1
rchie et tyrannie, c’est au contraire l’équilibre
central
et créateur dont l’individualisme et le collectivisme ne représentent
2
Rougemont Denis de, « Le seul espoir », Feuille
centrale
de Zofingue, Zurich, juin 1938, p. 469-472.
3
ougemont, lauréat du prix Rambert 1938 », Feuille
centrale
de Zofingue, Neuchâtel, novembre 1938, p. 36-39. i. Pris remis pour
4
me dans l’évolution de l’Europe, et quel principe
central
elle doit y incarner, de nos jours sans doute plus que jamais. Prenon
5
diate et dynamique. Et ce fait, c’est l’événement
central
de toute l’Histoire, la seule nouveauté absolue de tous les temps : l
6
, au nom d’une position non point centriste, mais
centrale
. Nous, de même, reprenons le combat contre l’esprit collectiviste, ma
7
t sacrifié au salut de la communauté. Le paradoxe
central
d’une pièce sur Nicolas, sa tension créatrice, réside donc dans ce fa
8
ns les moments où l’intérêt se déplaçait du héros
central
aux réactions de la foule, c’est-à-dire du drame de la personne à ses
9
t, songe, puis répond : Il y a donc un personnage
central
, c’est Nicolas de Flue. Il évolue du plan inférieur au plan supérieur
10
etit pays, parce que notre situation géographique
centrale
nous exposerait à de trop grands dangers en cas de guerre, enfin, par
11
péenne. Je voudrais marquer d’une devise ce point
central
. Au Moyen Âge la noblesse représentait une charge autant qu’un privil
12
x. Ceux qui insistent sur la nécessité de l’union
centrale
auraient peut-être plus de droits à revendiquer le nom de fédéraliste
13
urs qui en occupent les fauteuils. Les organismes
centraux
ne deviennent centralistes (au mauvais sens) que par la faute des fon
14
la vieille culture patinée des Bâlois, la Suisse
centrale
qui mène encore une existence patriarcale autour du Saint-Gothard, no