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herbes, pierres, oliviers, et quelques touches de
vert
humide au fond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes d
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es touches de vert humide au fond des vallons, de
vert
sombre sur les premières pentes des Cévennes, où commencent les châta
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aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile
vert
clôt la porte d’entrée, où l’on accède par quelques marches et un bal
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bre 1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli
vert
bleu très clair. Le carreau rouge a été débarrassé du tapis. J’ai dre
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t obstinément, peut-être même haïssent la couleur
verte
, le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fanatism
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hiver apparaissent déjà, plus petites et toujours
vertes
; on ne les mange pas). Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre c