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e, oubliant son Auteur. C’est alors que la lettre
tue
l’homme, au lieu de le secourir en incarnant l’esprit. Et c’est à cet
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c choisir : Dieu ou moi. Je dirai : moi. Dussè-je
tuer
Dieu, comme Nietzsche a proclamé qu’il avait fait. L. — Comment le t
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proclamé qu’il avait fait. L. — Comment le temps
tuerait
-il l’Éternel ? Comment la chair tuerait-elle l’Esprit ? Elle ne peut
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le temps tuerait-il l’Éternel ? Comment la chair
tuerait
-elle l’Esprit ? Elle ne peut tuer que l’idée fausse qu’elle s’en form
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ent la chair tuerait-elle l’Esprit ? Elle ne peut
tuer
que l’idée fausse qu’elle s’en formait… Mais tu affirmes que si Dieu
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nt, dès lors que « Dieu est mort » ou qu’il l’a «
tué
», il imagine le Retour éternel. Et comme ce Retour éternel paraît ex
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Il y avait des places vides, toute une génération
tuée
à remplacer. Il y avait l’inflation, et la prospérité des nouveaux ri
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de Descartes, comme on ferait un mot croisé, pour
tuer
le temps avant un rendez-vous. 19 novembre 1933 Premiers contacts av
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i, le pasteur Boesen : « Salue tous les hommes de
tua
part, je les aimais bien, tous… » Le seul événement extérieur de sa v
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Ah ! Dieu sait s’ils deviennent attentifs, ils le
tuent
. Mais c’est là ce qu’il voulait. Il n’a jamais cru que sa mort pourra
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e le temps finira bien par succomber. Mais, ayant
tué
en lui toute autre vanité que celle de haïr le temps — c’est là son d