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absorber dans l’œuvre en cours, c’est un esprit d’
autocritique
qui prend la place, en moi, de l’effort créateur. J’imagine un recuei
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de conscience. D’où la nécessité d’une vigilante
autocritique
, si l’on ne veut pas déchoir ou se laisser dissoudre, si l’on veut du
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raison G. de Reynold. am. Rougemont Denis de, «
Autocritique
de la Suisse », Schweizerische Hochschulzeitung, Zurich, août 1940, p
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eurs, à titre de spécimen, le dernier chapitre : “
Autocritique
de la Suisse”, désirant les rendre attentifs (car nous nous sentons p