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ts, l’esprit clair. Clarté d’un minuit solitaire,
veillée
trop lucide peut-être, puisque le monde n’y porte plus d’ombres. Je m
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is, pleines d’appels fugitifs, assourdis ; de ces
veillées
fiévreuses, assiégées. Est-ce que je les regrette ? Est-ce que l’heur