1 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
1 os solitaire. D’où la nécessité de recourir à des chœurs , qui peuplent et animent de grands espaces, tout en concentrant l’att
2 écrire ce drame. Il existe en effet chez nous des chœurs mixtes de premier ordre à La Chaux-de-Fonds et au Locle ; un chœur d’
3 remier ordre à La Chaux-de-Fonds et au Locle ; un chœur d’enfants dans la région de Neuchâtel ; enfin un petit ensemble d’exc
4 ’excellents amateurs de musique plus savante : le chœur « Sine Nomine », à Neuchâtel même. J’utiliserai donc, pour mon drame,
5 ite agira sur le degré médian, de concert avec le chœur d’enfants : ce seront les Suisses et les enfants de Nicolas. Enfin un
6 Suisses et les enfants de Nicolas. Enfin un petit chœur caché derrière le degré supérieur — le plan de la Solitude — représen
7 n 3. Au deuxième acte, le monde vient à lui : les chœurs gravissent et redescendent les escaliers qui conduisent du plan 1 au
2 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
8 s composants du spectacle, soit la foule, soit le chœur . Il est l’axe autour duquel tourne cette légende dramatique. Outre ce
9 n’aura que les cuivres. Si je comprends bien, les chœurs seront l’acteur numéro 1 du spectacle. Exactement. Et j’ai composé ma
10 ique en tenant compte de cette particularité. Les chœurs avanceront, monteront au premier « étage » à moins qu’ils ne descende
11 partie supérieure de la scène, là où se trouve le chœur céleste. En outre, souvent les chœurs s’expriment comme les chants d’
12 se trouve le chœur céleste. En outre, souvent les chœurs s’expriment comme les chants d’oratorios et la musique les soutiendra
3 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
13 nage important. Revenir au théâtre grec, avec son chœur mobile prenant part à l’action. C’était évidemment la solution formel
14 i peut s’accorder à la fois à la déclamation d’un chœur en marche et au dialogue, forcément sans nuances, de personnages quas
15 mélodiques que j’avais inventés en composant mes chœurs et mes récitatifs, — et que je m’étais bien gardé de lui chanter ! On
16 it ont joué dans cette création (scène de Zurich, chœurs et fanfares disponibles en pays neuchâtelois). On devine aussi à quel
17 us pourrons chanter ce final entonné par tous les chœurs du drame : Éclatez, éclatez en cris de joie ! Oui, tous en chœur,
18 Éclatez, éclatez en cris de joie ! Oui, tous en chœur , levez-vous et chantez ! Dans la paix que notre Dieu nous envoie