1 ultats politiques de son œuvre : servitude pour l’ artiste . Mais un romancier chrétien n’a pas à se préoccuper des résultats. Il

2 convertit les hommes. L’unique préoccupation de l’ artiste chrétien doit être de se maintenir en état de service pendant qu’il c

3 stant ne considère pas que son service en tant qu’ artiste puisse être différent de son service en tant qu’homme chrétien, ou co

4 , comme le Magnificat de Bach. Pour préciser : un artiste protestant (Rembrandt, Du Bartas, Selma Lagerlöf, Ramuz) ne cherche p

5 principe d’individuation, les législateurs et les artistes à concentrer leur attention sur l’homme et son destin particulier. D’

6 ont là des secrets spirituels dont la plupart des artistes modernes paraissent ignorer même l’existence, soit qu’ils rêvassent d

7 ’attarde à ces tableaux, et Manuel n’est pas un «  artiste  » au sens moderne et bien suspect du terme. Un beau jour, fatigué de

8 t bon époux, et bon père de six enfants ; que cet artiste , l’un des plus grands de son pays, fut aussi le plus raisonnable parm

9 ! 9 juin 1939 « Notre Führer fait une politique d’ artiste  ! », a proclamé M. Goebbels. Voilà qui définit l’idée de l’Art que pe