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onds, dirigées par M. Charles Taller, Fanfare des
Armes
réunies, dirigée par M. Piéron, régie de M. Jean Kiehl.) Beaucoup d’e
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u mortel, quand les canons détruisaient l’art des
armes
, on rentrait écœuré mais libre, et l’on exhalait sa colère dans un ch
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, enguirlandé au coin de ses tableaux ; ce sera l’
arme
réelle du guerrier suisse, signe des vieilles libertés ; et maintenan
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dernière goutte du sang des citoyens. Assurer les
armes
à la main l’intégrité du sol de la patrie, voilà qui ne faisait pas d
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t attaquer avec succès que si l’on est sûr de ses
armes
, et solidement appuyé par l’arrière. Quand on parle d’une vocation de
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en déclarant leur volonté de se défendre par les
armes
, d’autre part en se montrant capables de créer, eux aussi, un ordre n