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z un ancien bellettrien, — ce qui est encore plus
digne
de louange. Enfin, vous êtes des Suisses de Suisse, et vous couronnez
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paru curieuse, ou peut-être grave, ou en tout cas
digne
de réflexion, car c’est à elle précisément que je me propose de répon
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ue devons-nous faire pour nous montrer à peu près
dignes
d’une telle charge ? Simplement, mais aussi rigoureusement, et dans t
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ang la figure populaire de Nicolas de Flue. Sujet
digne
d’intéresser n’importe quel Confédéré visiteur de l’Exposition. Or, s
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vembre 1939)w Je cherchais un sujet dramatique
digne
des vastes dimensions de la Halle des Fêtes à Zurich. C’était en sept
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ges considérables, il s’agirait de nous en rendre
dignes
, avant même que de les défendre. Le seul moyen de conserver un privil
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e leur céder la place ? Sommes-nous vraiment plus
dignes
et plus conscients que d’autres des « charges » que supposent de pare
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t la Suisse soit au moins de l’ouvrage bien fait,
digne
d’être exposé et en bonne place, comme un modèle valable pour l’Europ
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fait, mais il n’encadrera bientôt plus aucune vie
digne
de ce nom. Quelques exemples : Je vois dans le budget d’une œuvre des
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plie. (L’Empire fédératif ?) Mais toute politique
digne
de ce nom consiste à prévoir même le pire, et même la réalisation pro
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n confédérale, et notre volonté de nous en rendre
dignes
. Mais voici le message du 1er août de cette année : le péril où nous
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idéal forgé par notre histoire. Rendons la Suisse
digne
d’elle-même, et rendons-nous plus dignes d’elle ! Comment ? Je voudra
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la Suisse digne d’elle-même, et rendons-nous plus
dignes
d’elle ! Comment ? Je voudrais vous le montrer sans phrases ronflante