1 r sauvage, derrière la maison, un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau temps, l’horizon est auss

2 mbours lugubres, d’hallucinants sabbats de nègres blancs  ! Qui oserait encore nous soutenir que ce délire représente l’ordre ?

3 er ! Et je me le demande encore, devant ce papier blanc  : pourquoi sommes-nous là, — quelque part, — loin de tout ce qui fais

4 à étages… C’est justement celle de Zurich ! Nuit blanche . Trois actes se composent, irrésistiblement, impitoyablement. Dans l’

5 entendons la TSF monologuer dans sa petite maison blanche aux volets bleus. Débarquement… fusillade… cuirassés… C’est le coup d

6 nnées qui viennent. Paris, 21 avril 1939 Une nuit blanche dans un train bondé. Une journée de reprise à Paris. Et ce soir, me v

7 Mais non. Ils sont tout seuls devant leur papier blanc . Les réactions à leur parole seront lointaines, ou même ils ne les co