1 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
1 urieux que c’est essentiellement au nom de sa foi catholique que l’auteur condamne l’hitlérisme. Par ailleurs, en effet, quand il
2 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
2 typiquement protestant (bien que valable pour un catholique ). Ceci expliquerait peut-être, dans une certaine mesure, pourquoi « i
3 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
3 ouvelé. Des philosophes tels que Maritain du côté catholique , Berdiaev du côté orthodoxe, un certain nombre de jeunes protestants,
4 névitable à la déviation romaine de la communauté catholique . Entre ces deux déviations, contre l’oppression collective et contre
5 loi, un roi. Et l’on célébrera « la France toute catholique sous le règne de Louis le Grand », c’est-à-dire la France « mise au p
6 e, Pays-Bas, Angleterre ; puis l’unique monarchie catholique , celle des Belges ; les quatre monarchies orthodoxes des Balkans ; de
7 ux autres correspondant à l’Italie et à l’Espagne catholiques , alors qu’il n’en existe point qui se soit développé en pays « calvin
4 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
8 ait-il l’adapter à l’esprit chrétien du sujet. Un catholique eût sans doute recouru à l’inspiration liturgique. Protestant, je son
5 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
9 s, chez nous, ont voix égale avec les grands, les catholiques avec les protestants ; les Romands, Tessinois ou Ladins avec les Suis
10 cien de l’État totalitaire, Carl Schmitt, juriste catholique devenu national-socialiste. 14. « Nous ne sommes pas gouvernés, nous