1 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
1 osé que l’œuvre soit réussie du point de vue de l’ art , donc transparente — c’est l’esprit qui animait l’auteur. Un roman ne
2 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
2 our réaliser le spectacle. Ce magnifique effort d’ art et de patriotisme devait trouver son couronnement lors des deux journ
3 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
3 nt au jeu mortel, quand les canons détruisaient l’ art des armes, on rentrait écœuré mais libre, et l’on exhalait sa colère
4 essentiellement les solennelles démonstrations d’ Art du premier, le gigantisme méthodique du second. Et quant à l’élégance
5 et une facture, ce qu’il faut pour faire du grand art , pour composer des hommes et des paysages dans une architecture théol
6 on point des « paysages » ou des « vues » que l’«  Art  » dissout en impressions, et que la photo durcit et fixe comme nul re
7 r là pinceaux et chevalet lorsqu’ayant dominé son art , il entrevoit une action plus urgente. Poète satirique ou guerrier, a
8 dans la recherche d’une forme et d’un sens. Si l’ art n’y suffit pas, c’est que le mal est profond : d’où la nécessité d’ag
4 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
9 oclamé M. Goebbels. Voilà qui définit l’idée de l’ Art que peut concevoir un petit-bourgeois allemand. L’hitlérisme, c’est l
5 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
10 t consacré au but de l’œuvre. Je vois une revue d’ art et de littérature consacrer des milliers de francs à sa « présentatio