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voir à Esztergom, où il passe les étés. J’eus ce
bonheur
de découvrir une terre et une race par ses poètes. La plaine hongrois
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aient — ou croyaient devoir s’imaginer ! — que le
bonheur
et la force d’un peuple dépendent de sa grandeur physique, de sa mise
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nte, à la campagne… Je suis seul et je pense à un
bonheur
promis, ce revoir qui est pour demain. Et voici que soudain, un « à v
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n’a nullement transformé les conditions de notre
bonheur
, mais bien celles de notre malheur. Mais l’optimisme du matérialiste
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dictatures militaires au nom de la liberté et du
bonheur
des masses. Cette unanimité d’esprits partout ailleurs irréductibleme
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ea culpa des gens de gauche, dont le programme de
bonheur
obligatoire était le même — avec moins de franchise — que celui de l’
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s grandes démocraties ont la victoire. Non pas le
bonheur
fait de laisser-aller et d’insouciance du prochain, car nous le payon