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lité, il y a de l’un à l’autre un lien de cause à
effet
ou plus exactement, de succession fatale. L’individu ne s’oppose à l’
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faite pour l’homme d’abord. À force de louer ses
effets
humains, nous risquons de trahir sa cause divine. N’oublions pas que
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s tout se clarifie. Immédiatement on sent que les
effets
à obtenir ne seront pas le résultat d’une action individualiste, mais
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itaire (inconnue de l’ancienne Suisse) qui a pour
effet
de déprimer l’initiative originale, les vocations trop nettement affi
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les avoir refusées, avant qu’elles montrent leurs
effets
aux yeux de tous. Mea culpa des pacifistes, qui n’ont pas su imagine