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s phrases lapidaires dans sa dernière déclaration
aux
chambres fédérales. Il se peut que l’aspect pratique de cette mission
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st quatre. Dès lors, quelle force opposerons-nous
aux
grandes nations qui nous entourent ? Nous serons dépecés en trois Ans
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nace et convaincue de l’avenir que nous incarnons
aux
yeux des peuples d’Occident. Notre seul espoir, à nous Suisses, c’est
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à l’horizon — chez les Tchèques déjà. Nous allons
aux
bains, car c’est dans la piscine que nous devons rencontrer le poète.
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logique. Nous sortons ensemble de la petite ville
aux
rues de terre brûlante, aux maisons jaunes, basses, ville sans ombre,
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le de la petite ville aux rues de terre brûlante,
aux
maisons jaunes, basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous monton
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ches, sentant bon, avec des livres sur des divans
aux
riches couleurs, des boissons préparées, l’ombre bourdonnante, — troi
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r, postes, statistiques économiques ; fournissant
aux
communes et aux entreprises privées certains crédits et la main-d’œuv
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stiques économiques ; fournissant aux communes et
aux
entreprises privées certains crédits et la main-d’œuvre indifférencié
10
tion pratique proposée par l’Ordre nouveau. Quant
aux
moyens d’y parvenir, de l’imposer, ils relèvent d’une action spiritue
11
i ce n’est pas surtout le souci de faire la leçon
aux
Français « de gauche » qui a poussé M. Rivaud à étudier l’exemple all
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Jour et de la Nuit. J’espérais terminer mon livre
aux
alentours du 21 juin, date du solstice d’été, triomphe solaire sur le
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apologétique, c’est-à-dire mauvaise littérature.
Aux
yeux d’un croyant, il n’est pas de comparaison possible entre la situ
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s mines fatales d’insomnies et des restes de fard
aux
joues. Nous dansions autour d’une flamme invisible à tout autre qu’à
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serait-ce pas à nous de maintenir et d’illustrer
aux
yeux du monde moderne une de ces vérités qu’il méconnaît, mais qui lu
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ts de septembre et toute la suite l’ont fait voir
aux
plus optimistes. En Russie, en Allemagne, en Italie, l’attaque est dé
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es susceptibles de faire image. Si nous remontons
aux
origines, si nous cherchons comment sont apparues dans l’Histoire les
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e qui cherche à échapper à la terreur originelle,
aux
liens sacrés du groupe, et par là même à son principe de tyrannie. Ce
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la statue, d’où le tragique (Antigone s’opposant
aux
décisions sacrées de l’État) ; — d’où les notions de gloire et de rec
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ujours un appel à l’État dictatorial. Et cet État
aux
cadres géométriques, avec son armée, sa bureaucratie, sa police, fonc
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-delà libérateur. Ce n’est plus le rêve du retour
aux
origines, c’est le rêve d’un avenir éternel, d’une révélation inouïe.
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ain de persona. C’est ce même terme qui va servir
aux
premiers philosophes chrétiens à désigner la réalité de l’homme dans
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l’Empire romain. Elle s’est peu à peu substituée
aux
cadres sclérosés du vieux régime. La capitale de l’Empire d’Occident,
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d’abord un révolté qui oppose ses besoins propres
aux
dogmes sacrés de la collectivité. Il revendique le droit de discuter,
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acquises aux dépens de sa famille et de sa cité,
aux
dépens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de crimes furent comm
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e devient presque évidente dès que l’on réfléchit
aux
deux questions suivantes : quels furent les régimes qui persécutèrent
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ce n’est rien de plus, après tout, qu’un individu
aux
caractères accusés. Ainsi l’on glisse du calvinisme à l’individualism
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tement des personnes, des vocations irréductibles
aux
ambitions spirituelles de l’État. Ces personnes-là, ce sont ses vérit
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a politique. Les complexes individuels font place
aux
mythes collectivistes, et la pièce à trois personnages au jeu sacral
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oments où l’intérêt se déplaçait du héros central
aux
réactions de la foule, c’est-à-dire du drame de la personne à ses rép
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é que ceci en conclusion : « Chrétiens, retournez
aux
catacombes ! Vos cérémonies modestes, vos petites assemblées, vos cha
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e stentor fanatique, particulièrement désagréable
aux
oreilles latines. La grande majorité des Allemands pensent au contrai
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yeux le type du faux prophète, celui qui annonce
aux
hommes le règne de l’Homme fort, et non la gloire du Dieu vivant. C’e
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e ceux qui répondent sérieusement et par principe
aux
lettres de lecteurs : un Gide, un Claudel… Ils sont rares. Restent le
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ion morale, par consultations personnelles. Quant
aux
meneurs, ce sont évidemment des directeurs d’inconscience collective.
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Mais alors, c’est un objet de foi, car il échappe
aux
prises de notre esprit non moins qu’à celles de nos sens. Ainsi la fo
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231. Sur une table s’étale une feuille de papier
aux
trois quarts achevée : c’est la partition de Nicolas de Flue , la no
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ns. Et ces différences sont ? Il a fallu se plier
aux
conditions données par la scène, ce qui restreint sensiblement la lib
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de Rougemont, cet homme sans domicile, ou plutôt
aux
innombrables domiciles, me reçut à la NRF. Pourrait-on s’imaginer, en
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a rue Sébastien-Bottin. Une tonnelle verte invite
aux
conversations littéraires. Un fin gravier protège les pieds des homme
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e et du sérieux de ceux de sa race, qui s’attelle
aux
problèmes avec conviction, pour ne les lâcher qu’à la fin du sillon,
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vres II à V de L’Amour et l’Occident , consacrés
aux
origines religieuses du mythe, à passion et mysticisme, au mythe dans
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l y a certainement une source commune à Hitler et
aux
romantiques allemands ; il y a certainement une analogie profonde ent
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la lunette du temps, la voilà qui s’agrandissait
aux
proportions de l’Europe d’aujourd’hui. Il n’y avait plus à hésiter. J
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lus que jamais elle doit se faire entendre. Grâce
aux
organisateurs de l’émission nationale du 6 novembre, quelques scènes
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dans les métamorphoses de sa vie : toujours vêtue
aux
couleurs de sa fièvre et de sa nouvelle aventure. Pourquoi les hommes
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ignard ses tumultueuses compositions, il se joint
aux
guerriers du chevalier de Stein, va combattre à Novare et pille la ci
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user cette considération bourgeoise qui s’attache
aux
carrières monotones. Mais la grandeur d’un Manuel, et de plusieurs à
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Baden. Du 1er au 12 avril, il assiste chaque jour
aux
séances du Conseil de Berne. Le 16, il est signalé comme absent. Le 1
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e totale et irrémédiable inaction. Cela ressemble
aux
cauchemars ; quand on ne peut pas courir pour attraper un train, parc
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t en rapport avec des hommes civils ou mobilisés,
aux
quatre coins de la Suisse, qui voudraient travailler pour leur pays,
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s d’azur, nous chantons nos glaciers qui touchent
aux
deux, et nous en retirons d’importants bénéfices, mais nous oublions
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. Pour peu qu’elle arrive à le faire croire, soit
aux
masses, soit plutôt à certains dirigeants, la victoire lui est acquis
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parce que les traités nous y forcent. Et certes,
aux
yeux d’un chrétien et d’un Suisse, les traités ne seront jamais de si
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on positive de la Suisse rend un sens et un poids
aux
arguments que nous jugions tout à l’heure insuffisants. Notre positio
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s la TSF monologuer dans sa petite maison blanche
aux
volets bleus. Débarquement… fusillade… cuirassés… C’est le coup de fo
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Vérité elle-même, cette Vérité devient ésotérique
aux
yeux des masses. Déjà, dans la moitié de l’Europe, elle est des Catac
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; vrai tout autant qu’elle est probable. Suis-je
aux
prises avec deux tempéraments irréductibles ? Ou bien suffirait-il, p
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t demi-monde. Des femmes qui ont voulu ressembler
aux
trois ou quatre types de stars en vogue. Nanties de chiens qui senten
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ividuelles additionnées, créant un champ illimité
aux
dictatures collectivistes. Nietzsche ricane que le monde moderne est
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tyrannie. » Et qu’il suffise enfin d’une allusion
aux
prophéties célèbres de Burckhardt sur les « terribles simplificateurs
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er notre prospérité, notre confort et nos progrès
aux
nécessités impérieuses de la défense nationale. Pour avoir refusé les
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olles, démagogiques, impensables et impraticables
aux
yeux des « réalistes » de l’économie : prélèvement sur le capital ou
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s et des vitesses. Avis à la génération sportive,
aux
réalistes qui l’engendrèrent, aux libéraux qui ne peuvent en croire l
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ation sportive, aux réalistes qui l’engendrèrent,
aux
libéraux qui ne peuvent en croire leurs yeux. Avis aux Suisses. Les S
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ibéraux qui ne peuvent en croire leurs yeux. Avis
aux
Suisses. Les Suisses ont quelque chose à faire, quelque chose de préc
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ont encore ce bref délai de grâce dont je parlais
aux
Hollandais, en novembre de l’an dernier — et c’est fini — dont je par
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de l’an dernier — et c’est fini — dont je parlais
aux
Suisses en janvier de cette année — et cela fait déjà cinq mois passé
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et selon leur foi chrétienne. Aujourd’hui, comme
aux
heures héroïques, sachons voir et saisir notre chance ! Les événement
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la Suisse et pour la rénover. Ils ne croient plus
aux
plans, aux promesses faciles. Ils veulent une méthode neuve d’action
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t pour la rénover. Ils ne croient plus aux plans,
aux
promesses faciles. Ils veulent une méthode neuve d’action et de pensé
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nombre de signatures de personnalités appartenant
aux
milieux les plus divers, et qui nous ont promis leur appui. ak. Ro
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iers des ressources passent à l’administration et
aux
salaires fixes, tandis que moins d’un tiers est consacré au but de l’
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e nous exprimer, ce n’est donc pas nous conformer
aux
exigences de la neutralité. Ce peut être, dans certains cas, une mesu
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) à la valeur capitale de cet ouvrage, qui a paru
aux
Éditions de la Baconnière-Boudry-Neuchâtel. »
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’évoque Berne, avec sa force calme et ses maisons
aux
puissantes assises, ses ours qui furent conquis sur le duc de Milan e
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de terminer par une petite citation qui prouvera
aux
plus ombrageux des régionalistes romands qu’un Suisse allemand n’est
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brochet moussu qui nage au fond de ses lacs jusqu’
aux
aigles qui planent sur ses glaciers. Combien d’espèces de gens grouil
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aillant à l’enrichir. Ainsi la Suisse ne survivra
aux
révolutions actuelles que si elle croit à son avenir, à sa mission —
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r, à sa mission — qui seule la rend indispensable
aux
autres peuples de l’Europe. Le chef-d’œuvre que représente notre démo
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teur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois
aux
États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)ap aq J
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oitié des citoyens suisses ne s’intéressaient pas
aux
affaires du pays. Il fallait se hâter de les grouper, sinon l’idéolog
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teur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois
aux
États-Unis », Curieux, Neuchâtel, 23 août 1940, p. 1. aq. Propos rec
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ro Helvetia” d’une série de conférences destinées
aux
colonies suisses du Nouveau Monde. Il part également pour assister au
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du Nouveau Monde. Il part également pour assister
aux
représentations de Nicolas de Flue , l’œuvre qu’il écrivit pour les
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antimarxistes, ni de gauche ni de droite, alliés
aux
syndicats par leurs éléments les plus vivants, et nous travaillons à
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la nouvelle de son envoi en mission de trois mois
aux
États-Unis, afin d’y prendre contact avec les milieux suisses établis