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il. J’en ai relevé trois au début de cet article,
bien
minimes il est vrai, mais assez nets et assez neufs. Il y en a d’autr
2
e spirituel au sens évanescent des libéraux, mais
bien
comme une action, tant publique que secrète, qui mobilise le tout de
3
e semblait que les hommes de la cité actuelle ont
bien
du mal à communier dans une même vérité vécue ; qu’ils sont souvent d
4
s de service étranger, cela n’a jamais fait tort,
bien
au contraire, au sens patriotique de nos ancêtres. Et il se peut que
5
l’Université ne saurait les donner. Et il serait
bien
sot, il serait même barbare de le lui reprocher un seul instant. Nous
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le vouloir : une atmosphère, un milieu de vie, et
bien
au-delà d’une instruction : des possibilités de culture, au sens le p
7
s, un protestant égale une personnalité. Que peut
bien
signifier cette contradiction affligeante ? Je serais heureux que la
8
, ou défenseur d’une certaine dignité humaine. Eh
bien
, je ne vois aucune raison de décevoir une telle attente. Mais attenti
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jà par contrecoup, et il est sage de s’attendre à
bien
pire. C’est donc le moment ou jamais de se montrer très rigoureux dan
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entraînait l’exécration ou la mort. Dans la cité,
bien
au contraire, chacun cherche à se distinguer. On met son point d’honn
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le vide est absolu, plus l’appel est puissant. À
bien
des égards, l’étatisme ne fait qu’achever le processus de dissolution
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dant, ces communautés étranges constituent bel et
bien
les germes d’une société véritable. Elles ont leur organisation socia
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et la réalité sociale de la personne, sont bel et
bien
des créations chrétiennes ou, pour mieux dire, des créations de l’Égl
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s touchons au cœur même du sujet. Qu’on m’entende
bien
: je ne prétends pas annexer ici la Réforme à la cause personnaliste.
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annexer ici la Réforme à la cause personnaliste.
Bien
au contraire : je vais essayer de vous montrer ce que pourrait être e
16
os jours, est d’ordre proprement spirituel. C’est
bien
le même état d’esprit qui explique à la fois le respect des diversité
17
e gouvernement est celui-là où il y a une liberté
bien
tempérée et pour durer longuement. » Il me semble que le spectacle de
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ce n’est pas la forme d’un État qui compte, mais
bien
la condition qu’il ménage à l’Église, et l’idée de l’homme qu’il supp
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us la Troisième République. Cela ne signifie pas,
bien
entendu, que le calvinisme ne puisse dévier lui aussi, et soit sans d
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ne confrontation utile des deux doctrines. Je dis
bien
utile, et non pas simplement intéressante. Je ne fais pas ici, vous l
21
intéressante. Je ne fais pas ici, vous le sentez
bien
, une description désintéressée et académique de divers régimes égalem
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si les uns et les autres, qu’ils n’ont pas encore
bien
compris le paradoxe vivant que représente, en chacun de nous, la pers
23
« une pépinière d’individualités et de caractères
bien
trempés », nous courons le risque d’oublier que la Réforme n’est pas
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divine. N’oublions pas que la personnalité n’est
bien
souvent que le résidu, l’empreinte d’une personne sur un individu qui
25
aut prévoir que ces personnalités, ces caractères
bien
trempés, se feront de plus en plus rares si nous laissons tarir les s
26
ein, phénomène de piraterie sociale, de mépris du
bien
commun, phénomène typiquement individualiste. Un dernier exemple vous
27
s traits de caractère, bref, sa personnalité, car
bien
d’autres en ont autant qui ne sont pas pour cela en prison. Ce qu’on
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e. Mais indépendamment de cette valeur — et c’est
bien
cela qui me permet d’invoquer un exemple aussi personnel ! — une leço
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as craindre de le répéter, et surtout de le faire
bien
comprendre. Les nazis, eux, ont compris que le socialisme économique
30
ute de ses ministres, ne satisfaisait plus depuis
bien
longtemps au besoin de croire de la majorité du peuple. Nous voulions
31
-être réussirons-nous à y croire. » Voilà qui dit
bien
où est la force de l’Allemagne nouvelle. Quelle force croyez-vous don
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commises par les sous-ordres du parti, il arrive
bien
souvent qu’un Allemand dise : « Si le Führer savait cela, tout change
33
ir le Führer pour un génie, dans un certain sens,
bien
précis : c’est un homme qui a su pressentir l’inconsciente angoisse d
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rd. Si ce petit individu sans qualités ni défauts
bien
marqués a pu devenir l’incarnation du rêve des masses, c’est uniqueme
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ttéralement monstrueuses. Sur quoi vous proposez,
bien
entendu, « l’invention » d’une orthodoxie « universaliste », seule ca
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le, car de la place du public on ne voit pas très
bien
qui a la parole ? C’est fort simple, un seul parle souvent, c’est Nic
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orchestre n’aura que les cuivres. Si je comprends
bien
, les chœurs seront l’acteur numéro 1 du spectacle. Exactement. Et j’a
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n passe de se faire dans la littérature une place
bien
à lui et qui n’est pas des moindres. Ce fils de la libre Suisse, qui
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nt au niveau le plus profond a été négligée aussi
bien
par le marxisme que par l’économie bourgeoise. Et cette négligence se
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ents : « On se demande ce qu’on fout par-là… » Eh
bien
oui, bande de rouspéteurs, vous avez bien raison de vous le demander
41
à… » Eh bien oui, bande de rouspéteurs, vous avez
bien
raison de vous le demander ! Et je me le demande encore, devant ce pa
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… Au matin, la pièce était faite. Non pas écrite,
bien
entendu, mais tout entière organisée et déployée dans mon esprit. Ell
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mes chœurs et mes récitatifs, — et que je m’étais
bien
gardé de lui chanter ! On sait la suite : tout était prêt, quand sept
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s idylles du xviiie , non pas l’opéra romantique,
bien
moins encore ces planches de minéralogie que nous bariolent les peint
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anuel n’est pas un « artiste » au sens moderne et
bien
suspect du terme. Un beau jour, fatigué de signer d’un poignard ses t
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a d’abord des jeux de carnaval qui sont en vérité
bien
plus que des satires « contre le pape et sa séquelle » : des catéchis
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e sentiment d’être entravé dans son action. C’est
bien
pire qu’une totale et irrémédiable inaction. Cela ressemble aux cauch
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ut de la réaliser. La DAC est un de ces moyens ;
bien
modeste, mais il faut commencer. Et j’en profite pour dire, ici, à to
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e, l’homme dans sa posture la plus misérable… Eh
bien
, je ne dis pas que le peuple suisse représente dans son ensemble « la
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dans ses sécurités. Et rien ne passe. Sommes-nous
bien
sûrs que réellement plus rien ne passe ? Certes, toutes ces barrières
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Dieu, mais par le traité de Versailles. Et c’est
bien
vrai. Elle dit aussi que d’autres États, et en particulier les petits
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tembre, de défendre la Suisse jusqu’à la mort. Eh
bien
, il serait fou de mourir pour une Suisse dont nous ne serions pas sûr
53
Ce n’est pas pour le stérile plaisir de démolir.
Bien
au contraire ! Mon entreprise serait inutile, si nous ne cherchions p
55
lèges démocratiques qu’on nous envie ? Avons-nous
bien
le droit de nous en vanter encore, et suffit-il de s’en vanter pour q
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vait renverser un peu plus tard. Mais sommes-nous
bien
certains que pour autant le jugement de Goethe n’est plus du tout val
57
t plus du tout valable de nos jours ? Sommes-nous
bien
certains que la tyrannie de l’opinion publique vaut mieux que celle d
58
ut mieux que celle des aristocrates ? Sommes-nous
bien
certains que les Suisses sont, plus que d’autres, libérés des préjugé
59
res, libérés des préjugés bourgeois ? Sommes-nous
bien
certains, enfin, qu’il a suffi à nos pères de s’affranchir un jour po
60
as à première vue dans des catégories moyennes et
bien
connues, telles que bon ou méchant, droite ou gauche, ami de l’ordre
61
uelle espèce d’ordre il s’agissait. Or, prenons-y
bien
garde ! Cette passion maladive pour les choses « simples » tend à sup
62
» est, lui aussi, une forme de paresse d’esprit,
bien
plus encore qu’une forme de l’envie, comme on l’a peut-être trop dit.
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vouloir se distinguer. Pourquoi ? Parce que c’est
bien
plus simple, et plus facile de tout ramener à des mesures médiocres e
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mener à des mesures médiocres et uniformes. C’est
bien
plus simple et plus facile que de tenir compte des vivantes complexit
65
os voisins n’ont aucune raison d’en tenir compte,
bien
au contraire. Dire : nous sommes neutres uniquement parce que nous so
66
i ont fait serment. Mais ici encore, il nous faut
bien
voir que cette raison a peu de poids en dehors de nos frontières. Enf
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tre un privilège, c’est une charge ! Et ce serait
bien
mal la défendre que de la défendre au nom de nos seuls intérêts, car
68
le principe du fédéralisme ; principe, notons-le
bien
, radicalement contraire a tout système totalitaire, et seule base pos
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dérée qu’est la Suisse soit au moins de l’ouvrage
bien
fait, digne d’être exposé et en bonne place, comme un modèle valable
70
eautés, de ses libertés et de sa neutralité, mais
bien
la Suisse qui sait reconnaître dans ces privilèges les signes d’une m
71
ace énorme qui domine l’Europe d’aujourd’hui ? Eh
bien
, cette menace énorme, à son tour, n’est qu’un tout petit nuage, au re
72
ente aux yeux de tous. » Plt D. de Rougemont 6.
Bien
entendu, si je suis vivant après cette guerre, j’espère que j’aurai m
73
ens où l’on dirait : quoi que je sois, l’on verra
bien
ce que cela peut « donner » à l’usage. C’est faute d’usage et d’occas
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aujourd’hui un merveilleux jardin, dans un vallon
bien
abrité, à la terre ocrée, sous les pins. Pendant que nous choisissons
75
t-ce que cela fait, ceux qui gouvernent ? Ça peut
bien
être des Allemands, ou des Anglais, ou tout ce que vous voudrez, pour
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cette menace ? Faire l’autruche ne l’écarte pas,
bien
au contraire. Le premier devoir est de ne point se laisser surprendre
77
excité croit-il vraiment à ses idées ? — Je pense
bien
, me dit-on. Il n’hésiterait pas à faire tuer pour elles ses meilleurs
78
? Privilégiés qui n’éprouvent de désir pour leurs
biens
qu’à la veille de les perdre. Déshérités aussi, qui ne retrouvent l’e
79
enace ? Je ne le crois pas. S’il n’y avait pas un
bien
, dans ce régime, un bien que nous avons perdu, et qu’il séquestre, s’
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transformé les conditions de notre bonheur, mais
bien
celles de notre malheur. Mais l’optimisme du matérialiste modéré ne v
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cet argent ou si le confort matériel favorise un
bien
spirituel. À la première de ces questions, il n’oserait pas répondre
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estin qui maintenant nous surprend. Nous avons eu
bien
assez de prophètes. Nous n’avons pas le droit de gémir que les averti
83
nd il s’agit du mieux mourir ou du mieux tuer. Eh
bien
si la peur et la guerre sont seules capables d’obtenir de nous un dép
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pas su imaginer le mal parce qu’ils croyaient au
bien
fait de main d’homme. Mea culpa des militaristes, qui n’ont pas su im
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s contraires des autres, en face, nous paraissent
bien
plus effrayantes, et qu’ils triomphent tout de même, ou à cause de ce
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e nous ouvrir les yeux. Depuis quelques semaines,
bien
des préjugés tombent. Nous avons découvert l’urgente nécessité de nou
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Sa devise est un paradoxe qu’il n’a pas toujours
bien
compris. Elle exclut en principe toute doctrine unitaire, et suppose
88
un petit État totalitaire et unifié, qui voudrait
bien
tout régler à sa guise, et qui se condamne, ridiculement, à avoir des
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orporatifs. Sur la base de programmes restreints,
bien
définis, l’on peut discuter entre experts, se compléter, collaborer.
90
pes mêmes qui fondent notre État. (Je me garderai
bien
de donner ici un autre exemple que celui de la propagande stalinienne
91
sse… Mais ceci est une autre histoire.) On ferait
bien
de ne pas utiliser comme des proverbes généraux certaines paroles du
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e sont pas dispensés d’imaginer et de voir grand.
Bien
au contraire : ils sont contraints de compenser leur petitesse physiq
93
oderne doit être un expert commercial. Conception
bien
typique du siècle dernier, où, en effet, la politique n’était plus gu
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ne nature moins douce, mais plus drue. Je m’étais
bien
promis d’y retourner, et c’est encore la mobilisation qui m’y ramène.
95
d’Henri le Vert. On me dira que je vais chercher
bien
haut, et dans une œuvre exceptionnelle, mon modèle du Suisse allemand
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je me dis que la Providence nous veut vraiment du
bien
, à nous les Suisses, puisqu’elle nous a permis de réunir des qualités
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combé : en 1798. Les causes de cette défaite sont
bien
connues, elles nous avertissent clairement : discorde politique, rout
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ertés civiques, partout ailleurs apprivoisées. Eh
bien
! sachons transformer ce vestige en germe d’une Europe nouvelle, réco
99
ésenter la Suisse d’aujourd’hui. Et travailler au
bien
de la Suisse. Le comité directeur de la Ligue est formé de dix hommes
100
l’éloigne de la scène politique. Au surplus, il a
bien
voulu nous faire les déclarations qui suivent. » ar. La rédaction co