1 le début, la Réforme considère comme normales les diversités organiques. Par exemple, Calvin n’a jamais prétendu unifier les const

2 raît, selon les propres termes de Calvin, dans la diversité « des Églises et des personnes particulières ». Car non seulement il

3 ais à l’intérieur de chaque Église locale, il y a diversité des personnes, c’est-à-dire des vocations particulières. Avec ce term

4 e personnaliste, au sens précis où je l’entends. Diversité des Églises, fédération de ces diversités, multiplicité des vocations

5 ntends. Diversité des Églises, fédération de ces diversités , multiplicité des vocations personnelles : tout cela, Calvin l’a voul

6 stème politique souple et vivant, respectueux des diversités , c’est-à-dire fédéraliste. Les synodes réformés de France, vers la fi

7 at d’esprit qui explique à la fois le respect des diversités en politique, et le respect des personnes dans la vie privée. L’un en

8 vivant des tons complémentaires, l’union dans la diversité . II Maintenant que voici définies, ou plutôt illustrées d’exemp

9 e dans son élan et dans son espérance au-delà des diversités confessionnelles et dogmatiques3. Elle est réellement totalitaire, pa

10 berté quotidienne, celle qui se manifeste dans la diversité infinie des manières de penser et de vivre, nos libertés politiques n

11 dangers en cas de guerre, enfin, parce que notre diversité raciale et religieuse risquerait d’entraîner la dislocation de notre

12 uel tous les Confédérés peuvent s’unir dans leurs diversités . Que tous ceux qui sont las des querelles partisanes, que tous ceux q

13 s ; rien ne l’empêche de respecter nos précieuses diversités , et de se mettre à leur service, comme il se doit. Prévoir des except