1 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
1 Suisse n’a pas de pires ennemis. Ce n’est pas une armée motorisée qui nous sauvera de l’attaque de nos voisins, même si nous
2 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
2 ur entreprend de décrire le régime nazi : État et armée , doctrine et formation des esprits, système économique et financier.
3 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
3 al. Et cet État aux cadres géométriques, avec son armée , sa bureaucratie, sa police, fonctionnera d’ailleurs d’autant plus fa
4 de l’extérieur ; un bloc qui prend l’allure d’une armée . Le vice d’un tel système, c’est qu’il stérilise peu à peu toutes les
4 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
5 entre eux sont comme moi, mobilisés. Remercions l’ armée de leur avoir accordé les congés nécessaires : ils auront tous consci
5 1940, Articles divers (1938-1940). D’un certain cafard helvétique (janvier 1940)
6 Chose curieuse, c’est dans le civil, plus qu’à l’ armée , que se manifeste cette tendance à tout faire « rentrer dans le rang 
7 ue. Plt D. de Rougemont. Adjudance générale de l’ Armée Section Armée et Foyer   aa. Rougemont Denis de, « D’un certain ca
8 Rougemont. Adjudance générale de l’Armée Section Armée et Foyer   aa. Rougemont Denis de, « D’un certain cafard helvétiqu
6 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
9 tifiée, pièces chargées et, derrière tout cela, l’ armée qui guette et qui travaille encore dans les forêts, dans les ravins e
10 ravins et dans les champs neigeux ; et derrière l’ armée , un peuple entier qui guette, et qui travaille lui aussi jour et nuit
11 our arrêter les hommes, les chars d’assaut et les armées d’envahissement. Mais les plus épaisses murailles ne peuvent arrêter
12 vait en effet conquérir un pays qu’au moyen d’une armée , et les armées n’ont jamais occupé autre chose que du terrain. C’étai
13 conquérir un pays qu’au moyen d’une armée, et les armées n’ont jamais occupé autre chose que du terrain. C’était donc le terra
14 i que depuis quelques années, ce ne sont plus les armées qui conquièrent un pays. Mais c’est d’abord la propagande. Ce n’est p
15 s des tragédies autrichienne et tchécoslovaque. L’ armée ne vient qu’en dernier lieu, quand le principal a été fait par les ag
7 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
16 nt été une proie facile pour l’étranger, pour les armées de la Révolution française. Je voudrais insister sur ce point : si no
17 fortifier, moralement, si nous voulons que notre armée défende quelque chose de valable. Or, quels sont les ennemis intérieu
8 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
18 apable — du moins le croyait-on — d’affronter les armées régulières. 7 juin 1939 Ce restaurant où j’achève de déjeuner — rive
9 1940, Articles divers (1938-1940). Au peuple suisse ! (22 juillet 1940)
19 me. Elle n’a pas d’autre garantie humaine que son armée , pas d’autre allié que son terrain, pas d’autre espoir que son travai
10 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
20 ce : elle l’affirme au contraire ! Le devoir de l’ armée est de garantir par la force l’intégrité de notre indépendance, et no