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e, sublime dans la mesure où la synthèse des deux
traditions
sera dominée par l’élément biblique.) Seuls les grands discours proph
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mmercer : l’écriture, la parole et l’action, — la
tradition
, la prophétie, la guerre… Mais cet extrême dénuement, ce résidu d’exc
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éraux de la pensée hellénistique, mais de la pure
tradition
hébraïque, représentée par la Loi et les Prophètes. L’Église primitiv
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ciliable opposition dont s’était nourrie toute la
tradition
judaïque. C’est précisément ce sens de la continuité historique et de
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Réforme par le retour à l’Ancien Testament et aux
traditions
prophétiques. Mais sait-on à quel point tout cela vit encore dans les
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aître un des deux ou trois moments décisifs de la
tradition
fondamentale de l’Occident, c’est s’interdire de rien comprendre à la
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e l’Apôtre ; opposition de la Parole vivante à la
tradition
codifiée ; sens de la décision totale entre un oui et un non absolus,
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Évangile. L’apôtre Paul l’a formulé avant toute «
tradition
ecclésiastique » ; et tous les Pères et tous les siècles dont se récl
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eux. Mais un miracle est un scandale, après tout.
Tradition
laïque.) L’autre jour, dans l’autocar, une femme dont j’ai cru compre
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n peu tout : de l’enseignement, des journaux, des
traditions
et anecdotes locales. Discussion n’est d’ailleurs pas le mot : c’étai
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ces matérielles, leurs difficultés morales, leurs
traditions
et leurs rancunes — c’est souvent la même chose — leurs idées sur la
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années de démocratie parlementaire, et toute une
tradition
de libertés. Bref, un petit sermon élémentaire sur le thème « liberté
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rale, s’il en suppose une. Il est, à mon sens, la
tradition
centrale de l’Occident, l’élément civilisateur de notre civilisation,