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Ramuz) ne cherche pas à persuader le public de la
beauté
de sa religion, mais cherche à exprimer l’humain dans sa réalité tota
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s », si nous voulons les préserver. Neutralité et
beautés
naturelles ont été trop longtemps considérées soit d’un point de vue
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a d’habiter et de posséder un pays dont l’altière
beauté
menace sans cesse d’écraser l’homme qui voudrait simplement s’y compl
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e mission spéciale de Suisses. Disons-nous donc :
Beauté
du sol oblige, liberté oblige, neutralité oblige ! À quoi ? C’est ce
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discours, n’est pas la Suisse qui se vante de ses
beautés
, de ses libertés et de sa neutralité, mais bien la Suisse qui sait re
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io, dans un gros pot de grès, elle règne comme la
Beauté
même, comme la Passion despotique et fervente. Nous sentons bien qu’e
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issante dans le salut du monde malgré tout, cette
beauté
sensible au-dessus de toutes choses, à l’intérieur bientôt de toutes