses produits. Une simple équivoque sémantique dresse pa
45
e série de mesures économiques, transmutation de
toutes
les valeurs morales, etc. Et tous ces sens se chevauchent pour former
46
ls que patriotisme, nationalisme, impérialisme… ⁂
Tout
concourt à créer et aggraver cette crise du sens des mots et de la sé
47
, et qui pourrait servir de norme ou de repère, a
tout
au plus triplé, et c’est sans doute encore trop dire. Racine avait un
48
et les ouvrages populaires à grand tirage, voilà
tout
un domaine que l’écrivain digne du nom ne contrôle pas, ne forme pas,
49
des grandes masses à la vie de l’esprit me paraît
tout
à fait improbable dans l’état actuel du régime. Elle est à tout le mo
50
probable dans l’état actuel du régime. Elle est à
tout
le moins vérifiable. Par contre, on peut très nettement constater le
51
est justement la part active que prend l’homme à
tout
ce qui est création dans la nature, dans l’histoire, dans la vie de l
52
toriques. On vous répond que vous vous trompez du
tout
au tout ; que vous n’entendez rien au « devenir dialectique », dont l
53
. On vous répond que vous vous trompez du tout au
tout
; que vous n’entendez rien au « devenir dialectique », dont la dictat
54
ts, puis la dictature de Staline ; le pacifisme à
tout
prix des débuts et l’impérialisme actuel (si mal déguisé par la IIIe
55
erbe de la SDN puis l’entrée dans cet organisme ?
Tout
cela peut s’expliquer, je l’entends bien, par des nécessités pratique
56
nœuvres au nom de la doctrine, et les justifier à
tout
coup (avec léger retard sur l’événement !) par des nécessités dites «
57
un mal universel, et qu’il faut donc transformer
toutes
choses, tel est, je crois, l’acte initial mais aussi la passion const
58
est ce mouvement profond qui légitime, à ses yeux
tout
au moins, les détours les plus tortueux, mettons les détours dialecti
59
me d’abord, ou le monde d’abord ? Le marxiste,
tout
comme le chrétien, a reconnu que l’homme n’existe pas isolément, qu’i
60
ociété présente n’a pas le droit de déterminer le
tout
de l’homme, et ne le peut pas. Car elle est divisée contre elle-même,
61
nation de soi », qui selon Marx serait le fait de
toutes
les sociétés passées, y compris le communisme primitif, correspond fo
62
— dressera donc le chrétien et le marxiste contre
toute
espèce de statisme, contre toute spéculation idéaliste, détachée et i
63
marxiste contre toute espèce de statisme, contre
toute
spéculation idéaliste, détachée et inactuelle, et contre toute activi
64
tion idéaliste, détachée et inactuelle, et contre
toute
activité qui ne concourrait pas, d’une façon ou d’une autre, à transf
65
, par deux propositions parfaitement claires qui,
tout
en affirmant avec vigueur la nécessité d’un « changement », et d’un c
66
ssez que la doctrine originelle de Marx est avant
tout
la mise en forme d’une polémique. Elle est, très consciemment, condit
67
core qu’elle le pratique elle-même sans vergogne,
tout
en le niant pour les besoins de sa cause. Ce matérialisme vulgaire, q
68
a cause. Ce matérialisme vulgaire, que Marx avait
tout
d’abord combattu48, est devenu, après lui, un mensonge absolu exactem
69
et accent que « les masses » ont senti, parce que
tout
les y prédisposait. Le résultat, c’est l’URSS de Staline, régime dont
70
e réfèrent à chaque instant à ce qui détermine le
tout
de l’homme : son origine, sa fin, et sa mission présente. Le chrétien
71
le qui soit, disons mieux : la seule radicale. Et
toutes
les autres, dans notre Occident troublé par un message qu’il méconnaî
72
le but de sa vie : il connaît dès lors son péché,
tout
ce qui l’écartait de sa voie. Mais il se connaît du même coup respons
73
de l’homme, qui était son roi, et qui a trahi. Et
tout
péché individuel répète et aggrave cette faute. Ainsi : conscience du
74
est pas concevable, sérieusement, sans l’autre. «
Toute
droite connaissance de Dieu naît de l’obéissance », écrit Calvin. Et
75
se. Il faut aller plus loin que cette affirmation
tout
évidente. Non seulement l’homme converti devient transformateur du mo
76
de — ou sinon il n’est pas converti — mais encore
toute
transformation de la forme actuelle des choses, qui ne serait pas l’e
77
bjectif aux chrétiens. Pourtant l’Empire leur ôte
toute
liberté, et bientôt leur ôtera la vie ! Ne faut-il pas « aller au plu
78
r éternel. Il annonçait l’homme changé. Trop beau
tout
cela ! Trop beau pour être vrai, dit le marxiste. (Chrétien, changé,
79
s vois pas. Je vois une Église établie, opprimant
toutes
les dissidences, pactisant avec les puissants, soutenant partout les
80
ejeter sur l’oppression capitaliste, trop réelle,
tout
le malheur inhérent à l’existence, tout le malheur dont en vérité le
81
p réelle, tout le malheur inhérent à l’existence,
tout
le malheur dont en vérité le péché de chacun est responsable. L’obser
82
onté proclamée, concrète et immédiate, de changer
tout
; et non pas seulement l’« esprit » ou l’« intérieur ». Or si le marx
83
nu, il reste qu’en doctrine, et indépendamment de
toutes
nos fautes, l’objection marxiste ne vaut rien, alors que l’objection
84
xiste me reproche de me contenter d’un changement
tout
spirituel, et qui n’affecte en rien le cours des choses, je suis fond
85
ma lâcheté, à mon absence de foi, mais non pas du
tout
à la foi. Car la foi, dit Luther, est ‟une chose inquiète”, on ne l’a
86
e fait rien, tu prouves simplement que tu ignores
tout
du christianisme. » (Je répète que ce n’est pas sa faute, à ce marxis
87
pas sa faute, à ce marxiste, mais notre faute, et
tout
d’abord la mienne.) Par contre, quand je reproche au marxisme sa dévi
88
s de l’homme en ce qu’elles ont d’irréductibles à
toute
détermination sociale ou historique imaginable, dans le passé, le pré
89
paradis terrestre ? Nous arrivons maintenant,
toute
équivoque grossière dissipée en principe, au lieu de la véritable déc
90
la foi personnelle du chrétien suffit à expliquer
tout
le reste. Le communisme prépare un paradis terrestre, le paradis temp
91
en, il sait qu’il est membre d’un corps qui porte
toutes
les marques du péché. Il est alors en face du monde, et au nom même d
92
cela suppose identiquement une volonté de changer
tout
ce qui peut l’être ; mais aussi, cela suppose certains moyens d’actio
93
chrétien, c’est le royaume de justice et d’amour.
Tout
acte qui contredirait, dans le présent, la loi d’amour et de justice,
94
e l’Église, je désobéis dans le présent, je perds
tout
du même coup, présent, futur, éternité. Je crucifie le Christ et je m
95
s du chrétien doivent être aussi purs que sa fin.
Tout
autre est le cas du marxiste. N’ayant pas derrière lui de modèle acco
96
i éternel, puisque le salut n’est pas pour eux de
toute
façon, mais pour les descendants de leurs descendants ? C’est ainsi q
97
osant, un « trotzkyste » ou un « saboteur », et à
tout
le moins un militant suspect. Tout cela repose sur un fait unique, qu
98
boteur », et à tout le moins un militant suspect.
Tout
cela repose sur un fait unique, que nous pouvons formuler simplement
99
ienne se manifeste ici et maintenant et engage le
tout
de l’homme ; tandis que l’immanence de la croyance marxiste renvoie s
100
squ’elle est, en effet, l’essentiel, et le but de
tout
autre changement. J’en vois beaucoup qui jugent que l’action personne
101
t pratiquement ? Ils me disent : « On ne peut pas
tout
faire ! Quand beaucoup d’hommes seront changés, beaucoup de problèmes
102
tenait ce raisonnement, pour justifier une action
tout
inverse. Je pense qu’il faut aller plus loin60. La déviation matérial
103
it pas seulement nous inciter à des condamnations
toutes
théoriques : elle doit nous avertir de corriger sans trêve la déviati
104
sciemment. Sinon nous laisserons le champ libre à
toutes
les entreprises désespérées qui passionnent les masses incroyantes. I
105
nations, de forces, de civilisation chrétiennes.
Tout
cela se trouve mis au défi par l’exigence totalitaire, comme le prouv
106
apitale, dans le malheur universel qui vient ? Or
toute
attente passive, si courageuse qu’elle soit, devient dans le cas prés
107
lviniste, doit être ici en mesure de répondre. De
toutes
les églises chrétiennes, l’église calviniste est en effet la plus ant
108
grand souci d’œcuménisme, que nous voyons gagner
toutes
les églises, est une promesse à laquelle nous devons croire de toute
109
est une promesse à laquelle nous devons croire de
toute
la force de notre foi. Aussi ne veux-je tirer de mon exemple qu’une c
110
r une forme d’État qui, par définition, contredit
toute
diversité, toute autonomie spirituelle au sein de la communauté. Il y
111
t qui, par définition, contredit toute diversité,
toute
autonomie spirituelle au sein de la communauté. Il y va de notre tout
112
tuelle au sein de la communauté. Il y va de notre
tout
, personnel, mais aussi de la valeur de la communauté pour tous les ho
113
e la trahison du christianisme par la chrétienté.
Toutes
les aspirations valables et généreuses du marxisme sont autant d’essa
114
rs une économie sauvée : le Royaume où Dieu est «
tout
en tous ». Si les églises chrétiennes ont à souffrir demain par le fa
115
u réel, une liberté abstentionniste et inféconde.
Tout
le mal vient de notre esprit. C’est à lui de faire pénitence, car c’é
116
éissance, et c’est aussi un acte d’humilité ; car
toute
parole humaine sur Dieu est nécessairement inadéquate en soi, et ne p
117
: « tendre vers… » 51. Ma supposition n’est pas
toute
gratuite : elle s’est réalisée plus tard sous Constantin par des moye
118
nd, le professeur Hans Mühlestein, rétorquait : «
Toutes
les révolutions de l’histoire de l’Occident, sont sorties de la relig
119
Occident, sont sorties de la religion chrétienne.
Toute
autre cause est secondaire. » Et Henri de Man : « Je crois qu’il n’y
120
il dans l’être humain d’absolument irréductible à
toute
transformation sociale ? La mort physique et le péché. Mais aussi : l
121
ité, la fonction créatrice de l’esprit. En somme,
tout
l’essentiel ! — Je dis que toute doctrine qui ne tient pas compte d’u
122
esprit. En somme, tout l’essentiel ! — Je dis que
toute
doctrine qui ne tient pas compte d’une de ces conditions conduit néce
123
ns viennent de ceci : que nous n’acceptons pas de
tout
soumettre aux volontés de Dieu. Nous réservons certaines activités, c
124
agerie polémique des bourgeois, aux yeux desquels
tout
bolcheviste est un criminel en puissance. Les communistes représenten
125
F. de Schickler, une constitution très serrée en
toutes
ses parties, constitution démocratique, fédérative et parlementaire.
126
ique, fédérative et parlementaire. » À la base de
tout
, il y a l’église locale, ou paroisse. Ces églises se fédèrent par rég
127
tes, leurs faux pas, leurs accès d’incroyance. Et
toute
leur grandeur est à Dieu, c’est-à-dire à la vocation qui les arrache,
128
ue ses yeux ne peuvent voir, et qui pourtant fait
toute
sa grandeur, c’est la révolte du destin profane contre la vocation li
129
lu par Dieu et « mis à part »64. C’est à elle que
tout
acte se réfère, et non seulement tout geste, mais toute pensée. Rien
130
à elle que tout acte se réfère, et non seulement
tout
geste, mais toute pensée. Rien n’est plus neutre ou laissé au hasard,
131
acte se réfère, et non seulement tout geste, mais
toute
pensée. Rien n’est plus neutre ou laissé au hasard, tout est « mesuré
132
nsée. Rien n’est plus neutre ou laissé au hasard,
tout
est « mesuré » et jugé dans la perspective de la fin assignée à toute
133
et jugé dans la perspective de la fin assignée à
toute
la nation : l’Éternel Dieu et son service. Ainsi l’Arche de l’Allianc
134
et final régulateur et en même temps animateur de
toutes
les œuvres d’une nation, tant matérielles que politiques et spirituel
135
s la mesure des tribus hébraïques se distingue de
toutes
les autres en ce qu’elle est une vocation adressée par un Dieu person
136
rand chef. Elle est donc plus « totalitaire » que
toute
mesure humainement concevable, puisqu’elle ne tire pas son origine de
137
rité —, elle porte en elle la règle permanente de
toute
action et de toute pensée. Vraie mesure donc, et parfaitement commune
138
en elle la règle permanente de toute action et de
toute
pensée. Vraie mesure donc, et parfaitement commune. On porte l’Arche
139
des images d’où elle tire son nom. Elle embrasse
tout
ce qui n’est pas foi, mais vue, tout ce qui est refus d’obéissance, e
140
lle embrasse tout ce qui n’est pas foi, mais vue,
tout
ce qui est refus d’obéissance, et imagination d’un autre bien. Idole
141
obéissance, et imagination d’un autre bien. Idole
tout
ce qui détourne de la seule vocation. Idole toute action ou pensée, s
142
tout ce qui détourne de la seule vocation. Idole
toute
action ou pensée, si belle ou si féconde qu’elle soit, qui ne puisse
143
rée au ministère sacerdotal du peuple élu. Idole,
tout
ce qui n’est pas ordonné à la fin que les prophètes annoncent sans re
144
entre les philosophes… Nous croyons que Dieu voit
tout
ce qui se passe dans le monde. Nos femmes et nos serviteurs en sont p
145
he les règles de la conduite de notre vie, et que
toutes
nos actions doivent avoir pour objet de plaire à Dieu. Une cultur
146
t le Progrès, le foisonnement et la diversité, et
toute
mesure ne serait à nos yeux qu’une occasion de dépassement… Oui, la R
147
éléments progressivement désunis, puis coupés de
toute
base commune, en viennent à ne plus même pouvoir communiquer, ni s’an
148
é, se forgeant une langue singulière au mépris de
tout
« sens » commun, et convoquant enfin, à grands frais d’inventions, la
149
du genre humain. Le dilemme qui se trouve posé à
toute
civilisation, et d’une manière très urgente à la nôtre, est assez cla
150
à ce dont l’exemple juif nous permettra mieux que
tout
autre de juger. Que devient en effet la culture, dans un monde où n’e
151
ne sorte de génie sombre lui montrait l’envers de
toute
chose, et avec des accents d’amère ironie, proclamait que la justice
152
anière ne devait jamais être sacrifiée.68 Ainsi
toute
tentative de culture profane se voit assimilée à une révolte d’orguei
153
C’est une ascèse : il s’agit de détruire en germe
tout
ce qui comblerait trop tôt, ou trop humainement, la grande attente me
154
upérieure ; dénué de termes abstraits, impropre à
toute
métaphysique69 il contraint les auteurs sacrés à l’invention de métap
155
s les eaux plus bas que la terre. » Cela condamne
toute
espèce d’art plastique. « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma fac
156
beaux-arts, fictions écrites, science, industrie,
tout
cela est sacrifié à la seule chose nécessaire : l’accomplissement d’u
157
al de la vie. Si l’on admet que la destination de
toute
culture, c’est de concentrer les puissances de la nature et de la soc
158
, et dont l’esprit connaît un but auquel il dédie
toutes
ses œuvres, l’on voit que la culture la plus pauvre, qui fut celle du
159
’il ne se fasse rien qui y soit contraire, et que
toutes
choses ne sont pas mieux réglées le jour d’une fête solennelle, qu’el
160
sont toujours parmi nous ? Chute d’Israël
Tout
était suspendu à la Loi, qui était elle-même suspendue à la promesse
161
d’irréconciliable opposition dont s’était nourrie
toute
la tradition judaïque. C’est précisément ce sens de la continuité his
162
raditions prophétiques. Mais sait-on à quel point
tout
cela vit encore dans les églises évangéliques de nos jours ? Dès les
163
jours ? Dès les bancs de « l’école du dimanche »,
tout
jeune protestant est nourri aux sources mêmes du judaïsme préchrétien
164
t partie l’impulsion, attitudes analogues en ceci
tout
au moins qu’elles mettent l’accent sur le fait de l’élection. Il est
165
uelques indications, qui appelleraient d’ailleurs
toutes
les nuances qu’on imagine, nous amènent au problème central que pose
166
un calviniste, l’exemple d’Israël et de sa chute.
Toute
la théologie éthique de Calvin est centrée sur la vocation : vocation
167
rsqu’elle lui apparaît incarnée ? Est-il rejeté à
tout
jamais ? Une vocation est-elle donc « amissible » ? Le refus de l’hom
168
ifier un arrêt éternel, alors que Dieu prédestine
tout
homme dès avant sa naissance et ses œuvres ? Ce problème n’est pas gr
169
des païens soit entrée (dans l’Église) ; et ainsi
tout
Israël sera sauvé » (v. 25-26) … « Car les dons et l’appel de Dieu so
170
e, même si celui qui en est l’objet s’y oppose de
toutes
ses forces ! Car sa révolte même se trouve servir les desseins éterne
171
t à moi, écrit Calvin, j’étends ce nom d’Israël à
tout
le peuple de Dieu, en ce sens, après que les gentils seront entrés de
172
ambivalents », comme dirait Freud, qu’ont eus de
tout
temps les chrétiens à l’égard du peuple d’Israël. Tout dépend de lui,
173
temps les chrétiens à l’égard du peuple d’Israël.
Tout
dépend de lui, et il refuse ! D’où la haine sourde, et en même temps
174
’antisémitisme des hitlériens, qui n’en serait en
tout
cas que le plus impur exemple. Il reste que la chrétienté non seuleme
175
ocation spirituelle de ce peuple. Il n’est pas du
tout
biologique. Il ne le devient qu’accessoirement, à mesure que l’on pre
176
avoir rien de plus exact pour exempter des races
tout
mélange avec d’autres, puisque nos sacrificateurs peuvent, par des pi
177
e capitale de cette notion de commune mesure pour
toute
culture ou civilisation, j’ai donné de plus amples précisions dans un
178
tion : « Et aussi ne faut-il pas entendre ceci de
toute
vocation, mais de celle par laquelle Dieu a adopté en son alliance la
179
lare volontiers « inhumain » parce qu’il attribue
tout
à Dieu. Importance du De servo arbitrio C’est sans doute dans
180
s vaste envergure, d’un témoignage qui transcende
toute
dispute. Entraîné par sa fougue habituelle, excité (bien plutôt que «
181
en proche, à ressaisir et reposer avec puissance
toutes
les affirmations fondamentales de la Réforme : justification par la f
182
otale entre un oui et un non absolus, et refus de
tout
moyen terme ou médiation plus ou moins rationnelle entre les règnes e
183
l’unique et perpétuelle question que nous posent
toutes
les pages de la Bible. Ils renvoient tous à une réalité dont ils ne s
184
ie pour les sages Mais il s’en faut de presque
tout
que les grandes thèses pauliniennes de la Réforme soient acceptées (o
185
e chrétiens. Il s’en faut de beaucoup, de presque
tout
, que les arguments d’un Érasme nous apparaissent comme autant de soph
186
même prêchés. Le laïcisme moraliste n’en a pas du
tout
le monopole : tout catholique se doit, en bonne logique, de les faire
187
ïcisme moraliste n’en a pas du tout le monopole :
tout
catholique se doit, en bonne logique, de les faire siens, puisqu’il c
188
nêtement les objections, donne à la thèse adverse
toutes
ses chances, non sans ironie toutefois, et sait enfin conférer à son
189
mouvement (comme dirait le jargon d’aujourd’hui),
tout
est fait, dans notre Traité, pour heurter de front le lecteur incroya
190
s total, ou mieux, cette négligence tranquille de
toute
espèce de considération psychologique. (Un tel homme est bien trop vi
191
qui ne manquera pas de faire crier au dogmatisme.
Tout
se passe ici « à l’intérieur » du christianisme, de l’Église. L’human
192
e Traité fut pensé. Je tenterai donc d’esquisser,
tout
au moins, le dialogue d’une « conscience moderne », douée d’exigence
193
me qui veut croire…) Dialogue Car Dieu peut
tout
à tout instant. C’est là la santé de la foi. Kierkegaard Une consc
194
veut croire…) Dialogue Car Dieu peut tout à
tout
instant. C’est là la santé de la foi. Kierkegaard Une conscience m
195
us n’avons aucune liberté, car en réalité, Dieu a
tout
prévu, et rien n’arrive que selon sa prévision. Luther ne pose pas se
196
tes forces sociales, historiques et économiques ?
Toute
ta science ne s’occupe-t-elle pas, justement, à les découvrir ? Au be
197
est encore après lui. Au regard de Dieu, donc, «
tout
est accompli », depuis la mort du Christ sur la croix. Non seulement
198
’en formait… Mais tu affirmes que si Dieu prévoit
tout
, tu es alors dispensé d’agir, et que ce n’est plus la peine de faire
199
s dit qu’elle n’est pas au contraire la source de
tout
acte et de toute création, une invention totale et perpétuelle, une a
200
est pas au contraire la source de tout acte et de
toute
création, une invention totale et perpétuelle, une actualité permanen
201
e l’écrit Paul) ?33 Qui t’assure que notre raison
tout
attachée à notre chair, à notre temps où elle s’est constituée, soit
202
rédestina ! Quand le croyant, qui sait que Dieu a
tout
prévu éternellement, adresse à Dieu, au nom de sa promesse, une prièr
203
ernel est vivant », croire que sa volonté — qui a
tout
prévu — peut aussi tout changer en un instant aux yeux de l’homme, sa
204
re que sa volonté — qui a tout prévu — peut aussi
tout
changer en un instant aux yeux de l’homme, sans que rien soit changé
205
me de l’Évangile. L’apôtre Paul l’a formulé avant
toute
« tradition ecclésiastique » ; et tous les Pères et tous les siècles
206
ire » (Phil. 2, 12-13). C’est parce que Dieu fait
tout
que nous devons agir, selon qu’il nous l’a commandé. C’est parce que
207
n qu’il nous l’a commandé. C’est parce que Dieu a
tout
prévu que nous avons en lui, et en lui seul, la liberté. Mais cela n’
208
té possible que dans la grâce que Dieu nous fait.
Toute
l’argumentation de Luther vise le moment de la décision, et néglige l
209
t. Or il est seul en cause pour le théologien. Et
tout
est clair lorsque l’on a compris que Luther ne nie pas du tout notre
210
r lorsque l’on a compris que Luther ne nie pas du
tout
notre faculté de vouloir, mais nie seulement qu’elle puisse suffire à
211
obtenir le salut, étant elle-même soumise au mal.
Tout
le reste est psychologie, littérature et scolastique. Il n’en reste p
212
ternel. Et comme ce Retour éternel paraît exclure
toute
liberté humaine, il se met à prêcher l’amor fati, l’adhésion volontai
213
en quelque sorte la bonne conscience nécessaire à
toute
œuvre constructive. Les quelques pages qui suivent n’ont d’autre but
214
t nommé, parce que cela affecte, peut-être, notre
tout
. Nos analyses ne nous donnent en elles-mêmes et d’une façon précise r
215
prise ». Il arrive même qu’il tourne si vite que
toute
tentative d’embrayage serait immédiatement fatale à la machine, et fe
216
effort et cette volonté sont déjà présents, avant
toute
analyse, dans le sentiment que nous disions tout à l’heure éprouver e
217
toute analyse, dans le sentiment que nous disions
tout
à l’heure éprouver en face d’une conception purement critique, ou idé
218
comme la description d’un acte. On pourrait dire
tout
au plus (métaphoriquement) que l’acte révélé par le cliché, c’est l’é
219
xième type, la donnée par excellence. En réalité,
toute
définition s’appuie sur une donnée de ce type, sur un de ces « a prio
220
ces « a priori de fait », comme dirait Heidegger.
Toute
tentative de définition de l’acte lui-même supposerait un arrêt, un r
221
1° Si on ne part pas de l’acte, on ne part pas du
tout
. 2° Si on ne part pas tout de suite, on ne partira jamais. Le jeu de
222
rler de l’acte dans un langage arrêté ou détendu.
Tout
discours sur l’acte contiendra nécessairement des mots tels que « dép
223
que « départ », « partir » et « tout de suite ».
Tout
discours sur l’acte manifestera ce trouble, cette vibration, cette «
224
ts d’application de notre volonté, de relativiser
tout
effort créateur, enfin de « dés-orienter » l’activité spécifique de l
225
divers, affirmation absurde en langage rationnel,
tout
système philosophique sera amené, par son jeu logique, à l’éliminer o
226
istinction esprit-matière que nous avions écartée
tout
d’abord. L’acte créateur sépare la lumière des ténèbres. Son caractèr
227
tible de se traduire en formules et en mécanismes
tout
faits. D’un côté, un champ plus libre conquis pour l’esprit, de l’aut
228
tte zone où l’homme marche sur de l’art humain en
toute
sécurité et en plein automatisme (exemple : les grandes villes). Le p
229
ous n’allons pas être amenés à nier la réalité de
toute
médiation ? Assurément l’évidence de l’acte, non seulement prime tout
230
urément l’évidence de l’acte, non seulement prime
tout
pour nous, mais constitue, comme nous l’avons dit, le point de départ
231
-rationalité la plus favorable à l’édification de
toute
construction humaine, même et surtout rationnelle. Mais si nous rejet
232
ême et surtout rationnelle. Mais si nous rejetons
toute
médiation entre l’acte et ses manifestations humaines, nous ne saurio
233
lleurs, les résistances sont étroitement mêlées à
toutes
les manifestations d’activité. La médiation ne se manifeste pour nous
234
te, la tension humaine ne saurait donc considérer
toute
médiation que comme une résistance à son effort immédiat, ou, pour re
235
rend sa valeur que dans la tension active dirigée
tout
entière vers l’affirmation du personnalisme. Dans les divers ordres d
236
tanéité de l’acte. 1. Ce qui ne signifie pas du
tout
que la pensée doive être soumise à l’action — bien au contraire ! — m
237
très fortement l’influence qu’exerce ce seuil sur
toute
la vie humaine et, probablement, sur la vie en général. Cela est d’au
238
e parlée qui se crée spontanément, d’établir dans
toute
la France, un vaste réseau entre les hommes de bonne volonté. Les
239
nomistes, de financiers, de militants, il utilise
toutes
les Informations directes dans les agences, les rédactions, le parlem
240
lubs, une suite de « matières premières » offrant
toute
garantie ; 2° une partie critique. C’est une sorte de revue de presse
241
rnaux ; 3° une partie documentaire sur la presse.
Tout
en cherchant à remédier à l’action néfaste de la presse imprimée en s
242
e et le mécanisme de la presse. Soit en signalant
toutes
les modifications dans la commandite, la direction, la tendance, etc.
243
e œuvre stricte d’information, à l’exclusivité de
tout
commentaire et de tout jugement. Mais ils s’engagent, dans les « club
244
mation, à l’exclusivité de tout commentaire et de
tout
jugement. Mais ils s’engagent, dans les « clubs de presse », à défend
245
appelle sa liberté, etc.) Mais ils prennent aussi
toutes
sortes de sens intermédiaires dans la bouche de nos députés et journa
246
mer. Je réponds : écrivons pour poser ce problème
tout
d’abord. Écrivons pour montrer qu’il n’est pas de problème politique
247
ais par excellence, a provoqués et justifiés dans
toutes
les sous-préfectures. Ce pouvoir contagieux est, bien sûr, tout à l’h
248
préfectures. Ce pouvoir contagieux est, bien sûr,
tout
à l’honneur des écrivains qui savent le communiquer à leur œuvre, et
249
ien tant que l’œuvre à thèse. Ils se défendent de
toutes
leurs forces d’avoir une métaphysique, une idéologie déterminée, des
250
hasard, gratuitement, d’une manière anarchique —
tout
en prétendant ne pas vouloir influencer, ils ressemblent beaucoup à c
251
ctérise très bien le romancier bourgeois. Refuser
toute
espèce de thèse, cela signifie simplement ménager et flatter le lecte
252
le des grands artistes — fait de notre romancier,
tout
simplement, le propagandiste des goûts de sa classe. Rien n’est plus
253
ni par des lois plus ou moins astucieuses. C’est
toutes
les bases de la culture actuelle qui sont en crise. Faites-nous des œ
254
iberté est une conquête, et non pas une facilité.
Tout
concourait d’ailleurs à faire passer cette erreur pour une évidence.
255
r pour une évidence. Il y avait des places vides,
toute
une génération tuée à remplacer. Il y avait l’inflation, et la prospé
256
ergie ». Mais cette dégradation littéraire, après
tout
, ne fait que traduire celle de la société. Tous ces romans-cycles son
257
Mais quand il n’y a plus de convention ? Lorsque
tout
est brouillé, lorsque tout est permis ? Que décrire, sinon ce qui s’é
258
e convention ? Lorsque tout est brouillé, lorsque
tout
est permis ? Que décrire, sinon ce qui s’écroule — et cela ne peut pa
259
critique un chambardement de ce genre. Ce serait
toute
une série de notions à acquérir, d’opinions à se former, de classemen
260
a chronique littéraire de Marianne, il reprochait
tout
récemment à l’un de nos bons écrivains, M. Arnoux, de n’avoir pas su
261
de ce pays. Il est très pauvre, sec et lumineux.
Toutes
les nuances du gris, herbes, pierres, oliviers, et quelques touches d
262
nde remise. Au second quatre petites chambres. Le
tout
encombré de fauteuils, de chaises de velours, tables rondes et ovaloï
263
de main le matin et faire les lessives. C’est une
toute
petite vieille noueuse, à la sagesse sentencieuse et imagée. Étonnamm
264
! De gré ou de force, c’est certain, nous saurons
tout
sur les gens de la ville… 5 octobre 1934 Petite cité tassée à la base
265
pauvrissante en fait. Je vois tous les espoirs et
toutes
les « assurances » de cette population balayée périodiquement par la
266
naît encore pas mal d’enfants dans ces foyers que
tout
menace. Faisons la part des « accidents », des « imprudences ». Il re
267
en remettre à quelque espoir vague et profond. Or
tout
ce que l’État nous apprend, par le moyen de l’école primaire entre au
268
ine rose et violacée entre des monticules pointus
tout
frisés d’oliviers, un paysage de primitifs italiens. Le mas au flanc
269
résume mes renseignements : famille paysanne, de
tout
temps. Vie laborieuse, peu ou point de gains depuis des années. Pas d
270
’en parle jamais. Mais elles ne paraissent pas du
tout
se considérer comme un type social d’exception. Combien y a-t-il de c
271
les Calixte ? Prolétaires sans doute, mais d’une
tout
autre espèce, on dirait même d’une autre race que les métayers cathol
272
ce pays, c’est la religion — celle des ancêtres,
tout
au moins ! — l’éducation et le métier. C’est cela qui crée des groupe
273
sociale de ce canton si l’on fait abstraction de
tout
cela dont le marxisme, justement, se doit de ne pas tenir compte. Un
274
muniste traitera les dames Turc de « koulaks » et
tout
sera dit. Le marxisme part de statistiques et de relations numériques
275
s et les opinions politiques). Le marxisme traite
tout
cela de nuances vaines, d’illusions, voire de « mystification ». Il p
276
e des inventions de l’insomnie ? Ne serait-ce pas
tout
simplement l’histoire de la naissance de nos démons ? La nuit ne pose
277
e vent le plus glacial, depuis des siècles, et en
tout
cas depuis longtemps avant la construction de cette maison… On n’y av
278
a été assez mal. On devait lui retirer son linge
toutes
les deux heures. Quand elle sortait sa main du lit, cela fumait. « Vo
279
cassé deux assiettes. La mère Calixte, qui casse
tout
ce que l’on veut, a coutume de dire en constatant le mal : « Voyez-vo
280
elle manière qu’on entend bien que c’est ainsi de
tout
, et qu’on aurait grand tort de croire que rien au monde dépend de nou
281
ont pas, elles qui savent. Pour les hommes, c’est
tout
autre chose. Ils sont éloquents et naïfs, revendicateurs et inefficac
282
nistes et mènent les affaires du pays. Ils vont à
toutes
les conférences, prennent la parole au Cercle d’hommes, citent des li
283
e, en 1822, quinze mille protestants accourent de
toute
la contrée pour suivre des cérémonies dont leurs descendants parlent
284
iers jours. Le tiers des maisons est en ruines, —
tout
le centre. On croirait une ville bombardée, 2300 habitants. Cent pers
285
al du progrès capitaliste est clos. Lyon a drainé
toute
la richesse indigène de ce département. Et cette richesse à son tour
286
candaleux. Mais un miracle est un scandale, après
tout
. Tradition laïque.) L’autre jour, dans l’autocar, une femme dont j’ai
287
uquée, avec tel ou tel ouvrier. On pensera que de
tout
temps la traduction du langage surveillé des écrivains dans le langag
288
50. Et une fois qu’ils sont là, on peut parler de
tout
… J’irai d’autant plus volontiers que, devant parler moi-même, dans qu
289
d’autre chose que du sujet, c’est-à-dire d’un peu
tout
: de l’enseignement, des journaux, des traditions et anecdotes locale
290
e même du bourgeois peu cultivé, et sans doute de
tout
ce qui n’est pas « intellectuel » — ne « discute » pas à proprement p
291
discute » pas à proprement parler. Son langage en
tout
cas s’y prête mal, soit à cause de sa lenteur, soit à cause de ses ré
292
eurs timidités et aux distances télescopiques que
tout
cela met entre celui qui parle et son public ! (Le « conférencier » e
293
Il s’est relevé, s’est frotté les yeux, est sorti
tout
tranquillement. J’ai parlé avec plusieurs jeunes gens. Quelles opinio
294
opinions politiques, dans ce cercle ? — Il y a de
tout
. Le quincaillier est royaliste, un des instituteurs est objecteur de
295
cause bien ». 16 décembre 1934 À N… la mairie est
tout
entière communiste. Ceux des habitants qui ne le sont pas ne savent p
296
marxisme ? On m’avait dit : ce n’est pas cela du
tout
, vous verrez. Être communiste dans ce pays, c’est tout simplement êtr
297
vous verrez. Être communiste dans ce pays, c’est
tout
simplement être à gauche, le plus à gauche possible. S’il en est bien
298
lasser et je n’aime pas beaucoup ça… Il y en a de
toutes
sortes, bien sûr, et plus on les voit de près… — Je comprends qu’il s
299
ont pas plus marxistes que moi. Ils veulent avant
tout
vivre et travailler raisonnablement. Mais rien ne se présente pour le
300
ieu, mais qu’il croit au jugement des incroyants,
tout
en s’imaginant qu’il n’est pas un des leurs… Je voudrais définir le c
301
monde, et qui le prouve. Comment le prouve-t-il ?
Tout
simplement en témoignant, en annonçant aux hommes la vérité et le che
302
llant. Ce gros homme, violacé d’ordinaire, en est
tout
pâle. Je vais discuter le coup avec lui pour le ravigoter. C’est un d
303
estion des assurances qu’il aborde avec autorité,
tout
en tenant son doigt blessé droit en l’air, dans une attitude doctoral
304
n des assurances est une question complexe, comme
toutes
les questions capitales. Les gens d’ici ne gagnent presque rien. (Lui
305
er examen médical, ces cochons-là ont déclaré que
tout
allait bien, c’est-à-dire qu’ils « l’ont diminuée à 17 sous par jour
306
alisation-loterie, qui l’excite particulièrement.
Tout
cela rend plus ou moins. Dans certains cas, bien entendu, il s’agit m
307
récrire deux fois pour obtenir gain de cause. Et
tout
ça lui a bien coûté 50 francs. Autrement, vous savez ce qui se passe,
308
ui est le moins croyable, étant superstitieux sur
tout
plein d’objets. » Malchance affreuse du peuple français : il n’échapp
309
la coque des bateaux neufs, etc. Un geste résume
toute
la situation : c’est celui du coiffeur fameux, premier gagnant de la
310
age au collègue, au gagnant d’une autre loterie !
Toute
la grande presse en a parlé. Personne ne rit. Léon Bloy rugit dans sa
311
s, que le problème fasciste est un problème avant
tout
national ; qu’il s’est posé en Italie dans des termes particuliers à
312
dans des termes particuliers à ce pays, et qu’en
tout
cas il ne peut pas se poser de la même façon en France. Je conclus qu
313
cinquante années de démocratie parlementaire, et
toute
une tradition de libertés. Bref, un petit sermon élémentaire sur le t
314
feu à son copain : Pour moi, c’est un fasciste !
Toutes
nos confusions politiques résumées dans cette petite phrase ! Je me d
315
sentimentales que les arguments qu’il m’oppose… —
Tout
ce que le lecteur demande, c’est qu’on lui raconte une histoire, me d
316
r, comme tant d’autres, de mes amours, en donnant
toutes
les précisions qu’un collégien puisse désirer.) R. me disait aussi :
317
nc pas un vrai chômeur. — Mais je ne tiens pas du
tout
à être un « vrai chômeur », je vous l’assure ! D’ailleurs j’ai déjà d
318
ans le monde, à supposer que l’envie m’en prenne.
Tout
ce que je compte dire dans mon journal, c’est qu’on peut être très co
319
d’hui à l’argent, et qui se mêle en particulier à
tout
échange d’idées sur la richesse, la pauvreté ou le chômage. Mélange e
320
ie par une traînée de rigolade irrépressible dans
toutes
les couches de la population, « laborieuse » ou « réactionnaire ». À
321
aradisiaque. » J’ajouterais peut-être ceci : « En
tout
cas, tout péril fasciste est écarté d’emblée pour une nation qui dévo
322
e. » J’ajouterais peut-être ceci : « En tout cas,
tout
péril fasciste est écarté d’emblée pour une nation qui dévoue tous se
323
ent. — Vous avez mon Huma ? — Bou die ! je les ai
toutes
vendues, Monsieur Dumas ! (C’est jour de foire). — Allons, tant mieux
324
? Nous ôtres, nous allons vous passer à tabaque,
toute
la bande ! — Oh ! dit l’homme, si vous y arrivez, c’est bien votre dr
325
! mon bon. Mais c’est donc vous, qui nous pressez
toute
notre argent, depuis quatre ans que vous l’avez, le pouvoir ! » L’aut
326
ays. Faut-il donc penser que les partis expriment
tout
simplement des attitudes morales différentes ? Ce serait nouveau… Il
327
s différentes ? Ce serait nouveau… Il y a au fond
tout
autre chose. C’est moi qui avais acheté, innocemment, le dernier numé
328
onnaliste ». — Le peuple tel qu’on le voit paraît
tout
ignorant de ses intérêts véritables. Mais c’est qu’il ne peut pas les
329
une assemblée populaire, on ne dira pas un mot de
tout
cela, on s’en tiendra aux clichés du journal. On n’aura pas le temps
330
dans leur vie concrète. Je constate qu’elles vont
toutes
dans le sens de ce que proposent les personnalistes : autonomie de la
331
es équipes d’hommes nouveaux, jeunes et sortis de
toutes
les classes, d’exprimer ce que taisent les journaux, les orateurs et
332
dans la grande cuisine qui était, pensions-nous,
tout
leur logis — nous avions cru comprendre que les autres pièces étaient
333
ésence à côté. Hier matin, la mère Calixte arrive
tout
agitée : « Madame se meurt ! s’écrie-t-elle. C’est Madame Bastide, la
334
s elle va passer cette nuit, vous savez, elle est
toute
chargée, bou die, l’estomac et tout. — Mais les Simard ne m’avaient j
335
ez, elle est toute chargée, bou die, l’estomac et
tout
. — Mais les Simard ne m’avaient jamais parlé d’elle ! — Peuchère ! il
336
nt de lever son camp. Plus tard, peut-être, quand
toutes
ces maisons vides des environs seront habitées par des colonies de je
337
nt pour cette défense que des moyens fascistes. «
Toute
la littérature sociale-démocrate — écrit Lénine en 1905 déjà ! — doit
338
s circonstances actuelles, les cadres décident de
tout
! » Compris ? Ces deux phrases sont tirées d’un choix de propos de Lé
339
s de son talent poétique, bien que je reconnaisse
tout
à fait mon incompétence dans ce domaine. Mais depuis longtemps, je n’
340
garant, c’est parfaitement vrai. Voilà qui donne
toute
la mesure (la dernière phrase surtout) de Lénine « fondateur de la no
341
Armée rouge, l’homme des « cadres qui décident de
tout
». n. Rougemont Denis de, « Lénine, Staline et la littérature », À
342
ns le mythe. Serait-ce pudeur d’artistes ? Pudeur
tout
court ? Ou faut-il croire qu’ils ont écrit leurs contes sans jamais s
343
convoitise, « opaque »36. Que pouvais-je tirer de
tout
cela ? Rien qu’une évidence assez pauvre : l’ombre est le fait, en no
344
d’ombre, il se croit le maître du monde. Point du
tout
: on se moque de lui. Comblé, le voici plus qu’avant inadmissible. Le
345
ne tarde pas à tourner au délire de persécution.
Tout
effraye Peter, et le moleste en mille manières. Les jeux des enfants
346
re lui ! Un secret, ce l’est bien pour eux, comme
toutes
les choses trop naturelles que l’on possède. Peter, lui, le connaît,
347
ce soit le mariage surtout pour ce philistin-là.
Toutes
les ruses de Peter échouent devant cet obstacle dernier. Il a beau n’
348
y avait, au centre de lui-même, cette absence. En
tout
pareil aux autres, sauf en ce je ne sais quoi qui n’est rien et devie
349
esque mécanique : il dresse un vaste catalogue de
toutes
les plantes de la terre. C’est à cela qu’il s’occupe en Thébaïde, qua
350
obable. Et quand rien ne dépend à coup sûr que du
tout
? Ceci dit, la psychanalyse peut nous donner des descriptions utiles,
351
aussi que cet homme se sente trop lucide, perçant
toutes
choses à jour, et lui-même, d’où l’impression qu’il a d’être mal défe
352
qu’à des Méridionaux, pourrions-nous ajouter avec
toutes
les réserves qu’on voudra, mais en nous souvenant de la question que
353
e passage était en vérité beaucoup plus vaste que
tout
ce que permettait d’imaginer l’obtus physiologisme de ce siècle. La «
354
Elle est ce qu’il y a de plus noble dans le corps
tout
entier et dans l’homme. » Je la rapproche alors de ce Selbst (ou soi-
355
roblème39. La créativité : c’est à quoi se ramène
tout
ce qui est vraiment grave dans notre vie ; et la fameuse « question s
356
ion que l’on possède, c’est naturel ; mais non du
tout
qu’on en ait honte, semble-t-il. En vérité, la mauvaise pudeur provie
357
on élan vers le monde. Elle le porte au-devant de
tout
, comme un peu en avant de lui-même, là où il peut dominer sa vie et l
358
à où il peut dominer sa vie et la construire avec
tout
son instinct à l’image d’une vision de l’esprit. (L’esprit seul voit)
359
y suffit d’ailleurs qu’il soit vraiment un art —
tout
effort digne de ce nom établit d’abord une action concertée, une mise
360
.-S. Je n’ai pas voulu alourdir cette esquisse de
tout
un appareil de références bibliographiques. On les trouve d’ailleurs
361
sme allemand qui en a montré bien d’autres, et de
tout
contraire parfois : que l’on songe à Hegel, à Fichte, à Schlegel. p.
362
e la mer, je ne veux rien dire encore : je laisse
tout
cela se mêler à ma vie, dans l’heureux étourdissement de la lumière m
363
jardin. Passé la porte, on enfile une petite rue
toute
blanche qui contourne la panse de l’église, et aboutit à la place pri
364
plaire dans sa symétrie architecturale. Il domine
toutes
les maisons et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je voudrais
365
ns le style rom antique, avec tous ses détails et
toute
son opulence, frisé comme une perruque du grand siècle. De trois côté
366
arisien » qui manifeste l’intention de rester ici
tout
l’hiver ? — C’est plutôt en été qu’on vient chez nous, me fait-elle p
367
e avec vivacité que ça ne peut pas aller. Il faut
tout
recommencer. Finalement l’on décide d’envoyer le manuscrit comme écha
368
ment, trouver une formule d’apaisement qui ménage
toutes
les susceptibilités, et finalement ne rien payer de plus. Je note cec
369
ment. Salaire : 280 francs par mois « en comptant
tout
». Sa femme fait des lessives. En été ils pêchent des palourdes et le
370
’ajoute que la porte d’entrée joint mal le seuil,
tout
s’explique sans peine désormais, grâce à la phrase de Colette. Je rap
371
us sommes attablés ici depuis un bon moment déjà,
tout
contents de revoir le va-et-vient d’un lieu public, de lire les journ
372
domadaires, je vais renouer le fil de ce journal.
Tout
d’abord, j’ai à constater l’échec de notre première tentative d’auton
373
encore, quand on n’avait que les chemins de fer,
tout
convergeait vers Paris, non seulement du fait d’une organisation ferr
374
ndiquait qu’on allait à Paris ou qu’on en venait.
Tout
le reste n’était que tortillards cahotants, jamais à l’heure, où l’on
375
raphie physique mais aussi humaine. Elle quitte à
tout
propos la route nationale pour des chemins secondaires ou des ruelles
376
er ce moyen de transport vous met en contact avec
toutes
sortes d’habitudes locales. D’abord il faut aller dans deux ou trois
377
C’est fait d’une foule d’incidents entrevus, que
tout
dispose à romancer ; de conversations absurdes et rapidement intimes,
378
mprévus — car les chauffeurs acceptent volontiers
toutes
sortes de petites commissions que de vieilles dames leur confient au
379
l de jeunes gaillards solides et gais, et qui ont
toutes
les raisons d’aimer le travail et de le faire bien : c’est moderne, c
380
s les antres rédactionnels. Je dis les antres. De
toute
façon, un écrivain est par nature un empêtré. Et voilà le paradoxe et
381
reur totale et malentendu maximum. S’il fallait à
tout
prix reprendre les termes choisis par M. Beausire lui-même pour défin
382
éels. Ce n’est pas « la bonté, la charité (vertus
toutes
passives et féminines) » (au sentiment de l’auteur), mais c’est, au c
383
t déprimées par les tyrannies que l’on sait. Mais
tout
ceci nous maintiendrait encore dans le seul plan « moral » où M. Beau
384
que je crois insuffisantes, et je le leur dis en
toute
franchise. Du moins ne tiennent-ils pas le christianisme dont je parl
385
lue pour comporter une réalisation pratique. Le «
tout
ou rien » qui est sa devise devait fatalement le conduire au refus d’
386
bonheur dans laquelle il ne pouvait voir le vrai
tout
de son existence singulière. (Que d’autres y cherchent des raisons ph
387
e promenade, les phrases qu’il venait de composer
tout
en marchant. À l’aube, il s’accordait quelque répit, errait sur les q
388
urs, avec le petit peuple qu’il aimait par-dessus
tout
. Tout le monde, à Copenhague, connaissait sa silhouette, son grand ch
389
upture de ses fiançailles. Mais l’acte qui résume
toute
son œuvre, cet acte après lequel, semblable au prince Hamlet — autre
390
onde chrétien » au nom du Christ des évangiles. ⁂
Toute
mon activité d’auteur — nous dit-il dans son Point de vue explicatif
391
années). Pensée qu’il défendit et qu’il servit de
toutes
les forces de son génie universel de poète, de philosophe, d’ironiste
392
de théologien. Il se trouvait devant un monde où
tout
avait été brouille : sérieux et plaisanterie, valeurs éternelles et o
393
té, c’est un homme dont la vie est familière avec
toute
espèce de souffrance, … un homme qui témoigne dans le dénuement, la m
394
it un rappel à l’ordre. Il le devint lui-même, de
tout
son être. Et il savait ce que cela devait lui coûter. Car le monde ne
395
rvint dans l’intégrité de sa force à une mort que
toute
son œuvre provoquait et qui vaincue par une telle victime, lui révéla
396
e du désespoir et de l’absurdité de l’existence ;
toute
une vie tendue vers l’impossible, toute une œuvre de sarcasmes précis
397
istence ; toute une vie tendue vers l’impossible,
toute
une œuvre de sarcasmes précis contre les innombrables tentations d’un
398
it nécessaire à l’action à laquelle il a consacré
toutes
ses forces spirituelles et toute son œuvre d’écrivain… S’il reste en
399
e il a consacré toutes ses forces spirituelles et
toute
son œuvre d’écrivain… S’il reste en vie, dit-il, il poursuivra sa lut
400
a grandeur. Une simplicité conquise aux dépens de
tout
ce qui soutient l’homme contre Dieu. Et cependant, dans le pire déses
401
es paraboles, de certaines ironies polémiques. Et
tout
d’un coup on s’aperçoit qu’elles nous jettent en plein drame de l’exi
402
finira bien par succomber. Mais, ayant tué en lui
toute
autre vanité que celle de haïr le temps — c’est là son dépit amoureux
403
mage absolu, c’est-à-dire à l’arrêt de la pensée,
tout
au moins de la pensée créatrice. Mais quel est ce certain degré ? À q
404
onfort est ce qui s’oppose le plus radicalement à
toute
culture véritable. Île de R. — La nuit ! Je l’avais oubliée à Paris
405
douter je ne sais quelle invisible et brusque vie
tout
près. Nuit des villes, rouge et circulante, pleine de rumeurs, compar
406
a fièvre. Plus lucide souvent que les jours. Ici,
tout
repose complètement. Un silence implacable et mat enserre l’homme qui
407
e dans cette nuit. Fin de séjour à A… (Gard). —
Tout
est en place. Je garderai toutefois le plan d’aménagement et de décor
408
au millimètre, dans une symétrie impeccable. Mais
tout
l’effet de notre labeur risque d’être détruit par une odieuse malice
409
urnal que je n’aime pas, qu’il a peut-être acheté
tout
par hasard, comme il m’arrive à moi aussi, mais on se juge tout de mê
410
commande tous les autres et qui est la mesure de
tout
. Quand tu l’auras connu et accepté — tu es seul à pouvoir le connaîtr
411
ême ce fait qui est plus fort que toi. Car il est
tout
ce que le monde attend, attend de toute éternité pour aujourd’hui et
412
Car il est tout ce que le monde attend, attend de
toute
éternité pour aujourd’hui et de toi seul — et c’est ta foi. 85. Kie