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ns mon champ, à dissiper ces malentendus et leurs
causes
. Le reste de votre jury m’inciterait à croire que j’y ai partiellemen
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uniste. Car le chrétien comme tel ne sert pas une
cause
visible, et son service n’est pas mesurable à ses « résultats » (scan
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t un service ; elles ne sont pas au service d’une
cause
ou d’un parti, fût-il baptisé « chrétien ». (Je parle idéalement : no
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: en réalité, il y a de l’un à l’autre un lien de
cause
à effet ou plus exactement, de succession fatale. L’individu ne s’opp
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: je ne prétends pas annexer ici la Réforme à la
cause
personnaliste. Bien au contraire : je vais essayer de vous montrer ce
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Certes, les historiens attribuent à ces faits des
causes
politiques précises. Ils disent que la Réforme a triomphé surtout dan
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souvent au xvie siècle. Mais je maintiens que la
cause
profonde de la tendance fédéraliste protestante jusqu’à nos jours, es
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eur mépris de la personne. Voici, à mon avis, les
causes
de ces deux phénomènes. En Russie, en Allemagne, à Rome et en Espagne
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er ses effets humains, nous risquons de trahir sa
cause
divine. N’oublions pas que la personnalité n’est bien souvent que le
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nos sécurités. Cette inconscience, j’en dirai la
cause
: celui qui ne croit pas en Dieu ne sait pas non plus croire au diabl
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i nous refusons maintenant encore d’envisager les
causes
du désastre. Envisager, c’est regarder en plein visage. Notre salut,
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ns l’histoire la Suisse a succombé : en 1798. Les
causes
de cette défaite sont bien connues, elles nous avertissent clairement