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es fromages, des conseils d’administration, notre
confort
et nos hôtels. D’autres — on sait qui — feraient marcher tout cela au
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, ce n’est pas pour défendre d’abord notre fameux
confort
moderne. Ce n’est pas seulement pour protéger nos « lacs d’azur » et
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ous les petits pays où l’ère bourgeoise, ère du «
confort
moderne » et de l’absence d’imagination, prolonge encore une existenc
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évoir que le profit d’argent et l’augmentation du
confort
. Il refuse de se demander à quoi servira cet argent ou si le confort
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de se demander à quoi servira cet argent ou si le
confort
matériel favorise un bien spirituel. À la première de ces questions,
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adorions l’idole de la prospérité, et l’idole du
confort
, et l’idole du progrès — ce progrès qui ne sait rien que répéter comm
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ragi-comique, à sacrifier notre prospérité, notre
confort
et nos progrès aux nécessités impérieuses de la défense nationale. Po
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ément tout ce qui lésait si peu que ce soit notre
confort
, notre profit, nos égoïsmes de nations, nous voici contraints brutale
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ais nous ne sommes pas neutres pour rien, pour le
confort
. Nous ne sommes pas neutres comme on est rentier. Nous sommes neutres
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t dont l’intelligence politique s’atténue dans le
confort
et la prudence. Ne dites donc plus : « Nous sommes opposés par princi
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stes, nous dans des cuisines accueillantes, où le
confort
moderne et le confort paysan se mariaient à l’ombre des installant po
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isines accueillantes, où le confort moderne et le
confort
paysan se mariaient à l’ombre des installant pour quelques heures le
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à l’ombre des installant pour quelques heures le
confort
moderne et le confort auvents immenses, et des balcons de bois ornés
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ant pour quelques heures le confort moderne et le
confort
auvents immenses, et des balcons de bois ornés de pieuses devises et
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tte même sans espoir. Un siècle de sécurité et de
confort
nous a fait oublier ces vérités. Aujourd’hui, elles nous parlent de n
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t ses intérêts particuliers, ses préjugés, et son
confort
. C’est tout. Le but commun ne fut jamais plus clair. C’est le maintie