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que de le mener à chef dans le plus court délai.
Car
il y va de l’existence même de notre État, et au-delà : de l’espoir d
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s aussi une nation, notre compte sera vite réglé.
Car
: 1° nous perdrons notre raison d’être, et il n’est pas d’exemple dan
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— chez les Tchèques déjà. Nous allons aux bains,
car
c’est dans la piscine que nous devons rencontrer le poète. Cheveux no
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vents ne l’emportent pas), un beau nid de poète :
car
demeurer ici, c’est demeurer vraiment « en pleine nature », un peu au
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u moins fidèles et tronquées qu’on nous en offre.
Car
M. Rivaud a le grand mérite d’avoir situé le développement du nationa
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terait à croire que j’y ai partiellement réussi :
car
enfin, vous les jeunes, mes cadets ou mes contemporains, vous êtes le
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ancier chrétien et celle du romancier communiste.
Car
le chrétien comme tel ne sert pas une cause visible, et son service n
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llectif et prolongé… Pendant des mois, ai-je dit,
car
il fallait d’abord choisir la pièce, puis la préparer, la jouer, la p
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ut-être grave, ou en tout cas digne de réflexion,
car
c’est à elle précisément que je me propose de répondre ici. Comment p
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portance particulière pour notre pensée réformée.
Car
il se trouve que nous passons, nous protestants, tantôt pour les ferm
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ularisent : on les considère comme des criminels,
car
ils ont profané l’élément sacré du groupe. On les expulse : voilà les
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substantiellement dans le vocabulaire chrétien.
Car
voici le moment décisif de notre histoire. La Grèce individualiste a
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Leurs ambitions non plus ne sont pas terrestres,
car
ce qu’elles attendent, c’est la fin des temps. Et cependant, ces comm
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la réalité de l’homme dans un monde christianisé.
Car
cet homme, lui aussi, se trouve être à la fois autonome et en relatio
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politiques, mais pour sauver l’Église véritable,
car
, écrit-il, « si personne n’allait au-devant pour rembarrer ces deux v
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é « des Églises et des personnes particulières ».
Car
non seulement il y a plusieurs Églises, mais à l’intérieur de chaque
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libre et engagée, distincte et reliée à nouveau.
Car
le rôle que Dieu attribue à un homme distingue cet homme, l’isole, ma
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ne, abordons notre siècle et l’histoire présente.
Car
en définitive, c’est de cela qu’il s’agit. L’histoire n’est jamais qu
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ent d’abattre, mais beaucoup plus rigoureusement,
car
la religion dont ils étaient les chefs était une religion de guerre,
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ous aurons l’occasion d’y revenir tout à l’heure.
Car
en effet, une opposition aussi radicale et aussi exacte entre la ment
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alitaires ? Cette première question est capitale.
Car
la politique d’un régime est toujours étroitement dépendante de l’att
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— si l’on n’est pas de sang aryen, par exemple —
car
cette religion n’admet pas que « les choses vieilles sont passées » s
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. Seulement, il faut que cette force reste pure !
Car
de même que le culte de la terre et des morts, pour peu qu’il vienne
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, ses traits de caractère, bref, sa personnalité,
car
bien d’autres en ont autant qui ne sont pas pour cela en prison. Ce q
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à craindre que l’ennemi qu’il porte en lui-même.
Car
un ennemi visible et extérieur, ce n’est jamais que l’incarnation d’u
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cette question : pour quelles fins vivons-nous ?
Car
cela seul peut définir la voie à suivre, l’orthodoxie. Point de direc
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r jusqu’à l’universel avec l’aide de nos idéaux :
car
eux aussi sont dans le puits. Je ne connais pas de doctrine universel
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s nos espoirs. Mais alors, c’est un objet de foi,
car
il échappe aux prises de notre esprit non moins qu’à celles de nos se
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out ce qui est inutile devient ennuyeux et lourd,
car
il ne faut pas songer au talent des acteurs pour sauver un texte si b
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faites-vous pour isoler le personnage qui parle,
car
de la place du public on ne voit pas très bien qui a la parole ? C’es
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moins qu’ils ne descendent du ciel vers la terre,
car
nous avons appelé « ciel » la partie supérieure de la scène, là où se
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re, — l’Allemagne d’avant le romantisme s’entend.
Car
avec le romantisme, l’Allemagne change de nature. Les trois génératio
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tait la paix, cela n’arrangeait pas mes affaires.
Car
voici ce qui m’était arrivé. Deux semaines auparavant, à Venise, j’éc
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réalisme. « Jette ton pain sur la face des eaux,
car
avec le temps tu le retrouveras ; donnes-en une part à sept et même à
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veras ; donnes-en une part à sept et même à huit,
car
tu ne sais pas quel malheur peut arriver sur la terre. » Le secret de
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nard suisse16. Et voilà qui résume toute sa vie.
Car
ce poignard, c’était déjà celui qu’il joignait à son monogramme, engu
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i nous vanter. D’abord, ce n’est pas notre faute.
Car
vraiment, nous ne sommes pour rien, nous autres Suisses du xxe siècl
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paysage. Il y avait un témoin, en effet, un seul,
car
du reste l’esplanade était sauvage, abrupte et déserte. Je n’oubliera
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une plus grande liberté morale et intellectuelle.
Car
les unes ne vont pas sans les autres, et toute notre histoire en témo
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cée ; qu’elle est en quelque sorte contre nature,
car
l’instinct normal de tout homme le pousse toujours à prendre parti ;
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que de la défendre au nom de nos seuls intérêts,
car
elle ne peut et ne doit subsister qu’au nom de l’intérêt de l’Europe
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e qui nous semblerait y garantir notre sécurité ;
car
le texte dit autre chose, dit beaucoup plus : « Les Puissances signat
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idée fédéraliste, si nous voulons la sauvegarder,
car
on ne se défend bien qu’en attaquant. Mais d’autre part on ne saurait
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ent, et aujourd’hui plus qu’à toute autre époque.
Car
il est clair que la guerre actuelle est une guerre de doctrines et mê
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d’être prêt à leur porter main-forte cas échéant.
Car
tout revient, dans ce domaine, à une question d’état d’esprit et de p
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le consolante : Ils ne continueront pas toujours,
car
leur folie devient évidente aux yeux de tous. » Plt D. de Rougemont
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aleurs d’opposition que sur celles de communauté.
Car
s’il n’est de communion vraie que dans la Vérité elle-même, cette Vér
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s à la paix. Tous les deux ont de bonnes raisons.
Car
il est vrai que la guerre n’est pas fatale ; vrai tout autant qu’elle
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ui la feront qui peuvent avoir peur de la guerre.
Car
avoir peur d’un accident, c’est entrevoir, imaginer ses conséquences,
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d de notre capacité d’accepter des vérités dures.
Car
tout le mal est venu de les avoir refusées, avant qu’elles montrent l
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ier les illusions flatteuses de l’ère bourgeoise.
Car
ceux-là seuls sauront alors ce qui mérite d’être sauvé ou recréé. Non
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it de laisser-aller et d’insouciance du prochain,
car
nous le payons maintenant, une fois pour toutes. Ce qui comptera, ce
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s nouveaux. Des hommes et non pas des programmes.
Car
les événements marchent vite. Des hommes auxquels on fasse crédit pou
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déraliste ? Il ne sera ni de gauche ni de droite.
Car
sous l’opposition, indéfendable en théorie, des centralistes et des r
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des exceptions, des manières de vivre hors-série.
Car
« l’exception » dans la vie quotidienne doit jouer le même rôle que l
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ité en général, dans l’absolu et dans l’abstrait.
Car
tout dépend de ceci : vis-à-vis de quoi, ou de qui, est-on tiède, est
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que de la Suisse”, désirant les rendre attentifs (
car
nous nous sentons pressés de le faire) à la valeur capitale de cet ou
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ste à cette heure qu’une seule et unique édition.
Car
ce n’est pas seulement l’un des chefs-d’œuvre de la littérature unive
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re. Vous commettrez une bonne action patriotique.
Car
le patriotisme suisse est d’abord une question d’amitié, et l’amitié
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nts !… Et tout est bon et beau et cher au cœur, —
car
c’est la patrie. Qu’il est donc réjouissant que tous les Suisses ne s
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bles. Quand il y va de tout, oublions nos partis,
car
ils ne représenteront jamais qu’une partie de la vérité. N’attendons
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re groupement : réunir — non point dans un parti,
car
nous nous défendons de vouloir l’être jamais — ce qui doit logiquemen