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qui enrobent les notions les plus hautes dans un
vêtement
quotidien ; on dirait : un vêtement de travail. Cette « pauvreté » ph
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autes dans un vêtement quotidien ; on dirait : un
vêtement
de travail. Cette « pauvreté » philosophique — mais quand un peuple a
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que nos romanciers attachent à la description des
vêtements
, des ameublements, des marques d’autos, et même de cigarettes (Paul R
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nes, du peloton de ficelle et du kilo de riz. Mes
vêtements
, citadins mais râpés, ne la renseignent pas clairement. Et que penser
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he un peu longuement à un visage, au corps et aux
vêtements
, aux mains, à l’attitude distraite et vraie d’un être isolé près de m