1 u Max Brod ; la biographie romanesque, l’approche vivante de la personne même de Kafka dans ce qu’elle eut de quotidien et de t

2 mourut à Vienne en 1924. Il n’avait publié de son vivant qu’un petit nombre de récits. Mais on trouva dans ses papiers les man

3 ’y a donc aucun acte possible, aucun acte vrai et vivant en dehors de la foi au Christ. Mais croire au Christ, c’est croire au

4 des merveilles ? Les boules étaient des hérissons vivants , et les soldats s’arc-boutaient sur le sol pour former des arceaux vi

5 ’arc-boutaient sur le sol pour former des arceaux vivants . Quand Alice avait réussi à mettre en boule son hérisson, et se prépa

6 , combien c’est affolant de jouer avec des choses vivantes . » ⁂ Prenons cinq mots parmi les plus fréquents dans le langage et le

7 cette crise du sens des mots et de la sémantique vivante . D’une part la somme des échanges écrits ou verbaux a crû depuis la R

8 e personnes que Descartes n’en convainquit de son vivant . Cependant les journaux du soir à cinq-cent-mille exemplaires et la r

9 ngage. Cette absence d’un principe communautaire vivant et puissant dans nos vies, c’est le drame de la civilisation, de la c

10 r fait des musées. Ou pire : ils n’ont jamais été vivants pour cette génération sans but. On nous en donnera donc de nouveaux f

11 ve et totalement salutaire, au nom d’une Personne vivante et de son amour éternel. Il annonçait l’homme changé. Trop beau tout

12 rx, contre une vérité orpheline, coupée des liens vivants qui l’attachaient en Dieu à ses fins et à ses origines. Mais nous dev

13 le — sans doute dangereux — ce serait la Personne vivante de Jésus-Christ, et non pas la théologie, simple autocritique de l’Ég

14 ns : c’est que le culte qu’il faut rendre au Dieu vivant est une obéissance directe « en esprit et en vérité ». Or abstraire,

15 les termes de l’Apôtre ; opposition de la Parole vivante à la tradition codifiée ; sens de la décision totale entre un oui et

16 ration psychologique. (Un tel homme est bien trop vivant pour faire de la psychologie ; trop engagé dans le réel pour prendre

17 s délivrer du temps ? C. M. — Mais mon temps est vivant , et plein de nouveauté, de création ! Ton éternité immobile, c’est l’

18 radoxe et ce mystère : croire que « l’Éternel est vivant  », croire que sa volonté — qui a tout prévu — peut aussi tout changer

19 is que nous adorons une Providence dont la Parole vivante s’est incarnée : « Emmanuel ! » — Dieu avec nous ! 30. À la propos

20 kegaard, c’est le vouloir unique, unifiant l’être vivant et le confondant un instant avec l’objet de son désir. On comprendra

21 e se dépasser elle-même. L’homme concret, l’homme vivant , l’homme en acte est l’affirmation d’une tension permanente entre ces

22 as mort d’avoir perdu son ombre… Il était même si vivant , et sa présence si gênante, que je tentai de le contraindre, quoi qu’

23 poétique. Et le poème ensuite — plus beau et plus vivant que l’individu qui l’a conçu comme porté au-delà de lui-même par l’at

24 M. Denis de Rougemont sait tracer un tableau très vivant et très nuancé de la province française, ainsi qu’en témoigne cet ext

25 l de l’époque comme la plus formidable accusation vivante contre nos lâchetés collectivistes, nos compromis spirituels, nos pas