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Forme et
transformation
, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)c « Toute mon activité
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e proprement humaine que lorsqu’il participe à la
transformation
du monde. Autrement, il est animal, et soumis à la forme des choses,
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e maintenant que seul l’acte de foi est création,
transformation
, nouveauté pure dans le monde, vocation et personne éternelle, prophé
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mps et l’instant créateur —, entre la forme et la
transformation
. Il ne faut pas commencer par l’imitation, mais par la grâce. L’imita
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humaine. Pour le chrétien seul elle signifie une
transformation
effective. Ou mieux encore, pour l’hindou, cette catégorie suppose la
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tremblement. c. Rougemont Denis de, « Forme et
transformation
, ou l’acte selon Kierkegaard », Hermès, Bruxelles-Paris, janvier 1936
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e le mal universel. Cette volonté fondamentale de
transformation
, je la trouve formulée et résumée, de part et d’autre, par deux propo
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né. Cela ne signifie pas qu’une fois opérée cette
transformation
personnelle que l’on nomme la conversion, le chrétien n’ait plus qu’à
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t son refus ? Et quelle preuve aurions-nous de sa
transformation
? Une mauvaise humeur résignée ? Une simple réticence ou réserve ment
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l commis, sont trois moments indivisibles de la «
transformation
» dont parle Paul. L’un n’est pas concevable, sérieusement, sans l’au
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t une obéissance qui ne se manifesterait pas ? La
transformation
personnelle, au sens total de l’Évangile, ne peut donc se traduire, s
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u sinon il n’est pas converti — mais encore toute
transformation
de la forme actuelle des choses, qui ne serait pas l’effet d’une conv
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venant d’ailleurs, d’au-delà de ce monde, de leur
transformation
en Christ, venu au monde. Il n’annonçait pas un futur hypothétique, a
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omme » pour le comprendre.) Sur quoi repose cette
transformation
dont vous parlez ? Sur une foi que ma raison refuse, et qu’elle m’ord
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l possède en lui-même la mesure d’une perpétuelle
transformation
, nécessaire dans tous les domaines où son activité peut se développer
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déclarés. J’en vois beaucoup qui estiment que la
transformation
de l’homme importe seule, puisqu’elle est, en effet, l’essentiel, et
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s et de la modification de l’activité humaine, ou
transformation
personnelle, ne peut être rationnellement comprise que comme une acti
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s l’être humain d’absolument irréductible à toute
transformation
sociale ? La mort physique et le péché. Mais aussi : la qualité, la f
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doute à Paris de l’importance des autocars et des
transformations
qu’ils sont en train de causer dans la vie provinciale. Je n’ai pas c