1 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
1 au fédéralisme tel que nous sommes chargés de le défendre , et qui s’oppose autant au particularisme étroit qu’à cette forme ant
2 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
2 est en chrétiens que nous avons maintenant à nous défendre , dans cette guerre qui nous est déclarée. Or le meilleur, le seul moy
3 est déclarée. Or le meilleur, le seul moyen de se défendre — surtout quand il s’agit des choses de l’esprit — c’est de connaître
3 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
4 cela est démenti par les faits. Ce n’est pas pour défendre le capitalisme que les mineurs de la Sarre ont voté leur rattachement
4 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
5 tragique évidence. Et c’est cela que nous avons à défendre  : le seul avenir possible de l’Europe. Le seul lieu où cet avenir soi
6 qu’en fait, si nous sommes là, ce n’est pas pour défendre des fromages, des conseils d’administration, notre confort et nos hôt
7 ofiter de sa faiblesse. Nous sommes chargés de la défendre contre elle-même, de garder son trésor, d’affirmer sa santé, et de sa
5 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
8 tragique évidence. Et c’est cela que nous avons à défendre en défendant notre patrie : le seul avenir possible de l’Europe. Le s
9 qu’en fait, si nous sommes là, ce n’est pas pour défendre d’abord notre fameux confort moderne. Ce n’est pas seulement pour pro
10 vis-à-vis de l’Europe. Nous sommes chargés de la défendre contre elle-même, de garder son trésor, d’affirmer sa santé, et de sa
6 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
11 t de nous en rendre dignes, avant même que de les défendre . Le seul moyen de conserver un privilège, après tout, c’est de le mér
7 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
12 La Suisse que nous devons défendre . I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)ac ad Nous sommes
13 déclarer son sol sacré, pour avoir le droit de le défendre jusqu’à la dernière goutte du sang des citoyens. Assurer les armes à
14 du terrain. C’était donc le terrain qu’on avait à défendre , le territoire, symbole unique, symbole « sacré » de la nation. Or vo
15 ous les pays voisins qui sont trop petits pour se défendre seuls. Au nom de ce concept d’espace vital, elle déclare donc que ces
16 nt quelle est la Suisse que nous sommes décidés à défendre . Voilà le défi que nous adresse l’Europe moderne. Il s’agit maintenan
17 core. Nous avons fait serment, le 2 septembre, de défendre la Suisse jusqu’à la mort. Eh bien, il serait fou de mourir pour une
18 Rougemont Denis de, « La Suisse que nous devons défendre I : Les voix que rien n’arrête », La Coopération, Bâle, 24 février 19
8 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
19 La Suisse que nous devons défendre . II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)ae « Nous défendrons nos l
20  : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)ae « Nous défendrons nos libertés, répétons-nous dans nos discours patriotiques, — ces lib
21 actuellement, et que les libertés qu’il s’agit de défendre , en ce mois de mars 1940, sont avant tout nos libertés poli­tiques. J
22 fier, moralement, si nous voulons que notre armée défende quelque chose de valable. Or, quels sont les ennemis intérieurs de no
23 Rougemont Denis de, « La Suisse que nous devons défendre II : Sommes-nous libres ? », La Coopération, Bâle, 2 mars 1940, p. 2.
9 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
24 La Suisse que nous devons défendre . III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)af Comment
25 lège, c’est une charge ! Et ce serait bien mal la défendre que de la défendre au nom de nos seuls intérêts, car elle ne peut et
26 rge ! Et ce serait bien mal la défendre que de la défendre au nom de nos seuls intérêts, car elle ne peut et ne doit subsister q
27 Rougemont Denis de, « La Suisse que nous devons défendre III : Pourquoi nous devons rester neutres », La Coopération, Bâle, 9
10 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
28 La Suisse que nous devons défendre . IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)ag Il est temps que
29 ion actuelle et historique de la Suisse, c’est de défendre et d’illustrer aux yeux de l’Europe le principe du fédéralisme ; prin
30 ce n’est pas si simple. Que signifient ces mots : défendre et illustrer le principe du fédéralisme ? Le défendre, c’est d’abord
31 ndre et illustrer le principe du fédéralisme ? Le défendre , c’est d’abord nous défendre, certes, mais c’est aussi le répandre au
32 du fédéralisme ? Le défendre, c’est d’abord nous défendre , certes, mais c’est aussi le répandre au-dehors, le propager, et prép
33 ste, si nous voulons la sauvegarder, car on ne se défend bien qu’en attaquant. Mais d’autre part on ne saurait attaquer avec s
34 être les porteurs. Travaillons tout d’abord à la défendre , c’est-à-dire à la faire connaître autour de nous et en dehors de nos
35 seule idée : c’est que la Suisse que nous devons défendre n’est pas la Suisse des manuels, des cartes postales et des discours,
36 nous avons à donner, nous serons mieux armés pour défendre la Suisse où Dieu nous veut à son service. ag. Rougemont Denis de,
37 Rougemont Denis de, « La Suisse que nous devons défendre IV : Notre ‟mission spéciale” », La Coopération, Bâle, 16 mars 1940,
11 1940, Articles divers (1938-1940). Au peuple suisse ! (22 juillet 1940)
38 État : d’une part en déclarant leur volonté de se défendre par les armes, d’autre part en se montrant capables de créer, eux aus
39 ent qu’ils sont prêts à travailler ensemble, pour défendre la Suisse et pour la rénover. Ils ne croient plus aux plans, aux prom
12 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
40 qui sauront illustrer la Suisse romande, donc la défendre . Rousseau, Constant, Madame de Staël, Vinet n’ont pas eu peur du germ
41 ne.) Si l’on nous interdit de le dire, et de nous défendre en ripostant, pourquoi donc, demanderai-je, fortifier nos frontières 
42 itique et militaire. Ils nous obligent aussi à la défendre intégralement. Mais ils ne nous imposent nullement une neutralité d’o
43 part de notre indépendance. C’est renoncer à nous défendre intégralement. Et c’est enfin céder sur un point décisif pour notre i
13 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
44 prix elle s’est toujours maintenue. Mais on ne se défend bien qu’en attaquant. On ne maintient un héritage qu’en travaillant à
14 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
45 : réunir — non point dans un parti, car nous nous défendons de vouloir l’être jamais — ce qui doit logiquement représenter la Sui
15 1940, Articles divers (1938-1940). La Ligue du Gothard : raisons d’espérer (13 septembre 1940)
46 ou, quoi qu’en dise une certaine presse qui ne se défend plus qu’à coup de calomnies. Ni les « Éléphants », ni aucune organisa