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’on trouve au premier rang la figure populaire de
Nicolas de Flue
. Sujet digne d’intéresser n’importe quel Confédéré visiteur de l’Expo
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aux trois quarts achevée : c’est la partition de
Nicolas de Flue
, la nouvelle œuvre qu’Honegger met en musique sur un texte de Denis
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et d’origine. Bel exemple de fédéralisme. Notre
Nicolas de Flue
comprend trois parties, j’hésite à dire trois actes tant notre trava
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répond : Il y a donc un personnage central, c’est
Nicolas de Flue
. Il évolue du plan inférieur au plan supérieur et entraîne avec lui u
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suite s’adaptant à l’action ? Certainement, quand
Nicolas de Flue
parle, il parle en slogans, si on peut dire ainsi. Ses paroles sont t
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? C’est fort simple, un seul parle souvent, c’est
Nicolas de Flue
. On le met en vedette par des lumières et les autres composants reste
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blic apprécie et s’incline. Cette résurrection de
Nicolas de Flue
le prouvera en même temps qu’elle donnera une grande leçon de toléran
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humanité. s. Rougemont Denis de, « [Entretien]
Nicolas de Flue
vu par Denis de Rougemont », La Patrie suisse, Genève, 8 juillet 1939
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Comment j’ai écrit
Nicolas de Flue
(3 novembre 1939)w Je cherchais un sujet dramatique digne des vast
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jour me parvint par hasard un livre sur la vie de
Nicolas de Flue
. Et je tombai sur le récit de la Diète de Stans, c’est-à-dire sur le
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s. w. Rougemont Denis de, « Comment j’ai écrit
Nicolas de Flue
», Le Radio, Lausanne, 3 novembre 1939, p. 1856.
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te un livre qu’on lui a prêté : une biographie de
Nicolas de Flue
, signée Anne-Marie de Gourlet4. Genre édifiant, hagiographique. Je pa
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l d’histoire revécue. z. Rougemont Denis de, «
Nicolas de Flue
: naissance d’un drame », Formes et couleurs, Lausanne, Noël 1939, p.
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Gothard, notre bastion sacré, dans le souvenir de
Nicolas de Flue
. Et je me dis que la Providence nous veut vraiment du bien, à nous le
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t également pour assister aux représentations de
Nicolas de Flue
, l’œuvre qu’il écrivit pour les journées neuchâteloises de l’Exposit