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ereux individualistes. C’est donc vraiment de nos
affaires
qu’il s’agit dans cette discussion. Nous y avons notre mot à dire, pe
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lleurs d’autant plus facilement qu’il n’aura plus
affaire
qu’à une poussière d’individus déracinés, n’offrant plus de résistanc
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votre description. La direction de conscience est
affaire
de contacts personnels, non d’influence collective. J’écarte donc de
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unich, c’était la paix, cela n’arrangeait pas mes
affaires
. Car voici ce qui m’était arrivé. Deux semaines auparavant, à Venise,
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res, que le sérieux des gouvernants, des hommes d’
affaires
, des penseurs officiels et des bourgeois moyens, a refusé pendant cen
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e droite et d’une gauche extrémistes qui, dès « l’
affaire
» liquidée, ont démasqué leur fructueuse entente… Mais rien n’y fait,
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la politique n’était plus guère qu’une annexe des
affaires
. Rien de plus dangereusement utopique que le réalisme d’avant-hier. N
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e fonctionnement technique de la machine, étant l’
affaire
des fonctionnaires — leur nom l’indique — et des conseillers commerci
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é des citoyens suisses ne s’intéressaient pas aux
affaires
du pays. Il fallait se hâter de les grouper, sinon l’idéologie nazist