1
nt les places et les rues sont si pareilles à des
décors
, la nuit, nous avions l’impression de circuler sur une scène perpétue
2
e que le paysage lui-même invite au jeu, avec ses
décors
partout suspendus, pans de forêts, portants de rochers, grandiose toi
3
dans leur élan. Une Suisse réelle, et non pas un
décor
; non pas un état d’âme vaporeux, comme les idylles du xviiie , non p