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pas de bien, cesse d’en désirer la possession, et
vis
comme un chrétien : au jour le jour, sans assurances et sans préparat
2
e, que de prétendre imiter le modèle que ses yeux
voient
et que sa chair perçoit (à la lecture des évangiles par exemple) au l
3
s mystérieuse encore. Voici : le pécheur pardonné
vit
dans le temps comme à contre-courant de sa durée, vit d’acte en acte.
4
dans le temps comme à contre-courant de sa durée,
vit
d’acte en acte. Et son temps n’est plus son péché, mais on pourrait d
5
où Dieu l’a mis, et ce n’est plus une dérive. Il
vit
dans la forme du monde, mais il est ce qui la transforme. Vertige de
6
n’y croit pas et qu’il ne croit à aucun acte. Il
vit
dans le désir et dans la nostalgie, et son regard n’est pas une visio
7
onc passé ? Me voici seul sur le chemin ; mais je
vois
des visages fraternels où s’agitait la foule confuse et menaçante. No
8
s’agitait la foule confuse et menaçante. Nous ne
voyons
aucun visage ailleurs que dans l’acte d’aimer. 7. Toute vocation e
9
, sans avoir rencontré personne ni soi-même20. Il
vit
dans la forme du monde : et ce n’est point qu’elle soit pour lui réel
10
jour et l’heure, mais il connaît l’instant, s’il
vit
de Parole. À cause de l’instant éternel, « le héros meurt toujours av
11
r les intellectuels et pour la masse — cela s’est
vu
en d’autres siècles. Ils n’ont plus le même sens pour les divers part
12
ce, et garantie contre les préjugés intéressés. «
Voyez
, gémit Alice, l’arceau sous lequel je dois passer se promène à l’autr
13
turelle et féconde. Et quant au mot patrie, on le
voit
confondu, dans les discours et les articles de journaux, avec état, n
14
bons écrivains, qui n’ont pas d’autres armes, se
voient
privés de tous moyens d’agir. Leurs coups ne portent plus, ne marquen
15
litique. Ainsi la mesure n’est plus cette loi qui
vit
en l’homme réel et personnel, cette alliance du peuple avec sa vocati
16
invite maintenant à n’en pas croire vos yeux, qui
voient
Staline, mais à croire une prophétie. Cependant vous demeurez sceptiq
17
allure politique. Mais ce qui est grave, c’est de
voir
tant d’intellectuels défendre ces manœuvres au nom de la doctrine, et
18
» justifie les moyens… Mais alors, comment ne pas
voir
que ce mouvement présente, dans sa forme, avec le mouvement du chréti
19
est qu’un « reflet » du processus économique ? On
voit
ainsi comment Marx lui-même se prend à son jeu polémique. Ce ne fut g
20
un incroyant. Que servirait à l’homme, tel que le
voit
le chrétien, de sauver sa vie matérielle et morale, d’échapper à la g
21
son refuse, et qu’elle m’ordonne d’ignorer. Je ne
vois
pas les effets d’une telle foi dans l’histoire de notre Occident52. S
22
e Occident52. Si je n’ai pas votre foi, je ne les
vois
pas. Je vois une Église établie, opprimant toutes les dissidences, pa
23
Si je n’ai pas votre foi, je ne les vois pas. Je
vois
une Église établie, opprimant toutes les dissidences, pactisant avec
24
, on ne l’a pas impunément, et si on l’a, cela se
voit
, des choses changent. Ce que tu me reproches, c’est, en fait, de n’êt
25
olitique, économique, historique, etc.55 Et je ne
vois
pas que le chrétien comme tel ait des lumières particulières sur ces
26
? Le phénomène de la « conversion » le fait bien
voir
. Un homme qui se convertit au christianisme, c’est un homme qui reçoi
27
communiste. Il possède déjà l’essentiel, que Marx
voyait
au terme de l’histoire : la personne. Et alors, il attaque le monde !
28
converti a déjà l’essentiel : par là même, il se
voit
contraint à chaque instant de transformer autour de lui ce qui s’oppo
29
un révolutionnaire permanent. Non seulement il se
voit
contraint de venir en aide à son prochain, mais encore rien ne peut l
30
de l’homme tel qu’il le conçoit, être social — se
verra
fatalement neutralisé dans son effort par les gains peu à peu obtenus
31
, détruirait en fait cette Église en tant qu’elle
vit
dans chacun de ses membres, et non pas dans un ciel abstrait. Car le
32
plus favorable au développement du socialisme. Je
vois
beaucoup de marxistes s’en indigner mais je doute qu’ils soient bien
33
ndants de leurs descendants ? C’est ainsi qu’on a
vu
Zinoviev, par « fidélité » au Parti, c’est-à-dire à l’avenir du Parti
34
rd’hui, dans un ordre non socialiste. Par où l’on
voit
qu’en dépit du langage, la transcendance de la foi chrétienne se mani
35
dresserai maintenant aux chrétiens déclarés. J’en
vois
beaucoup qui estiment que la transformation de l’homme importe seule,
36
sentiel, et le but de tout autre changement. J’en
vois
beaucoup qui jugent que l’action personnelle de charité et de sacrifi
37
se de Rome. Le grand souci d’œcuménisme, que nous
voyons
gagner toutes les églises, est une promesse à laquelle nous devons cr
38
e, bien entendu, de la religion telle que Marx la
voyait
, telle qu’elle lui apparaissait dans le corps social. Je n’oublie pas
39
orps social. Je n’oublie pas que la même époque a
vu
le grand réveil piétiste. 47. « L’armée de la critique ne peut évide
40
es partout où l’esprit démissionne ! 52. « Je ne
vois
jamais le christianisme devenir révolutionnaire ! » S’exclamait naguè
41
tivement l’invisible et plus que cela : le jamais
vu
, ce qu’aucun autre peuple au monde n’a jamais pu seulement imaginer,
42
Une menace pour les « intérêts immédiats » qui se
voient
par trop négligés au profit d’on ne sait quel futur. Et une angoisse
43
raël cesse de croire à ce que ses yeux ne peuvent
voir
, et qui pourtant fait toute sa grandeur, c’est la révolte du destin p
44
que cette révolte, et ce destin, et ce besoin de
voir
, sont symbolisés au concret par les statues des idoles étrangères — c
45
mais entre les philosophes… Nous croyons que Dieu
voit
tout ce qui se passe dans le monde. Nos femmes et nos serviteurs en s
46
.68 Ainsi toute tentative de culture profane se
voit
assimilée à une révolte d’orgueil contre Dieu. La culture d’Israël se
47
ît un but auquel il dédie toutes ses œuvres, l’on
voit
que la culture la plus pauvre, qui fut celle du peuple hébreu, fut au
48
prophétiques. Mais sait-on à quel point tout cela
vit
encore dans les églises évangéliques de nos jours ? Dès les bancs de
49
’on lui porte. Peut-être n’est-il pas excessif de
voir
dans cette passion contradictoire le secret des soudaines explosions
50
richesse s’appelle le salut. 64. Il faut bien
voir
que le « racisme » juif n’est justifié à l’origine que par la vocatio
51
est bien une sorte de « sacerdoce » national. On
voit
ainsi que l’eugénisme n’est pas le seul motif de la législation racis
52
bstraite… » (Renan, op. cit., I, p. 49). Où Renan
voit
un obscurcissement, je vois le gage d’une vive actualité, ou efficaci
53
, I, p. 49). Où Renan voit un obscurcissement, je
vois
le gage d’une vive actualité, ou efficacité, du langage des clercs, i
54
e des clercs, identique à celui des bergers. 70.
Voir
sur ce point : Colloque avec Salomon, par Albert-Marie Schmidt, dans
55
imitive. 72. Abraham déjà, et les prophètes, ont
vu
« le jour du Seigneur ». Saint Paul et l’auteur de l’Épître aux Hébre
56
grand lieu commun de la théologie réformée que de
voir
dans l’Ancien Testament l’histoire du Christ avant qu’il vienne, dans
57
a adopté en son alliance la postérité d’Abraham :
vu
que le propos était nommément et spécialement d’icelle vocation. » (C
58
ance centrale du traité que nous publions : je le
vois
au centre du débat occidental par excellence, mais au centre, aussi,
59
ncore jusque chez les chrétiens, ces arguments se
voient
réinventés, admis, parfois même prêchés. Le laïcisme moraliste n’en a
60
, je préférerais encore nier ce Dieu, qui prétend
voir
plus loin que le terme de mes actions, ce qui, avouons-le, les ridicu
61
vie. C’est un mystère que le croyant pressent et
vit
au seul moment de la prière. « Demandez et l’on vous donnera », dit l
62
e sa promesse, une prière précise et instante, ne
vit
-il pas ce paradoxe et ce mystère : croire que « l’Éternel est vivant
63
ourir — cet acte extrême — pour nous sauver, fait
voir
que nous n’avons aucune liberté, par nous-mêmes, dans notre péché. Et
64
re jusqu’au fond de la connaissance du péché pour
voir
qu’il n’y a de liberté possible que dans la grâce que Dieu nous fait.
65
re catholique ; son humanisme mesuré l’empêche de
voir
le vrai tragique du débat. Mais le plus grand des adversaires du chri
66
» 34. Modiculum et minimum, écrit Érasme ! 35.
Voir
Karl Löwith : Nietzsches Philosophie der ewigen Wiederkunft des Gleic
67
’idée de choc, de rupture, en un mot de violence (
voir
à cet égard Sorel). Il n’y a pas d’évolution créatrice sans révolutio
68
bstrait. (Conflit de l’identité et de la réalité,
voir
Meyerson). Il n’y a de paradoxe épistémologique que pour qui refuse d
69
ces pratiques ne se fera pas attendre, et l’on en
voit
déjà les premiers signes : parlez de la liberté, posez-vous en défens
70
possédantes et de leurs coutumes. Il n’est que de
voir
l’importance démesurée que nos romanciers attachent à la description
71
clée, surtout la romanesque. Jamais on ne l’avait
vu
et constaté aussi nettement qu’à la lecture de ce bilan désinvolte. A
72
au Public. Et cela demande de la tactique ! Je le
vois
bien. Je supplie donc qu’on m’explique la tactique. En quoi cela peut
73
nes, où commencent les châtaigneraies. Au sud, on
voit
un coin de plaine entre des collines longues, aux olivettes étagées,
74
nos voisins n’ont sur leur table, quand on va les
voir
à midi, que des châtaignes, des olives, des radis et quelques légumes
75
l, le jardin d’un couvent désaffecté, mais je n’y
vois
jamais que des vieillards en pantoufles. Devant le parc, un mail couv
76
8 octobre 1934 Du rôle pratique de la raison. Je
vois
la misère qui règne dans tous ces foyers, et qui les détruit. Je vois
77
ègne dans tous ces foyers, et qui les détruit. Je
vois
ces enfants sales abandonnés par leurs parents aux hasards de la rue,
78
nt abstraite, étroite, appauvrissante en fait. Je
vois
tous les espoirs et toutes les « assurances » de cette population bal
79
elle travaille, ou par quelque décret d’État. Je
vois
le chômage s’étendre et s’installer, comme se sont installés dans ces
80
e, l’alcoolisme et la misère héréditaire. Mais je
vois
d’autre part, en parcourant la feuille locale, qu’il naît encore pas
81
ous y sommes allés hier au soir. Des hauteurs, on
voyait
la plaine rose et violacée entre des monticules pointus tout frisés d
82
lire beaucoup ? — Oh, on le prend. Comme nous ne
voyons
jamais personne… (En France, cela étonne.) 16 octobre 1934 Complexit
83
lleurs » et pourtant elles sont propriétaires. Je
vois
en elles un type très classique de Françaises : leur politesse mesuré
84
lles et le prolétariat ? L’opposition que veulent
voir
les marxistes entre bourgeois, ou maîtres, et prolétaires ou serviteu
85
que les métayers catholiques de la montagne qu’on
voit
venir à A… pour le marché. Et très conscients d’une supériorité qu’il
86
a journée. Ma femme dort, dans la chambre dont je
vois
la porte entrebâillée. Une dernière bûche fume, il fait presque froid
87
bouillon de poulet, ça lui a fait de l’avantage.
Voyez
! Ce n’est pas vrai que la viande est si bonne pour les malades. » El
88
lus ou moins déchirés quand on va les récolter. «
Voyez
-vous ! c’est qu’il a fait un vent cette nuit ! » 11 novembre 1934 D’u
89
veut, a coutume de dire en constatant le mal : «
Voyez
-vous ! je croyais la tenir cette assiette ! » De telle manière qu’on
90
la moindre efficacité, et l’inverse. Par où l’on
voit
que le contraire de la « vie spirituelle », c’est « le public ». Cett
91
On m’avait dit : ce n’est pas cela du tout, vous
verrez
. Être communiste dans ce pays, c’est tout simplement être à gauche, l
92
blanche dans un pré, qui est le château. Joie de
voir
un pays dans son ensemble, dans son unité naturelle et ancienne. Une
93
y en a de toutes sortes, bien sûr, et plus on les
voit
de près… — Je comprends qu’il soit difficile de parler en général de
94
it bien ! Mais on est lâches ! — Et chez eux, les
voyez
-vous ? Pouvez-vous discuter avec eux ? — Guère. Là encore, ce sont su
95
uère. Là encore, ce sont surtout les femmes qu’on
voit
. Eux sont au travail, ou au café. — Pourquoi n’iriez-vous pas au café
96
C’est classé. On les connaît… — Alors, quand les
voyez
-vous ? — Surtout à l’occasion des conférences que j’organise. Vous av
97
s avez déjà parlé dans des cercles d’hommes. Vous
voyez
le genre. — Et les communistes y viennent ? — Bien sûr, le maire en t
98
rtant la lettre était recommandée. Alors il a été
voir
« une personne encore plus compétente » que lui Simard, et cette pers
99
« Ce cochon-là t’a refait de 299 francs, consulte
voir
le barème ! » Il a fallu récrire deux fois pour obtenir gain de cause
100
rien gagner, à cause de la mévente croissante, on
vit
sur le dos de l’État, on suit des enterrements, on se brouille avec s
101
re ou à entendre. Il comprend sa situation, et ne
voit
pas que son journal est sans rapport réel avec cette situation. Mais
102
on de « personnaliste ». — Le peuple tel qu’on le
voit
paraît tout ignorant de ses intérêts véritables. Mais c’est qu’il ne
103
rimer très aisément. Question de langage. Revenez
voir
ces mêmes hommes que j’ai dit, revenez deux fois, vingt fois, prenez-
104
n ombre. Le second romantisme bat son plein. On a
vu
bien des fous Chez Tieck et chez Fouqué. Celui-ci pourtant manifeste
105
compris mal l’intrigue de la Femme sans ombre. Je
voyais
une actrice parcourir la scène en hurlant : elle tirait après soi un
106
l n’est plus que l’ombre de lui-même ! ») Mais je
vois
bien qu’ils exagèrent : si nous étions de purs esprits, nous ne proje
107
t devient l’essentiel, notre philistin méconnu se
voit
chassé de la communauté des siens. Et par sa faute ! c’est là son ame
108
anormal dans sa vie sexuelle »37. Nous venons de
voir
que Schlemihl est le type même de l’inadapté, — celui qui ne peut « t
109
qu’un fait humain élémentaire. J’étais déçu de le
voir
se réduire à quelque chose d’aussi précis, et que mille préjugés, fra
110
e du pouvoir créateur spirituel. Comme on peut le
voir
par l’examen de la pudeur. Ne serait-ce point pour la raison qu’en be
111
e, se promène parmi les hommes avec l’angoisse de
voir
révélée au grand jour non son secret, mais justement l’absence en lui
112
l’image d’une vision de l’esprit. (L’esprit seul
voit
) Le corps et l’âme chantent alors dans l’unisson de la chasteté. L’es
113
n pas ses charmes profonds. C’est le siècle où je
vis
qui n’a plus d’ombre, et c’est pour lui que je garde ma pitié. Il ne
114
al est donc ici : adapté au milieu social. Qui ne
voit
ce qu’on pourrait tirer de cette « vérité d’expérience » si l’on voul
115
très vite, et après qu’une semaine eut passé, il
vit
à sa grande joie qu’une nouvelle ombre partant de ses pieds commençai
116
ncore vivaces du jardin. Quand je lève le nez, je
vois
la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleuls, la margelle d
117
e curé qui a juste la largeur de la maison. On ne
voit
rien que le ciel au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux, et parfois t
118
ar un nuage rapide. En me retournant à droite, je
vois
par une autre fenêtre un coin de lande, et de petites dunes broussail
119
, chez Mélie. Ce n’est pas simple d’éviter d’être
vu
par l’une, entrant chez l’autre. Mais c’est prudent, on me l’a dit. C
120
âte la vie. Trois fois la semaine au moins, il me
voit
venir avec une grande enveloppe contenant un manuscrit. Est-ce une le
121
Depuis lors, il rougit et transpire rien qu’à me
voir
entrer. Je cause un peu, pour me faire pardonner. Pédenaud est mutilé
122
pas large. Comme la mère Renaud était venue nous
voir
la veille, nous ne cherchâmes pas plus loin la cause du phénomène. Il
123
pleine de puces. Cela n’a l’air de rien, mais je
vois
là comme un symbole. Les livres devraient être utiles. 23 décembre 19
124
i sur une table de café. À travers la vitrine, je
vois
le vieux port de cette vieille ville, la plus proche de notre île, et
125
ela compte quand on n’a plus rien. Pour celui qui
vit
au jour le jour, il s’agit essentiellement d’éviter les lacunes de ce
126
à l’écart de la « vraie » circulation. Et l’on ne
voyait
guère que des gares, ce qu’il y a de plus attristant dans chaque vill
127
à grands sons de trompe, c’est enfin ce que l’on
voit
le mieux de chaque pays. La voie ferrée était une sorte d’insulte à l
128
ocale ; elle la traversait abstraitement, sans la
voir
, sans tenir compte de ses circonstances. Sur ses bords ne vivait qu’u
129
ance puisse jamais être « simplement la nature ».
Voyez
chez Goethe, chez Tolstoï, chez Nietzsche : dans la mesure où elle es
130
dre le pouvoir, il faut convaincre, sinon l’on se
verra
contraint d’exercer cette dictature que l’on se proposait justement d
131
uche, leurs guerres et leurs cultes d’État. 80.
Voir
numéro du 1er décembre 1937 : Le Personnalisme en Suisse. 81. La rés
132
erspective de bonheur dans laquelle il ne pouvait
voir
le vrai tout de son existence singulière. (Que d’autres y cherchent d
133
e la nuit. Georg Brandes raconte qu’on pouvait le
voir
, de la rue, arpenter longuement les pièces illuminées de ses vastes a
134
. Puis il se remettait à écrire. Vers midi, on le
voyait
parcourir les rues les plus animées de la ville, parlant, riant et di
135
nés de son nom. Mais à mesure qu’il faisait mieux
voir
le fond chrétien de sa pensée, le public s’écarta, effrayé. Et lorsqu
136
, le christianisme officiel et ses évêques, il se
vit
abandonné dans la plus complète solitude qu’ait sans doute jamais con
137
fût-ce que les thèmes directeurs. Il faut y aller
voir
dans ses livres traduits, et dans l’étude monumentale que Jean Wahl p
138
ais de Versailles manque de sérieux. C’était bien
vu
. Mais notre auteur était-il sérieux lui-même en écrivant cela, ou bie
139
étachés violemment au bas de l’énorme nuit. On ne
voit
que ces figures géométriques, dominées par le clocher à toit plat, et
140
quand ils se plaignent ou quand ils rient : tu ne
verras
, tu n’entendras et tu ne comprendras jamais qu’un appel à devenir toi