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ts, système économique et financier. Nous aurions
beaucoup de
réserves à formuler sur le détail de ces chapitres et sur l’intention
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et sur la civilisation dite chrétienne, incitent
beaucoup de
contemporains à se tourner vers le passé pour y trouver le réconfort
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rt l’Espagne et la Russie. « Fort différentes sur
beaucoup de
points, écrit-il, elles offrent ceci de commun qu’elles souffrent tou
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u spirituel. Parler d’une Suisse chrétienne quand
beaucoup de
Suisses sont incroyants, cela mène tout simplement, dans la pratique,
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e entre les droits de l’Église et ceux de l’État.
Beaucoup de
choses en dépendent, pour l’avenir immédiat ! Et enfin, sur le plan p
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elle cesse d’être vivante, laisse en se retirant
beaucoup de
personnalités. Cela constitue dans la cité des tissus sains, et c’est
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neutre. La Suisse est belle. On a fait avec cela
beaucoup de
littérature de manuels, — et en même temps un peu d’argent, je crois.
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Europe, nombreux sont ceux qui crient à l’utopie.
Beaucoup de
gens s’imaginent que les petites raisons sont plus réalistes que les
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ites raisons sont plus réalistes que les grandes.
Beaucoup de
gens s’imaginent que les réalités matérielles et pratiques sont plus
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dire, pratiquement condamnés à l’idéalisme. Mais
beaucoup de
bons Suisses ne le voient pas de leurs yeux, et par suite, ne veulent
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e, si cela peut permettre de donner de l’emploi à
beaucoup de
leurs camarades : il y va de la liberté future des travailleurs. Mais