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l’acte de la foi. Lorsque Kierkegaard écrivit son
traité
de la Maladie mortelle 16, il venait justement de dépasser cette illu
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gen ». 9. Apprentissage du christianisme. 10.
Traité
du désespoir, trad. Gateau, p. 105. 11. Isaïe 21, 11. 12. Lorsque S
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amour. 16. Traduction française sous le titre de
Traité
du désespoir. C’est une laïcisation ! Kierkegaard se rapportait de la
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Luther,
Traité
du serf arbitre (1937)o Luther inconnu Dire qu’on ignore Luth
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e plus aisément à saisir l’importance centrale du
traité
que nous publions : je le vois au centre du débat occidental par exce
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hèmes qu’illustre cet ouvrage. S’ils n’y sont pas
traités
en forme, c’est qu’ils ne constituent pas un système, au sens philoso
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es morales. Que trouveront-ils, dès lors, dans ce
Traité
? Une verdeur de polémique qui peut flatter en nous le goût du pittor
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jargon d’aujourd’hui), tout est fait, dans notre
Traité
, pour heurter de front le lecteur incroyant, ou celui qui ne partage
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on par un simple rappel de l’ordre dans lequel le
Traité
fut pensé. Je tenterai donc d’esquisser, tout au moins, le dialogue d
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ation purement biblique qu’on en trouvera dans ce
traité
, malgré quelques détails exégétiques discutables, suffit à établir, p
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nis de, Luther Martin, « [Préface] Martin Luther,
Traité
du serf arbitre », dans Traité du serf arbitre, trad. Rougemont Deni
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e] Martin Luther, Traité du serf arbitre », dans
Traité
du serf arbitre, trad. Rougemont Denis de, Paris, Éditions « Je sers
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ins d’une cinquantaine d’auteurs célèbres qui ont
traité
le mythe de l’ombre perdue dans leurs romans, pièces, ou contes fanta