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e de résistance au paganisme politique. Ceci nous
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d’une responsabilité devant l’Histoire. Que devons-nous faire pour no
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e pour nous montrer à peu près dignes d’une telle
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? Simplement, mais aussi rigoureusement, et dans toute la virulence d
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disponibles dans le canton qui devait prendre la
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du spectacle. Et voici, quelque peu schématisée, la solution où je su
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ignalé comme absent. Le 18 on le confirme dans sa
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de banneret. Le 20 avril, il n’est plus. « Pareil au cierge qui se co
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plus dignes et plus conscients que d’autres des «
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» que supposent de pareils avantages ? Chaque fois que je vous entend
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la Suisse ne saurait être un privilège, c’est une
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! Et ce serait bien mal la défendre que de la défendre au nom de nos
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ges, c’est de les considérer dorénavant comme des
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, dont nous sommes responsables vis-à-vis de la communauté européenne.
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entral. Au Moyen Âge la noblesse représentait une
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autant qu’un privilège, et même le privilège était subordonné à la ch
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ilège, et même le privilège était subordonné à la
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; il n’avait d’autre but que d’en faciliter l’exercice. C’est pourquo
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e reconnaître la vocation suisse, d’en revêtir la
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, d’en être les porteurs. Travaillons tout d’abord à la défendre, c’es