1 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
1 ble pour les communes et les personnes que sur la base d’une organisation rationnelle des servitudes publiques, c’est-à-dire
2 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
2 les industries ? Et quels étaient les salaires de base  ? Les polémiques au sujet des salaires russes nous ont rendus méfiant
3 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
3 tent le besoin de reprendre pied sur les vieilles bases spirituelles, rudes et monumentales, posées par les Pères de l’Église
4 on entre l’homme naturel et l’homme chrétien. Ces bases étant posées, faisons dans nos pensées un petit saut de quelques sièc
5 u Royaume, avec large autonomie des communes à la base , et au sommet, contrôle du pouvoir royal par un organe plus ou moins
4 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
6 laire l’a résolu par le droit et le fait, sur des bases chrétiennes et pratiques, dans un esprit de solidarité que symbolise
5 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
7 nt contraire a tout système totalitaire, et seule base possible et solide de la paix que nous espérons. C’est très facile à
8 , par certaines prises de position peut-être, les bases de la fédération européenne. L’illustrer, c’est le réaliser, ici et m
6 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
9 ront, mais ma Parole ne passera point. » Voilà la base et le point fixe que nulle puissance humaine ne saurait ébranler, qua
7 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
10 on verbale, symbolique de tant d’autres, est à la base de la plupart de nos conflits politiques, économiques, parlementaires
11 e religieuse, ou des intérêts corporatifs. Sur la base de programmes restreints, bien définis, l’on peut discuter entre expe
12 privée », c’est nier le fédéralisme et ruiner les bases de la Suisse. Que nos moralistes s’en souviennent, et que nos conform
13 squ’à nous affirmer que cette « éternité » est la base officielle de notre politique. Dans ce cas, notre politique reposerai