1
idaires dans sa dernière déclaration aux chambres
fédérales
. Il se peut que l’aspect pratique de cette mission ait perdu de son i
2
e cas, de métaphores anodines, d’éloquence de tir
fédéral
, de développements lyriques sur les ossements sacrés des héros suisse
3
ise seule, et non par un parti, et non par l’État
fédéral
. Une « Suisse chrétienne », ce serait une Suisse dont les citoyens se
4
immenses pianos, encombrés de manuscrits tiennent
conseil
au centre de la pièce. Des livres envahissent des placards. Une rangé
5
, attestée par le sang, que la solution suisse et
fédérale
est seule capable de fonder la paix, puisque l’autre aboutit à la gue
6
là, ce n’est pas pour défendre des fromages, des
conseils
d’administration, notre confort et nos hôtels. D’autres — on sait qui
7
u 12 avril, il assiste chaque jour aux séances du
Conseil
de Berne. Le 16, il est signalé comme absent. Le 18 on le confirme da
8
, attestée par le sang, que la solution suisse et
fédérale
est seule capable de fonder la paix, puisque les autres aboutissent à
9
pseudo-fédéralistes, ou régionalistes, nomment «
fédéral
» ce qui procède de Berne. Il en résulte que leur fédéralisme se résu
10
ralisme se résume à combattre tout ce qui est dit
fédéral
. Comprenne qui pourra ! Cette confusion verbale, symbolique de tant d
11
riétaires ou industriels, qui mendient la « manne
fédérale
», les subsides et les allocations ; mais les cantons les plus conser
12
t jouer le même rôle que la minorité dans une vie
fédérale
saine : elle a droit à de plus grands égards, relativement, que la ma
13
eaux de Berne, et rompus à toutes les prudences «
fédérales
». Sur le plan diplomatique européen, la Suisse pourrait et devrait j