1 et s’installer, comme se sont installés dans ces villages malsains et mal soignés la tuberculose, l’alcoolisme et la misère hér

2 r vie. C’est le pasteur. Sa paroisse comprend les villages de N. et de V. où il habite. V., c’est un vieux nid d’aigle, une pier

3 as d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le village de N. parmi les rangées de peupliers : il faut suivre des yeux la rou

4 u Midi sont construits en général sur la place du village . En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes

5 que les communistes sont les plus intelligents du village . Ce sont eux, et eux seuls, qui proposent des réformes pratiques, qui

6 iculture ; mettre en commun les terres d’un petit village  ; vendre le vin du pays dans les épiceries du pays, lesquelles ne ven

7 onneux que l’on fume avec du varech. De l’île, du village , de la mer, je ne veux rien dire encore : je laisse tout cela se mêle

8 embre 1933 Premiers contacts avec les gens. — Le village se termine au bout de notre jardin. Passé la porte, on enfile une pet

9 las, commencer par l’épicière, quand on aborde le village où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et goutteuse. Elle a des douleu

10 ares, ce qu’il y a de plus attristant dans chaque village . Aujourd’hui, les stations d’autocars sont sur la place principale. C

11 ans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village , illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des c

12 ttres à porter à l’autobus. Il faut s’éloigner du village . De nouveau le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons

13 l’ouverture de la boîte aux lettres. De loin, le village apparaît fantastique : les becs de gaz, très bas, éclairent quelques